Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Article du jour - Page 72

  • Huffington Post - Les premiers pas timides de Raphaël Glucksmann font-ils peur au PS?

    La tête de liste PS-Place publique a participé à son premier débat jeudi soir, avant un meeting ce samedi.

    Assumer la différence. Le Parti socialiste savait qu’en mettant ses pas dans ceux de Raphaël Glucksmann, il lui faudrait composer avec une personnalité peu aguerrie aux joutes politiques. Trois semaines après l’officialisation de l’alliance en vue des européennes, le tandem enchaîne les premières. Avant un premier meeting commun ce samedi à Toulouse, la tête de liste a affronté jeudi soir son premier débat.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Le Monde - Européennes 2019 : à Toulouse, Raphaël Glucksmann affiche encore sa différence

    Près de 500 militants socialistes se sont retrouvés samedi à Toulouse pour le meeting de la tête de liste du Parti socialiste et de Place publique, après sa prestation ratée lors du débat de France 2.

    C’est le test du terrain après le crash. Dans une salle du stade Ernest Wallon, le temple du Stade toulousain, à Toulouse (Haute-Garonne), il fallait montrer que les militants socialistes soutenaient le choix de leur direction de s’unir avec Place publique. Donner le signal aussi qu’ils voulaient partir au combat pour les élections européennes, derrière Raphaël Glucksmann, après sa prestation ratée lors du débat télévisé de France 2. Mais ce samedi 6 avril, la démonstration peinait à convaincre : quelque 500 militants et sympathisants avaient fait le déplacement, une assemblée bien modeste dans une des places fortes du PS, qui compte encore 2 500 adhérents. Et la tête de liste a livré un discours encore tâtonnant.

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • Le Figaro - Européennes: l’inquiétude monte au PS

    «Il y a une grosse marge de progression»

    «Je n’ai pas trouvé que c’était catastrophique pour un premier débat et beaucoup de gens ont été touchés par sa sincérité et sa conclusion», indique pour sa part une proche de l’essayiste, associé au PS. Mais elle le reconnaît: «Il y a une grosse marge de progression». Une réalité dont le candidat lui-même semble avoir conscience. Selon un témoin présent dans les studios à l’issue du débat ni lui ni son entourage ne semblaient satisfaits de l’exercice. «Ils sont partis dans la loge et ils ont mis un temps fou à venir prendre un verre avec les autres candidats», indique-t-on.

    Lire la suite
    ________________
    ________________

  • France Inter - Européennes : “Il y aura toujours des ronchons”, répond le patron du PS à François Hollande

    Alors que l’ancien président François Hollande s’inquiète de voir des non-socialistes sur la liste du parti aux Européennes, Olivier Faure lui répond : “Il y aura toujours des gens qui considèrent qu’il faut faire comme avant, sauf qu’on sait ce que ça donne”.

    Invité de France Inter mardi matin, l’ancien président François Hollande s’étonnait de voir la campagne du parti qu'il a dirigé pendant 11 ans s’éloigner du socialisme (“Je vote toujours pour les socialistes mais encore faut-il qu’il y en ait”). En effet, la liste du Parti socialiste sera emmenée en deuxième position par la socialiste Sylvie Guillaume, vice-présidente sortante du Parlement européen, mais en première position par Raphaël Glucksmann, tête de liste, venu de Place publique et non socialiste “du cru”.

    Lire la suite
    ________________
    ________________

  • Le Monde - Elections municipales en Turquie : pour Erdogan, un revers cinglant

    Editorial. La perte de villes comme Istanbul et Ankara par l’AKP montre que le président turc, devenu de plus en plus autoritaire, s’est coupé des parties les plus dynamiques du pays.

    Le camouflet est cinglant pour le très autoritaire président turc Recep Tayyip Erdogan. L’ancien maire de la métropole du Bosphore rappelait volontiers que « remporter Istanbul, c’est remporter la Turquie ». Malgré tous les moyens mis en œuvre et le contrôle des médias, l’AKP (Parti de la justice et du développement), le parti islamiste au pouvoir depuis 2002, a perdu, lors du scrutin du 31 mars, la mairie d’Istanbul, ainsi que celles de la capitale, Ankara, et de nombreuses autres villes.

    Lire la suite
    ________________
    ________________

  • France Info - De la Géorgie aux européennes, comment Raphaël Glucksmann, tête de liste soutenue par le PS, s'est lancé pour de bon en politique

    L'essayiste prend la tête de la liste d'alliance PS-Place publique alliée à quelques petits partis, comme Nouvelle Donne. Mais d'où vient ce novice en politique ?

