Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Vidéo - Page 74

  • Eddie Jacquemart : « Le prochain président de la République devra augmenter les APL de 30% »

    Lundi 21 mars, se tenaient les Etats généraux de l'habitat 2022 organisés par la Confédération national du logement en partenariat avec la revue Regards et le magazine Logement et famille. Le président de la CNL, Eddie Jacquemart, est l'invité de la Midinale pour nous en parler.

  • L'Obs - Qu'est-ce que le régiment Azov, fondé par un néonazi ukrainien ?

    Formé en 2014 par un néonazi ukrainien, le régiment Azov est au coeur de la propagande du camp prorusse dans la guerre de l'information qui se joue en Ukraine. Mais qu'en est-il réellement ? L'Obs fait le point sur cette unité militaire d'environ 4000 soldats qui participe activement à la défense ukrainienne, notamment à Marioupol

  • Fondation Jean Jaurès - Les chemins de l'égalité. Les femmes, les hommes et le travail

    Romain Bendavid, directeur de l’Expertise Corporate et Climat social au sein du département Opinion de l’Ifop, et Flora Baumlin, directrice d’études dans l’Expertise Corporate et Climat social au sein du département Opinion de l’Ifop, présentent leur livre "Les chemins de l'égalité. Les femmes, les hommes et le travail", coédité par la Fondation Jean-Jaurès et les éditions de l'Aube. Les inégalités auxquelles les femmes sont confrontées dans le monde professionnel sont plurielles : plus nombreuses à occuper des emplois précaires, moins qualifiés, elles sont moins rémunérées que les hommes.

    Ce constat préoccupant, Flora Baumlin et Romain Bendavid l’étayent avec le résultat de nombreuses enquêtes, mais ils investiguent également d’autres dimensions de ces inégalités : la place du travail, le vécu, le sentiment de reconnaissance, la charge mentale ou encore l’expérience de plafonds de verre objectifs. Ils dessinent, en parallèle, des voies à emprunter pour faire progresser une égalité par le haut et par le bas, convaincus que les fortes transformations dans le travail engendrées par la crise sanitaire pourraient constituer une opportunité de changement.

  • Télérama - Raymond Depardon : ”Je suis un photographe de la décolonisation”

    C’était son premier voyage en Afrique. En juillet 1960, un jeune photoreporter habitué à couvrir l’actualité et les vedettes s’envolait pour Alger, dûment cravaté. Raymond Depardon y est retourné à plusieurs reprises au cours des soixante dernières années. Afin de couvrir ce que l’on nommait pudiquement « les événements », pour ne pas dire la guerre d’Algérie, tout d’abord. Dans les années 1980, ensuite. Pendant la guerre civile qui a ravagé le pays de 1991 à 2002, aussi. Et plus récemment, en 2019. Entre-temps, Depardon est devenu l’immense photographe et réalisateur que l’on sait. Celui qui s’est peu à peu éloigné des codes de l’image de presse pour s’intéresser à ces « temps morts » – qui en disent pourtant si longs – et qui composent sous son objectif une photographie documentaire éminemment personnelle, entremêlée de sa propre histoire. Lors de son dernier voyage, il a rencontré l’écrivain Kamel Daoud chez lui, à Oran. Tous deux exposent aujourd’hui ensemble à l’Institut du monde arabe, à Paris, où les images d’Algérie du premier dialoguent avec les textes qu’elles ont inspirés au second. Raymond Depardon revient ici sur son rapport à l’Algérie, photos à l’appui.

    Exposition « Raymond Depardon/Kamel Daoud. Son œil dans ma main. Algérie 1961-2019 », jusqu’au 17 juillet, Institut du monde arabe, Paris 5e, www. Ima.org

    À lire : Raymond Depardon et Kamel Daoud, Son œil dans ma main, coéd. Barzakh-Images plurielles, 232 p., 35 €.

  • « Les candidats du centre à l'extrême droite n’ont pas fait du climat un enjeu de leur programme »

    L'association Réseau Action Climat a évalué les programmes de 8 des 12 candidat-es à l'élection présidentielle. Benoit Granier, responsable alimentation, est l'invité de la Midinale.

