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Article du jour - Page 74

  • Européennes: Olivier Faure sur le point de porter la liste PS

    INFO LE FIGARO - Faute d'accord avec le mouvement Place publique de Raphaël Glucksman, le premier secrétaire du PS pourrait lui-même guider la liste socialiste aux européennes. Il l'a indiqué lundi soir en interne.

    Lors d'une réunion des responsables des motions du Parti socialiste, lundi soir, Olivier Faure a indiqué qu'il pourrait porter lui-même la liste aux européennes. Selon quelques-uns de la dizaine de participants, le premier secrétaire a indiqué ne pas avoir de réponse claire de Raphaël Glucksman, à l'origine du mouvement Place publique avec qui le PS envisageait de s'allier. Dans ces conditions, et comme Faure l'avait déjà indiqué, il s'est dit disponible pour guider lui-même une liste qu'il souhaite par ailleurs «unitaire».

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  • Le Monde - Climat : l’association Anciela catalyse les bonnes volontés

    Forte d’une centaine de bénévoles, cette association lyonnaise encourage et soutient les initiatives individuelles ou collectives en faveur du climat et du mieux-vivre ensemble.

    Sur ce grand panneau souple accroché dans le local de l’association Anciela, rue Rachais, dans le 7e arrondissement de Lyon, le plan stylisé d’une ville. Mais aux rues, immeubles, squares, habitants, ont été ajoutées une trentaine de petites bornes, telles des épingles plantées. On croirait un jeu pour enfant. Mais l’affaire est on ne peut plus sérieuse. Chaque borne porte un numéro, qui renvoie à une initiative possible pour améliorer l’environnement : épicerie zéro déchet, composteur collectif, hôtel à insectes, jardin partagé, rucher sur les toits, boîte à livres… « On se sert de ce panneau comme d’un support pédagogique, c’est une sorte de cartes des actions qu’on peut mener prêt de chez soi », explique Justine Swordy, 27 ans, animatrice. L’affiche symbolise ainsi toute l’activité de l’association.

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  • La Vie des idées - Peut-on ne pas vouloir être libre ? À propos de : Manon Garcia, On ne naît pas soumise, on le devient, Flammarion

    Comment expliquer en féministe que certaines femmes acceptent la domination masculine ? Ce n’est pas un choix, mais un « consentement actif », selon Manon Garcia qui se place dans la lignée de Simone de Beauvoir.

    La philosophe Manon Garcia tente avec son premier ouvrage un véritable numéro d’équilibre. Poser la question de la soumission féminine depuis une perspective féministe relève d’un travail exigeant, puisqu’à tout moment se profile la menace d’une double récupération : l’une antiféministe – les femmes, par nature, aiment être soumises – l’autre colonialiste et orientaliste – les femmes de « là-bas » sont soumises, celles de « chez nous » sont libres et émancipées.

    On ne naît pas soumise, on le devient accomplit le tour de force qui consiste à ne prêter le flanc à aucune des deux. Pour faire cela, l’autrice choisit de travailler à partir de la pensée de Simone de Beauvoir. L’ouvrage propose ainsi une forme d’exégèse appliquée de l’œuvre de la philosophe : Manon Garcia détaille de manière à la fois limpide et précise la pensée beauvoirienne à partir de la problématique du consentement à la soumission.

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  • Le JDD - Raphaël Glucksmann et Place publique dans une impasse

    Après le refus d'EELV, du PCF et de Benoît Hamon, seul le PS est encore disponible pour une alliance. Un tête‑à-tête dont Place publique ne veut pas.

    Depuis le week-end dernier et la réunion à huis clos de Place publique à Metz, Raphaël Glucksmann n'avait rien dit. Est-ce le signe que son mouvement, lancé avec l'économiste Thomas Porcher et l'écologiste Claire Nouvian pour créer en vue des européennes un large rassemblement d'une gauche écologiste, se trouve dans une impasse? Beaucoup le pensent, au PS, chez Benoît Hamon ou à Europe Écologie-Les Verts (EELV). "Je ne dirais pas que nous sommes dans une impasse, mais il y a un problème, c'est sûr", reconnaît Glucksmann.…

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  • Le Point - Les ambiguïtés assumées de François Ruffin

    Le député de La France insoumise publie un brûlot contre Emmanuel Macron. Brillant, mais non dénué de sous-entendus sur les « puissants amis » du président.

    On tient donc le premier opposant à Emmanuel Macron. Opposant, le mot est faible, puisque François Ruffin déteste le chef de l'État, et il ne s'en cache pas. Avec lui, c'est le retour de la politique, de la lutte des classes, d'une rhétorique d'avant-guerre, d'une violence dans l'affrontement et de sa mise en spectacle. François Ruffin concentre tout ça dans un livre. Comme il ne fait jamais rien comme les autres, il a tenu secrète la date de parution de son pamphlet dédié à Emmanuel Macron. Le titre : Ce pays que tu ne connais pas.