    Ségolène Royal et Julien Dray s'étaient proposés, en vain. C'est finalement Raphaël Glucksmann qui conduira aux européennes la liste PS, alliée au mouvement Place publique qu'il a cofondé. Réussira-t-il à la faire décoller au-delà des 6% dont elle est créditée ? Quelques grognards du PS ont exprimé leur scepticisme, tant l'image de 'bobo parisien" colle au fils du philosophe André Glucksmann. "Au Mans, on ne sait pas qui c'est", a vertement réagi dans L'Obs le maire de la ville et ancien ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll, en apprenant la nouvelle.

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • Europe 1 - Des débuts en politique difficiles ? "Je confirme", ironise Raphaël Glucksmann

    Europe 1 - Des débuts en politique difficiles ? "Je confirme", ironise Raphaël Glucksmann

    Depuis l'annonce de sa candidature aux Européennes, marquant son entrée en politique, Raphaël Glucksmann essuie les plâtres. Il l'a confirmé mardi sur Europe 1.

    INTERVIEW

    En prenant la tête de liste du PS pour les élections européennes, Raphaël Glucksmann entendait réunir la gauche. Mais force est de constater que pour l'heure, les divisions s'aggravent. Stéphane Le Foll qualifie sa désignation de "mauvaise plaisanterie", des membres fondateurs de son mouvement claquent la porte, et les listes à gauche se multiplient.

  • Le Figaro - Revault d'Allonnes (PS): «Cette tradition française de renouvellement permanent est néfaste»

    Députée européenne PS, Christine Revault d'Allonnes a été évincée des places éligibles sur la liste du parti pour l'élection du 26 mai prochain. Elle dénonce l'attitude d'Olivier Faure et s'interroge sur le choix du groupe laissé aux candidats.

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • Le Point - Olivier Faure : « Macron est la dernière survivance de l'ancien monde »

    VIDÉO. Remaniement, européennes, alliances à gauche, écologie... Le premier secrétaire du Parti socialiste est l'invité du grand entretien politique du « Point ».

    « Ah, c'est les radicaux de gauche  ! » Le téléphone d'Olivier Faure vibre, son écran affiche le nom de l'ex-ministre Jean-Michel Baylet, figure tutélaire du PRG. De toute évidence, les négociations entre le Parti socialiste et ses voisins en vue des élections européennes sont loin d'être terminées... Le premier secrétaire nous reçoit au nouveau siège du PS, à Ivry-sur-Seine, pour réaffirmer son objectif de rassemblement de gauche et de modernisation d'un parti où tout est à reconstruire, sans oublier d'étriller le projet européen d'Emmanuel Macron.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Le Figaro - Hollande prend de nouveau la plume et rêve de rénover la gauche

    L'ancien président de la République publie mercredi la version poche de son livre «Les leçons du pouvoir» dans laquelle il a ajouté trois nouveaux chapitres.

    Comment ne pas y voir la nouvelle preuve d'une ambition? Dans la version poche - et augmentée - de son livre Les leçons du pouvoir qu'il publie mercredi 3 avril, François Hollande se pose en rénovateur de la gauche. «Je préconise» ; «la stratégie que je propose», peut-on lire tout au long de ces trois nouveaux chapitres consultés par Le Figaro, alors qu'il liste une série d'idées pour reconquérir l'électorat populaire, «un impératif démocratique». Ainsi évoque-t-il la «nationalisation des biens communs» (l'eau, l'air, les mers, l'air et le sous-sol), une nouvelle étape de décentralisation en confiant des nouvelles compétences aux intercommunalités. Il estime que la gauche doit défendre la Nation et veut relancer l'Union européenne grâce à un partenariat renforcé entre la France et l'Allemagne qui verrait les deux états partager un même siège à l'ONU.

    Lire la suite
    _________________
    _________________

  • Le Figaro - Isabelle Barbéris: «Eschyle censuré, ou quand la moralisation de l'art tourne au grotesque»

    Une poignée de militants antiracistes ont empêché lundi 25 mars la représentation à la Sorbonne des Suppliantes d'Eschyle. Pour la spécialiste des arts du spectacle Isabelle Barbéris, cette polémique vise en réalité à rendre l'ensemble de la culture classique européenne suspecte de racisme.


    Agrégée de Lettres modernes, ancienne élève de l'École normale supérieure de Fontenay Saint-Cloud, Isabelle Barbéris est Maître de conférences en arts du spectacle à l'université Paris Diderot et chercheuse associée au CNRS. Elle est l'auteur aux PUF de L'art du politiquement correct.

    FIGAROVOX.- À la Sorbonne, une représentation des «Suppliantes» d'Eschyle a été empêchée par des militants indigénistes, qui protestaient contre le maquillage et les masques portés par des comédiens blancs. Qu'en pensez-vous?

    Lire la suite
    ________________
    ________________