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Article du jour - Page 73

  • Public Sénat - Place publique face à une vague de départs de fondateurs déçus

    Déçus par un fonctionnement "pyramidal" et l'alliance avec le PS malgré la promesse initiale d'un large rassemblement, près de la moitié des fondateurs de Place publique ont déserté le mouvement de Raphaël Glucksmann au cours du mois écoulé, ont expliqué plusieurs d'entre eux à l'AFP.

    Lancé en novembre 2018 avec l'ambition d'unir la gauche, Place publique est finalement opposé à Générations, le parti de Benoît Hamon, et à EELV, deux formations avec lesquelles Raphaël Glucksmann avait espéré, dans un premier temps, faire liste commune.

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  • Libé - Le tirage au sort, une idée pas si hasardeuse

    Parmi les pistes qui ont émergé lors du grand débat, la désignation, sur le modèle des jurys populaires, de commissions de citoyens pour débattre de grands sujets intéresse l’exécutif. Une façon de répondre au sentiment de déficit démocratique.

    Régénérer nos institutions sur un coup de dés ? Alors qu’à la sortie du grand débat national, l’exécutif et sa majorité cherchent des solutions pour tenter de réduire le fossé entre les Français et leurs gouvernants, la piste du tirage au sort fait discrètement son chemin. Certes, au chapitre «Démocratie et citoyenneté», les projecteurs ont été davantage braqués sur le fameux RIC, mais le «référendum d’initiative citoyenne» plébiscité par les gilets jaunes semble déjà exclu.

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  • Le Parisien - Parti socialiste : face aux oppositions internes, le coup de poker d’Olivier Faure

    En choisissant Raphaël Glucksmann comme tête de liste pour les européennes, le premier secrétaire du PS, qui espère réunir la gauche, s’est aussi attiré nombre de critiques. Un choix à quitte ou double.

    « Le PS est de retour ! Tout commence aujourd’hui ! » C’était il y a un an, le 7 avril 2018, à Aubervilliers, dans la banlieue parisienne. Des milliers de militants socialistes, encore sonnés par leur déroute aux dernières présidentielle et législatives, venaient d’élire à leur tête Olivier Faure. Un quinquagénaire, député de Seine-et-Marne à la figure triste et comme s’excusant d’être arrivé jusque-là…

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  • Le Monde - Des parlementaires lancent une procédure de référendum contre la privatisation des aéroports de Paris

    Deux cent dix-huit parlementaires ont signé un texte contre la privatisation d’ADP, première étape pour l’organisation d’un référendum d’initiative partagée.

    Mardi 9 avril à l’Assemblée nationale, une brochette de parlementaires tout sourire pavoise en salle des conférences de presse. « Je ne suis pas sûr que vous voyiez souvent ce type de photos », s’amuse Patrick Kanner, patron des sénateurs socialistes, exceptionnellement présent au Palais-Bourbon. L’image est triplement inédite. Il y a là, fait rarissime, des représentants de neuf groupes parlementaires (de députés et de sénateurs), des Républicains (LR) à La France insoumise (LFI), rassemblés pour annoncer un moment historique.

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  • Marianne - Chiffre d'affaires épargné et risque d'inconstitutionnalité : la très imparfaite "taxe GAFA"

    La "taxe GAFA", visant à imposer les géants du numérique, a été adoptée ce lundi 8 avril à l'Assemblée nationale. Derrière une initiative française particulièrement bienvenue, certains regrettent que ce nouvel impôt soit insuffisant. D'autres soulèvent le risque de retoquage par le Conseil constitutionnel. Explications.

    Bruno Le Maire l'a défendue dans l'hémicycle comme une mesure "à l'honneur de la France". Le projet de taxation des géants du numérique, surnommée "taxe GAFA" (pour Google, Amazon, Facebook et Apple) a été adopté ce lundi 8 avril en première lecture à l'Assemblée nationale. Objectif pour le ministre de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, porteur du texte : que la France ouvre une nouvelle "étape" d'une "fiscalité du XXIème siècle, plus juste et plus efficace".

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  • RFI - Privatisation d’ADP: des parlementaires ouvrent la voie à un référendum inédit

    Des parlementaires ont annoncé ce mardi 9 avril avoir recueilli le nombre de voix nécessaires pour déclencher un référendum d'initiative partagée (RIP) inédit contre la privatisation d'Aéroports de Paris (ADP).