  • Fondation Jean Jaurès - Élysée 2022 : Riss fait ses propositions mardi 22 mars à 18h30

    La Fondation Jean-Jaurès reçoit Riss, directeur de Charlie Hebdo, à l'occasion de la sortie de son nouvel ouvrage, Lettre au futur locataire de l'Élysée (Les Échappés, 2022), où celui-ci alerte sur divers sujets de société comme la crise climatique, l'emprise du numérique et sur la laïcité. Il échangera sur les thématiques de ce livre avec Jérémie Peltier, directeur des études de la Fondation Jean-Jaurès.

  • Sophie Camard : "L’intérêt général des Marseillais nous oblige à surmonter nos désaccords à gauche"

    En juin prochain, ça fera deux ans que la nouvelle équipe municipale de gauche s'est installée à Marseille. Qu'est-ce qui a changé ? Sophie Camard, maire du 1er secteur de Marseille, est l'invitée de #LaMidinale

  • Algérie : « En 2 ans, Tebboune a dressé plus de citoyens contre lui que Bouteflika en 20 ans »

    A la veille de l’anniversaire de la signature des accords de cessez-le-feu d'Evian qui ouvraient la voie à l’indépendance de l’Algérie, Yacine Teguia, producteur de cinéma et cadre du Mouvement démocratique et social, est l’invité de #LaMidinale.

  • Michaël Foessel : le plaisir comme force révolutionnaire ?

    Peut-on encore être de gauche et aimer le steak frites? C'est la question que semble poser le dernier livre, "Quartier Rouge ", du philosophe Michaël Foessel. Dans ce nouvel essai, il montre le pouvoir politique du plaisir, des occupations joyeuses d'usines à la colère suscitée par la fermeture des théâtres et des bars lors des confinements. La gauche progressiste est en effet accusée d'être de plus en plus moraliste et ascétique, entre obligation de modération à l'aune de la crise climatique et souci de l'auto-critique face aux minorités. La droite hédoniste aurait pris la défense du plaisir.

    L'auteur montre qu’il est devenu urgent de réfléchir à nouveau sur la dimension émancipatrice du plaisir. En effet, on a aujourd’hui tendance à porter une attention de plus en plus exclusive à la souffrance ou au désir comme origine de la critique sociale. Or le plaisir a une vraie valeur politique. Il permet au discours de rejoindre le réel.

    Le plaisir devrait donc redevenir un enjeu pour la gauche. Ses principes n’ayant plus d’effet dans le réel. Le parti socialiste a en outre abandonné la promesse que portait son emblème - le poing et de la rose dont les épines servent d’avertissement : le plaisir et la joie ont le pouvoir de subvertir l’ordre établi. Un pouvoir de subversion et d’émancipation du plaisir qu’il faudrait réhabiliter aujourd’hui, à l’heure où le capitalisme prétend avoir formaté notre bonheur. Olivia Gesbert invite à sa table Michaël Foessel, philosophe et professeur à l’Ecole polytechnique.

  • Fondation Jean Jaurès - Les droits des femmes dans l'Union européenne : entre avancées et reculs

    Alors que la France préside le Conseil de l’Union européenne depuis janvier, et au moment du 8 mars, Agnès Hubert, présidente du think tank féministe européen Gender Five Plus (G5 +), fait le point sur la question de l’égalité entre les femmes et les hommes au sein de l’Union européenne. Elle décrypte les avancées législatives mais aussi les blocages de certains États membres, notamment en matière de droits et santé sexuels et reproductifs (DSSR). Beaucoup reste à faire en termes de parité, d'égalité professionnelle, de lutte contre les violences sexistes et sexuelles et en faveur des DSSR dans le semestre à venir et pour la Commission en place jusqu'aux élections européennes de 2024.

    Agnès Hubert est interrogée par Amandine Clavaud, responsable Europe et directrice de l'Observatoire Égalité femmes-hommes, et Ghislaine Toutain, conseillère du président de la Fondation Jean-Jaurès.