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actualité - Page 160

  • Le Parti socialiste condamne l’attaque terroriste à Barcelone

    18 août 2017

    Alors qu’une fourgonnette a foncé, jeudi 17 août, sur la foule dans le centre-ville de Barcelone, c’est une nouvelle attaque au « camion fou » qui frappe une métropole européenne. Les auteurs de cet acte lâche sont encore en fuite, mais on déplore déjà deux morts et plusieurs blessés.

    La Parti socialiste condamne avec force cette « attaque terroriste » et adresse un message de soutien aux victimes et à leurs familles, aux Barcelonais-es et au Gouvernement espagnol. Il rappelle que la réponse à cette entreprise de terreur systématique passe nécessairement par une plus grande coordination des politiques et des moyens au niveau tant européen qu’international.

  • Boris Vallaud, figure montante du Parti socialiste

    ILS FERONT 2018 - Chaque jour, BFMTV part à la rencontre de ceux qui vont faire l’actualité dans les prochains mois. Portrait de Boris Vallaud, député PS Nouvelle Gauche des Landes et figure montante du Parti socialiste.

  • L'invité politique de 8h15 du 16 août 2017 : Guillaume Garot, député PS de la Mayenne

  • France Inter - La situation financière des partis politiques : le PS bientôt dans le rouge

    Après la République en Marche et le FN, focus sur le Parti socialiste, considérablement appauvri depuis sa défaite électorale....

    Avec 31 députés seulement à l'Assemblée (contre 278 en 2012) et après une campagne présidentielle très chère, le Parti socialiste s'est considérablement appauvri : "heureusement que nous n'avions pas de dettes" soupirait le trésorier du PS avant l'été. Une maigre consolation devant l'état des comptes, car dès 2018 le parti ne touchera plus que sept millions d'euros par an, contre 25 millions depuis 2012.

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  • Bilan des cent jours de Macron : "Il reste encore beaucoup de flou", regrette Valérie Rabault

  • Temal (PS) : "On ne peut pas être socialiste et macroniste ou mélenchoniste"

    Invité de la matinale d'Europe 1, mardi, le secrétaire national du PS à la coordination, Rachid Temal, considère qu'il reste un espace politique pour le Parti socialiste.

    INTERVIEW

    "Il y a ceux qui sont au Parti socialiste et qui souhaitent le refonder et d'autres qui ont d'autres projets." Pour Rachid Temal, secrétaire national du PS à la coordination et à l'intégration, la distinction est claire et vise, à demi-mot, les partisans de Benoît Hamon qui n'auraient pas encore quitté le PS avec leur champion, fondateur du "Mouvement du 1er juillet". Elle vaut également pour les partis à la gauche et à la droite du PS, qui ont bien davantage le vent en poupe : "On ne peut pas être socialiste et macroniste ou mélenchoniste", a-t-il affirmé mardi, dans la matinale d'Europe 1.

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  • La coûteuse facture de campagne de Benoît Hamon

    Avec 15 millions d’euros pour 6,36% des voix, la gestion du budget de la campagne présidentielle de Benoît Hamon est remise en cause par Julien Dray. L’infographie ci-dessous détaille dépense par dépense les frais de campagne du candidat socialiste.

  • Libé - Le PS en phase de réanimation

    Miné par les récentes défaites électorales et le bilan de François Hollande, le parti réduit à 31 députés peine à exister et à trouver sa voie. La ligne politique, toujours tiraillée entre les ailes gauche et droite, n’est pas arrêtée, et la direction collégiale à 28 têtes est moyennement audible.

    .... «Les 28» se sont déjà réunis à deux reprises fin juillet et doivent élaborer une «feuille de route» à présenter lors d’un séminaire, fin août à Paris. L’événement remplace depuis 2017 la traditionnelle université d’été de La Rochelle. La «route» mène à un congrès dit «de refondation» qui pourrait s’organiser après les élections européennes de 2019, voire les municipales de 2020, prenant le même chemin que celui emprunté par leurs ancêtres socialistes à la fin des années 60

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  • Libé - Refondation du Parti socialiste : l’image d’Epinay

    La déroute à la présidentielle et aux législatives ramène le PS à une autre période compliquée de son histoire. Et les nouveaux dirigeants espèrent en venir à bout, comme l’avaient fait leurs aînés à la fin des années 60.

    ..... Il y a près de cinquante ans, le mouvement socialiste est, comme le PS d’aujourd’hui, dans un bien mauvais état. Réuni au sein de la Fédération de la gauche démocrate et socialiste (FGDS), il vient de perdre sèchement les élections législatives de 1968 : 16,5 % et 57 députés qui débarquent à l’Assemblée nationale avec comme mot d’ordre «l’opposition constructive». L’actuel président de groupe de la trentaine de députés PS sauvés de la vague Macron, Olivier Faure, ne renierait pas l’expression.

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