    « Nous avons cherché les moyens (...) d'éviter l'irrémédiable », a déclaré le porte-parole des députés PS Boris Vallaud lors d'une conférence de presse. Alors que 185 signatures de parlementaires sont nécessaires pour déclencher un référendum d'initiative partagée, 197 députés et sénateurs d'opposition se sont exprimés contre la privatisation d'Aéroports de Paris (ADP).

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  • Elections européennes : une candidate de la liste PS-Place publique demande à siéger avec les écologistes

    Aurore Lalucq souhaite rejoindre le groupe écologiste au Parlement européen si elle est élue au mois de mai.

    Le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure annonce dimanche 7 avril lors de l'émission Questions politiques diffusée sur franceinfo et France Inter, que l'une des candidates de la liste commune PS – Place publique demande à siéger avec les écologistes en cas d'entrée au Parlement européen à l'issue du scrutin du 26 mai.

    "Il y a Aurore Lalucq, qui est une ex de 'Génération.s' [mouvement lancé par Benoît Hamon] qui est une économiste de la transition écologique. Elle m'a dit que elle, elle souhaitait siéger demain au parlement européen dans le groupe écologiste", explique le premier secrétaire du PS.

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  • "C'était la gauche qui se retrouve" : Olivier Faure, "fier" de Raphaël Glucksmann qui a donné son premier meeting à Toulouse

    "Je suis fier d'avoir aujourd'hui une tête de liste qui ne ressemble à aucune autre", a soutenu Olivier Faure samedi sur franceinfo, après le premier meeting de Raphaël Glucksmann, tête de liste Nouvelle donne PS/Place publique, à Toulouse.

    "J'étais vraiment sous le charme comme toutes celles et ceux qui ont assisté", a réagi sur franceinfo Olivier Faure, Premier secrétaire du PS, après le premier meeting pour les élections européennes de Raphaël Glucksmann, tête de liste Nouvelle donne PS/Place publique, samedi 6 avril à Toulouse. "

    C'était la gauche qui se retrouve qui a envie de faire ensemble", a-t-il ajouté. "Je suis fier d'avoir aujourd'hui une tête de liste qui ne ressemble à aucune autre", a soutenu Olivier Faure qui en a "ras-le-bol de la politique formatée. L'air qui souffle aujourd'hui sur cette liste, c'est vraiment ce qui me fait vibrer".

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  • Huffington Post - Les premiers pas timides de Raphaël Glucksmann font-ils peur au PS?

    La tête de liste PS-Place publique a participé à son premier débat jeudi soir, avant un meeting ce samedi.

    Assumer la différence. Le Parti socialiste savait qu’en mettant ses pas dans ceux de Raphaël Glucksmann, il lui faudrait composer avec une personnalité peu aguerrie aux joutes politiques. Trois semaines après l’officialisation de l’alliance en vue des européennes, le tandem enchaîne les premières. Avant un premier meeting commun ce samedi à Toulouse, la tête de liste a affronté jeudi soir son premier débat.

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  • Le Monde - Européennes 2019 : à Toulouse, Raphaël Glucksmann affiche encore sa différence

    Près de 500 militants socialistes se sont retrouvés samedi à Toulouse pour le meeting de la tête de liste du Parti socialiste et de Place publique, après sa prestation ratée lors du débat de France 2.

    C’est le test du terrain après le crash. Dans une salle du stade Ernest Wallon, le temple du Stade toulousain, à Toulouse (Haute-Garonne), il fallait montrer que les militants socialistes soutenaient le choix de leur direction de s’unir avec Place publique. Donner le signal aussi qu’ils voulaient partir au combat pour les élections européennes, derrière Raphaël Glucksmann, après sa prestation ratée lors du débat télévisé de France 2. Mais ce samedi 6 avril, la démonstration peinait à convaincre : quelque 500 militants et sympathisants avaient fait le déplacement, une assemblée bien modeste dans une des places fortes du PS, qui compte encore 2 500 adhérents. Et la tête de liste a livré un discours encore tâtonnant.

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  • Le Figaro - Européennes: l’inquiétude monte au PS

    «Il y a une grosse marge de progression»

    «Je n’ai pas trouvé que c’était catastrophique pour un premier débat et beaucoup de gens ont été touchés par sa sincérité et sa conclusion», indique pour sa part une proche de l’essayiste, associé au PS. Mais elle le reconnaît: «Il y a une grosse marge de progression». Une réalité dont le candidat lui-même semble avoir conscience. Selon un témoin présent dans les studios à l’issue du débat ni lui ni son entourage ne semblaient satisfaits de l’exercice. «Ils sont partis dans la loge et ils ont mis un temps fou à venir prendre un verre avec les autres candidats», indique-t-on.

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