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  • Public Sénat - A trois mois des européennes, l'union en panne à gauche

    Chacun dans son couloir, pour le meilleur et pour le pire: à trois mois des européennes, plus grand monde ne semble croire à une...

    Chacun dans son couloir, pour le meilleur et pour le pire: à trois mois des européennes, plus grand monde ne semble croire à une union des forces de la gauche non-mélenchoniste, même si le PS se laisse jusqu'au 16 mars pour trancher.

    Benoît Hamon, fondateur de Générations, avait lancé le 8 février l'idée d'une "votation citoyenne" permettant d'unir les formations politiques se partageant cet espace, laissant jusqu'au 22 février aux partis pour lui répondre.

    Las, pour l'ancien candidat PS à la présidentielle, l'idée a fait long feu, seuls Nouvelle Donne, les Radicaux de gauche et le MDP se montrant intéressés.

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  • Le Monde - A défaut d’union de la gauche, Benoît Hamon va présenter sa liste pour les européennes

    L’idée d’une votation a été un échec. Seuls Place publique et le Parti socialiste semblent se rapprocher.

    La proposition aura fait long feu. Benoît Hamon, qui avait plaidé dans Le Monde pour la mise en place d’une votation citoyenne en vue d’unir la gauche lors des élections européennes du 26 mai, renonce, faute de partenaire. Dans un entretien au Parisien du dimanche 24 février, il annonce qu’il « prendra la tête de la liste de Génération. s »

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  • Libé - Hamon espère bétonner sa primaire européenne via un sondage

    Face aux refus ou aux réactions timorées, le leader du mouvement Génération·s a commandé un sondage sur sa proposition de votation citoyenne pour unir la gauche en vue des européennes.

    Vendredi 8 février : Benoît Hamon surprend son monde. Le leader du mouvement Génération·s propose une votation citoyenne, une sorte de primaire 2.0, pour rassembler la gauche en vue des élections européennes. Depuis, les jours passent et ça ne se bouscule pas vraiment. Les écologistes et insoumis ont décliné. Les communistes et socialistes regardent ailleurs. Mais Benoît Hamon croit en son idée, persuadé que c’est la meilleure façon pour la gauche de ne pas aller au scrutin en ordre dispersé et, partant, de se faire piétiner.

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  • Regards, Gaël Brustier - Parti socialiste : la maison des destins croisés

    Après Hollande, avec Macron, les socialistes ont complètement perdu le Nord. C’est comme si plus personne dans la maison PS n’était capable de trancher sur la ligne à adopter : la social-démocratie ou le libéralisme ?

    Le Parti socialiste, (re)fondé en 1971 par François Mitterrand, allié à la droite et à la gauche de ce parti, contre un centre qui lui résistait en vain, a porté au pouvoir avec le présidence Hollande des idées en phase avec le consensus doctrinal de l’Union européenne et un personnel politique davantage soucieux de plaire aux milieux dirigeants de l’économie globalisée qu’à la base électorale historique de la gauche.

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  • Le PS de donne jusque début mars pour trouver des alliés

    PARIS (Reuters) - Le Parti socialiste se donne jusque début mars pour tenter de trouver une union à gauche autour de combats communs, comme le souhaite le premier secrétaire Olivier Faure, a déclaré mercredi le député PS Boris Vallaud.

    Si nécessaire, Olivier Faure se présentera à la tête de la liste socialiste, a ajouté le porte-parole du groupe à l'Assemblée nationale.

    "Est-ce que le Parti socialiste pourrait partir seul avec un premier secrétaire qui prendrait ses responsabilités en conduisant la liste ? Je vous dis que oui. Est-ce que c'est notre aspiration première ? Je vous dis que non", a dit Boris Vallaud lors d'une rencontre avec l'Association des journalistes parlementaires.

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  • Le Figaro - Rabault (PS) attend une réponse sociale plutôt qu'institutionnelle

    La réponse au grand débat doit être "avant tout économique et sociale" et non "uniquement institutionnelle", a déclaré Valérie Rabault, la présidente du groupe PS à l'Assemblée, après avoir été reçue par Emmanuel Macron.

    "La réponse ne peut pas être qu'institutionnelle (...) Faire un référendum sur les institutions ne résoudra pas" la crise, a déclaré Valérie Rabault à la presse à l'Élysée. "Pour moi, c'est avant tout une réponse économique et sociale" qu'il faut apporter, a-t-elle ajouté. En faisant une comparaison entre la situation actuelle et mai 68: "Quand le général de Gaulle a voulu résoudre 68, il a fait le Grenelle. C'est-à-dire (une réunion) avec les partenaires sociaux" et "pas juste une réforme institutionnelle".

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