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Article du jour - Page 67

  • Rue 89 - Végétalisation VS piétonnisation : la bataille Collomb/Kimelfeld passe par la Presqu’île

    Nouvel épisode de la bataille entre le maire de Lyon et le président de la Métropole. Toujours sur la thématique écolo. Cette fois-ci, c’est la Presqu’île qui est concernée. Gérard Collomb annonce une végétalisation. Moins d’une semaine après, David Kimelfeld lance une expérimentation autour de la piétonnisation de l’hypercentre. L’air de la campagne en centre-ville, en somme.

    La végétalisation de la Presqu’île selon Gérard Collomb

    Des pots de fleurs sur les voies de bus. C’est le projet « Presqu’île nature » proposé par le maire Gérard Collomb le 6 juin dernier pour la rue Edouard Herriot et la rue de Brest. Le but, à en croire le dossier de presse :

    « végétaliser le cœur de ville et ainsi créer des îlots de fraicheur et des espaces de convivialité » pour créer « une trame verte » entre la place des Terreaux et la place Bellecour ».

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  • Libé - A la mairie de Barcelone, la perdante est la gagnante, grâce à Valls

    Ada Colau (Podemos), maire sortante, a été élue samedi par le conseil municipal. Deuxième des élections derrière le candidat indépendantiste, elle a obtenu le soutien des socialistes et des élus de la liste de l'ex Premier ministre, arrivé seulement quatrième.

    La maire de gauche sortante de Barcelone Ada Colau a été réélue samedi, battant un indépendantiste arrivé en tête du scrutin, après avoir conclu un accord avec les socialistes et obtenu le soutien inattendu de Manuel Valls. Le 26 mai, elle avait avait perdu de justesse les élections municipales au profit d’Ernest Maragall, un homme politique chevronné de l’ERC, parti qui prône l’indépendance de la Catalogne.

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  • Le Progrès - Villeurbanne : Jean-Paul Bret renonce à un 4e mandat de maire

    «Personne n’est indispensable. » C’est avec une sérénité affichée que Jean-Paul Bret a annoncé qu’il ne serait candidat ni aux élections municipales, ni aux élections métropolitaines de 2020. A bientôt 73 ans, après 40 ans d’une « vie politique riche » et trois mandats de maire – plus que ses prédécesseurs Charles Hernu et Gilbert Chabroux -, il s’interdit de briguer un mandat de trop.

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  • L'Obs - Une note interne à La France insoumise étrille (sans le nommer) Jean-Luc Mélenchon

    Le fonctionnement du mouvement, pensé par le député de Marseille, serait désormais « dangereux pour l’avenir ».

    C’est une pierre de plus – et elle est de taille – dans le jardin de Jean-Luc Mélenchon. Fragilisé par les déclarations de la députée « insoumise » Clémentine Autain et son appel en faveur d’un « big bang de la gauche », le leader de La France insoumise est en réalité face à une contestation bien plus large dans ses rangs. « Le Monde » révèle ce jeudi 6 juin l’existence d’une note interne qui critique vertement le fonctionnement du mouvement et le leadership imposé par Jean-Luc Mélenchon.

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  • Libé - Charlotte Girard quitte la France insoumise : «Il n'y a pas moyen de ne pas être d'accord»

    Co-rédactrice du programme de LFI pour la présidentielle de 2017, Charlotte Girard était une pierre angulaire du mouvement. Jean-Luc Mélenchon devrait s'exprimer prochainement.

    Samedi, le mot «triste» est souvent revenu dans la bouche des insoumis. Une mauvaise nouvelle est tombée sur la tête du mouvement fondé par Jean-Luc Mélenchon. Charlotte Girard a publié un post sur Facebook pour annoncer son départ après des mois de divergences avec les têtes pensantes de la France insoumise. «Je n’ai jamais voulu déranger. J’ai été élevée comme ça. Quand les désaccords sont venus, j’aurais beaucoup donné pour pouvoir partir sur la pointe des pieds», écrit-elle.

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  • Rue 89 - Le PS de Lyon change de braquet et s’oppose à l’Anneau des sciences

    A la veille des élections locales, chacun fourbit ses armes. Et il n’aura échappé à personne que l’argument environnemental et écologique est devenu central. Pourquoi pas dans le but de séduire du côté du parti qui a le vent en poupe, EELV -en vue de possibles rapprochements, autrement appelés « rassemblement ».

