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Réflexions - Page 186

  • 20 minutes, chat avec François Kalfon, spécialiste des sondages au PS

    Conclusion:

    Bon merci à tous pour ce dialogue que j’ai noué le plus sincèrement possible. Sans ce dialogue permanent la politique est impossible... Croyez le bien j’entends votre désarroi voire votre colère, c’est pourquoi je me bats pour que la gauche réponde sur la question du pouvoir d’achat ou sur la réorientation de la construction européenne en faveur de la croissance et de l’emploi. Car comment croire au rêve européen et français quand 40% des jeunes espagnols sont au chomage et 28% des jeunes français sont privés d’emploi? Notre impérieuse obligation: tout tenter contre le chômage, tout construire pour proposer à la jeunesse un autre avenir que celui - de plus en plus fréquent - que l’exil économique. Notre pays est très riche de sa créativité, de son inventivité encore faut-il la libérer c’est ce qu'il nous reste à faire.

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  • J’ai une bonne nouvelle ! de Gilles Raveaud

    La voici : selon l’Agence France Trésor, la France a emprunté plus de 8 milliards d’euros sur le marché lundi 15 avril… sans payer d’intérêts, ou peu s’en faut. Pour lever cette somme considérable, l’État français a du verser un taux d’intérêt sur un an égal à… 0,06%.

    Autrement dit, la France emprunte très, mais alors très facilement, sur les marchés financiers. Un peu comme vous si vous obteniez ce genre de taux d’intérêt de votre banquier, tellement les banques se battraient pour vous prêter. C’est ce qui se passe : selon l’AFT, qui est chargée de placer la dette française sur les marchés financiers, il était prévu initialement de lever entre 6,5 et 7,7 milliards d’euros à l’occasion de cette opération, mais la “très forte demande des investisseurs” a permis à l’État français d’emprunter plus, pour pas cher.

    Dans le détail, l’AFT a emprunté 4,46 milliards d’euros à 3 mois au taux de 0,011%, 2 milliards à 6 mois au taux de 0,027% et 1,7 milliard à un an au taux de 0,060% (contre 0,067% le 8 avril). Des taux nuls, ou presque.

    En quoi est-ce une bonne nouvelle ? Certes, parce que cela signifie qu’une part minime de nos impôts est reversée aux prêteurs. Mais aussi et surtout parce que cela devrait sonner la fin de la politique d’austérité.

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  • Non Fiction - L'intérêt individuel, source de l'action politique

    Résumé : Une thèse iconoclaste mais pas totalement convaincante.

    Dans un livre précédent, Sophie Heine avait opportunément cherché à montrer qu’il était non seulement possible mais également souhaitable pour une pensée de gauche neuve et progressiste de souscrire aux principes de base du libéralisme politique "tout en dénonçant clairement le libéralisme économique comme une mystification justifiant les rapports de classe existants".   Elle appelait ainsi à un profond renouvellement du discours progressiste, renouvellement qui est l’objet du présent ouvrage.

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  • Journées de Nantes : Lepaon (CGT) et Berger (CFDT), deux syndicalismes face à face

    Les patrons de la CGT et de la CFDT ont débattu pour la première fois, ensemble, à la même tribune, aux "Journées du Nouvel Obs", organisées à Nantes les 12 et 13 avril. Débat en intégralité.

  • Le Huffington Post, Laurent Bouvet - Le fiasco politique du "mariage pour tous"

    La messe est dite. Le "projet de loi ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe" va être adopté définitivement par l'Assemblée nationale. Les couples homosexuels pourront se marier et adopter des enfants au même titre que les couples hétérosexuels.

    Que l'on se réjouisse d'une telle mesure ou qu'on la déplore, une question reste posée après des mois de débats : comment a-t-on pu en arriver là ? Non pas au vote de la loi qui est inscrit depuis le début dans le fait majoritaire mais à un tel point de bêtise, de haine et de violence dans le débat public qui y a conduit ? Ces derniers jours, les dérapages verbaux qui sont monnaie courante depuis des semaines se sont en effet accompagnés, de la part de certains militants et élus anti-"mariage pour tous", de menaces et de violences physiques à l'égard de personnalités publiques soutenant la mesure et même d'actes ouvertement homophobes !

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  • OFCE - Allocations familiales : family business ? par Hélène Périvier

    15 avril 2013

     Bertrand Fragonard a rendu son rapport au Premier Ministre en  vue d’accroître le caractère redistributif de la politique familiale et de rétablir les comptes de la branche famille d’ici 2016, déficitaire depuis peu. Un redéploiement des prestations familiales vers les familles aux faibles revenus est proposé comme premier objectif. Pour le second, les deux options proposées sont la modulation des allocations familiales selon les ressources ou leur fiscalisation. Comment trouver 2 milliards d’euros en période de vaches maigres ?

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  • Libé - Président, nous entends-tu ?

    Par EMMANUEL ZEMMOUR Président de l’Union nationale des étudiants de France (Unef) (1)

     

    Mais qu’est-ce qu’on lui a fait, à François Hollande, pour qu’il se détourne de nous comme ça ? Qu’est-ce qui a pu autant changer en l’espace d’une année ? On se rappelle pourtant du mois d’avril 2012, lorsque le candidat socialiste ne tarissait pas de bonnes formules pour appeler les jeunes à leur devoir de citoyen.

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  • Patrimoine : qui possède combien ?

    le 16 avril 2013

    Les 10 % les plus riches possèdent 48 % de la fortune nationale. Les 50 % les moins fortunés en possèdent 7 %...L’inégalité des patrimoines est encore plus accentuée que celle des revenus.

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  • Alternatives Economiques : Codétermination à la française : il faut aller plus loin

    L'accord national interprofessionnel prévoit la participation très timide de représentants des salariés à la gestion de leur entreprise. Une occasion manquée de se rapprocher de la codétermination à l'allemande, pièce maîtresse du modèle social de nos voisins.

     Le Parlement examine le projet de loi traduisant l’accord national interprofessionnel du 11 janvier. Ce texte prévoit notamment la présence d’un ou deux représentants des salariés dans les conseils d’administration des entreprises de plus de 5 000 salariés. Par son extrême timidité, cette mesure est une nouvelle occasion manquée de rapprocher enfin la gouvernance d’entreprise française, traditionnellement autoritaire, de celle, nettement plus participative, de nos voisins allemands. Et de bénéficier ainsi à notre tour d’un des principaux fondements de leur dynamisme industriel. Il faut aller plus loin.

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  • L’union monétaire n’est pas condamnée à l’échec

    Par PIERRE-OLIVIER GOURINCHAS Sciences-Po, UC Berkeley et Conseil d’analyse économique (CAE), JACQUES DELPLA Ecole d’économie de Toulouse, EMMANUEL FARHI Harvard, JEAN TIROLE Ecole d’économie de Toulouse et CAE

     

    Le bout du tunnel n’apparaît toujours pas dans la crise de la zone euro. Le Sud se sent pris à la gorge par une austérité coûteuse et sans avenir. Le Nord se sent pris en otage : il s’est déjà réformé et refuse de payer plus pour des pays perçus comme tricheurs et menaçant de faire exploser l’euro. La fracture politique entre les deux est profonde.

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