A quelques mois des élections, le patron de Génération·s se retrouve isolé alors que son ancien parti fait affaire avec Place publique et qu’EE-LV refuse toute alliance.
Après des mois de brouillard, le paysage politique se dessine lentement : la gauche avance éparpillée vers les européennes. Chaque famille dégaine de sa besace au moins une bonne raison de présenter son propre logo le jour du vote. Raphaël Glucksmann, qui conduira la liste du PS, est l’unique surprise du film. Et tout le monde n’a pas le sourire. Ce scénario file un goût amer à Benoît Hamon.
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