    Ce jeudi soir, à l’occasion d’un des multiples débats publics organisés autour du noeud ferroviaire lyonnais (voir notre article sur le sujet), Sandrine Runel, conseillère métropolitaine socialiste, a pris en charge le propos :

    « Ce qui pèse aujourd’hui lourdement sur la qualité de vie des habitants de Lyon, ce n’est pas la saturation ferroviaire, mais la saturation automobile. Pour y répondre, il faut commencer par ne pas développer le trafic automobile. Pour ces raisons,  je me réjouis de l’abandon de l’A45, et je demande l’abandon de l’Anneau des sciences. »

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  • Les décodeurs du Monde - Les contradictions de Yannick Jadot sur les vaccins et l’homéopathie

    L’écologiste a été interpellé au sujet de certaines positions de Michèle Rivasi, numéro deux de sa liste aux européennes.

    « C’est devenu impossible, là. » Invité de France Inter lundi 3 juin, Yannick Jadot a été interpellé par un auditeur, Guy, se présentant comme un « vieux militant écologiste ». Ce dernier s’est inquiété du fait que Michèle Rivasi était en deuxième position sur la liste écologiste aux européennes, lui reprochant sa position « antivaccination maladive » et son soutien « aux laboratoires Boiron pour l’homéopathie ».

    Appelé par l’auditeur à clarifier sa position sur ces deux sujets, Yannick Jadot a défendu la ligne de son mouvement et la numéro deux de sa liste. Mais ses réponses appellent plusieurs précisions. Explications.

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  • Le Figaro - Jadot esquisse les contours d'un parti au-delà des Verts

    Le député écologiste européen Yannick Jadot, dont la liste a créé la surprise en arrivant en troisième position aux élections européennes, a déclaré lundi qu'il souhaitait créer un parti de gouvernement plus large qu'Europe Ecologie-Les Verts. «Il va falloir très clairement dépasser Europe Ecologie-Les Verts. C'est le mouvement qui a permis ce succès, avec d'autres», a-t-il dit sur France Inter. «Il va falloir à minima que tous les mouvements écolos se retrouvent dans la même maison mais surtout, on veut construire le grand mouvement politique de demain», a-t-il ajouté.

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    Huffington Post - EELV et Yannick Jadot mis en garde contre "le pêché d'isolement"

    Parmi les autres signataires, figurent des élus EELV mais aussi l’Insoumise Clémentine Autain ou encore le hamoniste Guillaume Balas.

    Plusieurs personnalités écologistes et de gauche, dont des membres d’EELV, ont mis en garde Yannick Jadot et la direction du parti, mercredi, dans Libération, contre le “péché d’orgueil et d’isolement” après leur bon résultat aux élections européennes.

    “Les écologistes, comme dans plusieurs pays européens, réalisent une poussée significative (...). Pour autant, ils doivent prendre garde au péché d’orgueil et d’isolement”, écrivent 160 personnalités dans une tribune, dont l’ancien d’EELV Noël Mamère et l’eurodéputée EELV Michèle Rivasi, qui figurait en deuxième position sur la liste de Yannick Jadot aux européennes.

    Libé - Ecologistes : le mauvais génie de l’hégémonie ?

    Auréolés de leur succès aux élections européennes, Yannick Jadot et les Verts affirment haut et fort leur indépendance et leur refus de tout accord d’appareil avec des formations de gauche reléguées loin derrière

    Les écologistes ne touchent plus terre. Perchés sur leur petit nuage, ils guettent le monde politique qui s’agite autour d’eux, la foule leur faire des grands signes de la main. Mais les Verts regardent ailleurs. Après leur joli score aux européennes (13,4 %), ils rêvent de conquérir le pays tous seuls, comme des grands. Persuadés que l’écologie devient la seule force capable de rivaliser face aux libéraux et aux nationalistes et que la gauche ne se conjugue plus au futur

  • L'Obs - « Big bang de la gauche » : Clémentine Autain défie Jean-Luc Mélenchon

    Après avoir critiqué la ligne populiste de LFI, la députée insoumise plaide pour « un big bang de la gauche » dans une tribune au « Monde ».

    Dans l’univers si discipliné de la France insoumise, cela ressemble à une déclaration de guerre. Ce mardi 4 juin, la députée insoumise Clémentine Autain appelle dans une tribune au « Monde » à un « big bang de la gauche » afin de « construire une espérance capable de rassembler et de mobiliser ». « Le pire serait de continuer comme avant, de croire que quelques micro-accords de sommet et de circonstances pourraient suffire à régénérer le camp de l’émancipation, que l’appel à une improbable union de la gauche à l’ancienne serait le sésame. […] Il est temps de se parler et de s’écouter, de se respecter pour pouvoir avancer en combinant le combat pour les exigences sociales et écologiques », peut-on lire dans ce texte signé par un millier de personnes.

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    Pour un Big Bang, Il est minuit moins deux. L'urgence nous oblige.

    Où sont passés la colère sociale et l’esprit critique qui s’aiguisent depuis des mois dans notre pays ? Ils demeurent dans les têtes, dans les cœurs et dans la rue. Mais la situation politique est catastrophique. Au lendemain des élections européennes, le bon résultat de l’écologie politique ne peut masquer le fait que la gauche est en miettes, désertée par une très grande partie des classes populaires. La gauche et l’écologie politique sont loin de pouvoir constituer une alternative alors même que le pouvoir en place et la droite fascisante dominent la scène politique dans un face à face menaçant où chacun se nourrit du rejet de l’autre et le renforce. Le pire peut désormais arriver. Nous n’acceptons pas ce scénario. Nous devons, nous pouvons proposer un nouvel horizon.

    Huffington Post - Européennes: la France insoumise entre autocritique et "digestion lente" après sa défaite

    Alors que Jean-Luc Mélenchon garde le silence, les tenants de la stratégie populiste et les partisans de l'union de la gauche se disputent la ligne du mouvement.

    “La pente qui est prise est mauvaise. Il est possible de l’inverser. Mais cela est impossible si chacun ne prend pas pour lui-même ses responsabilités”. Ainsi avait réagi dimanche 26 mai Jean-Luc Mélenchon, la mine et le ton particulièrement graves, au soir de la sévère défaite enregistrée par la France insoumise aux élections européennes.

  • France Inter le 26 mai - Michel Serres : "Les institutions sont désadaptées par rapport à l'état actuel du monde"

    Michel Serres, philosophe, était l'invité de « Questions Politiques » ce dimanche. Une émission présentée par Ali Baddou avec Carine Bécard (France Inter), Françoise Fressoz (Le Monde) et Jeff Wittenberg (France Télévisions).

    Faute de pouvoir évoquer les élections européennes en ce dimanche de vote, Michel Serres a accepté notre invitation pour évoquer la vie (politique ou non), l'univers... et le reste. Et notamment la violence supposée de notre société actuelle, que ce soit dans le réel ou le virtuel : "localement, il y a de la violence, les attentats, etc.", rappelle le philosophe. "Mais si vous regardez globalement ce qui se passe depuis 10, 20, 100 ans, la violence ne cesse de baisser : que ce soit la violence politique, la guerre, les attentats, les violences individuelles... On est toujours attentif au phénomène factuel, aujourd'hui, l'actu... Mais globalement, ce n'est pas vrai ! C'est presque contre-intuitif, personne ne le croit..."

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  • Le Point - Allemagne : les Verts, nouveaux adversaires de Merkel

    Le SPD a pris l'eau ; la CDU de la chancelière sauve sa place de premier parti du pays, mais devra compter avec les Grünen pour diriger le pays.

    Une victoire historique ! Un résultat sensationnel ! Aujourd'hui, c'est « Sunday for future » ! Les Grünen jubilent dès l'annonce des premières estimations à 18 heures. Plus de 20 %. Les chiffres qui s'affichent sur l'écran géant à la maison Heinrich Böll, le siège du parti, comblent toutes les espérances des militants : 10 points de plus par rapport aux dernières européennes. Les Grünen doublent non seulement leur score de 2014, mais – pour la première fois au niveau fédéral – ils s'imposent comme la seconde force politique après l'union conservatrice CDU-CSU, qui arrive en tête, même affaiblie. Les Verts ravissent aux sociaux-démocrates cette place qui leur appartient traditionnellement. Sans attendre les résultats définitifs, on sait en début de soirée que SPD sera le grand perdant de cette élection.

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