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Article du jour - Page 66

  • L'Obs - « Big bang de la gauche » : Clémentine Autain défie Jean-Luc Mélenchon

    Après avoir critiqué la ligne populiste de LFI, la députée insoumise plaide pour « un big bang de la gauche » dans une tribune au « Monde ».

    Dans l’univers si discipliné de la France insoumise, cela ressemble à une déclaration de guerre. Ce mardi 4 juin, la députée insoumise Clémentine Autain appelle dans une tribune au « Monde » à un « big bang de la gauche » afin de « construire une espérance capable de rassembler et de mobiliser ». « Le pire serait de continuer comme avant, de croire que quelques micro-accords de sommet et de circonstances pourraient suffire à régénérer le camp de l’émancipation, que l’appel à une improbable union de la gauche à l’ancienne serait le sésame. […] Il est temps de se parler et de s’écouter, de se respecter pour pouvoir avancer en combinant le combat pour les exigences sociales et écologiques », peut-on lire dans ce texte signé par un millier de personnes.

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    Pour un Big Bang, Il est minuit moins deux. L'urgence nous oblige.

    Où sont passés la colère sociale et l’esprit critique qui s’aiguisent depuis des mois dans notre pays ? Ils demeurent dans les têtes, dans les cœurs et dans la rue. Mais la situation politique est catastrophique. Au lendemain des élections européennes, le bon résultat de l’écologie politique ne peut masquer le fait que la gauche est en miettes, désertée par une très grande partie des classes populaires. La gauche et l’écologie politique sont loin de pouvoir constituer une alternative alors même que le pouvoir en place et la droite fascisante dominent la scène politique dans un face à face menaçant où chacun se nourrit du rejet de l’autre et le renforce. Le pire peut désormais arriver. Nous n’acceptons pas ce scénario. Nous devons, nous pouvons proposer un nouvel horizon.

    Huffington Post - Européennes: la France insoumise entre autocritique et "digestion lente" après sa défaite

    Alors que Jean-Luc Mélenchon garde le silence, les tenants de la stratégie populiste et les partisans de l'union de la gauche se disputent la ligne du mouvement.

    “La pente qui est prise est mauvaise. Il est possible de l’inverser. Mais cela est impossible si chacun ne prend pas pour lui-même ses responsabilités”. Ainsi avait réagi dimanche 26 mai Jean-Luc Mélenchon, la mine et le ton particulièrement graves, au soir de la sévère défaite enregistrée par la France insoumise aux élections européennes.

  • France Inter le 26 mai - Michel Serres : "Les institutions sont désadaptées par rapport à l'état actuel du monde"

    Michel Serres, philosophe, était l'invité de « Questions Politiques » ce dimanche. Une émission présentée par Ali Baddou avec Carine Bécard (France Inter), Françoise Fressoz (Le Monde) et Jeff Wittenberg (France Télévisions).

    Faute de pouvoir évoquer les élections européennes en ce dimanche de vote, Michel Serres a accepté notre invitation pour évoquer la vie (politique ou non), l'univers... et le reste. Et notamment la violence supposée de notre société actuelle, que ce soit dans le réel ou le virtuel : "localement, il y a de la violence, les attentats, etc.", rappelle le philosophe. "Mais si vous regardez globalement ce qui se passe depuis 10, 20, 100 ans, la violence ne cesse de baisser : que ce soit la violence politique, la guerre, les attentats, les violences individuelles... On est toujours attentif au phénomène factuel, aujourd'hui, l'actu... Mais globalement, ce n'est pas vrai ! C'est presque contre-intuitif, personne ne le croit..."

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  • Le Point - Allemagne : les Verts, nouveaux adversaires de Merkel

    Le SPD a pris l'eau ; la CDU de la chancelière sauve sa place de premier parti du pays, mais devra compter avec les Grünen pour diriger le pays.

    Une victoire historique ! Un résultat sensationnel ! Aujourd'hui, c'est « Sunday for future » ! Les Grünen jubilent dès l'annonce des premières estimations à 18 heures. Plus de 20 %. Les chiffres qui s'affichent sur l'écran géant à la maison Heinrich Böll, le siège du parti, comblent toutes les espérances des militants : 10 points de plus par rapport aux dernières européennes. Les Grünen doublent non seulement leur score de 2014, mais – pour la première fois au niveau fédéral – ils s'imposent comme la seconde force politique après l'union conservatrice CDU-CSU, qui arrive en tête, même affaiblie. Les Verts ravissent aux sociaux-démocrates cette place qui leur appartient traditionnellement. Sans attendre les résultats définitifs, on sait en début de soirée que SPD sera le grand perdant de cette élection.

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  • L'Obs - Après leur percée aux Européennes, les Verts à l'heure des choix

    Forts de leur succès aux Européennes, qui traduit le sentiment d'urgence climatique, les Verts disposent d'un "levier" pour peser davantage sur les décisions au Parlement européen, mais font face au choix crucial de rejoindre ou pas une future grande coalition.

    "La perception de l'urgence climatique dans les sociétés et le fait que nous sommes de moins en moins vus comme un parti de niche (...) mais comme un parti de gouvernement, capable d'agir sur le réel, ont fait que les Verts ont percuté dans l'opinion publique", analyse lundi auprès de l'AFP le député européen belge Philippe Lamberts, membre du groupe des Verts au Parlement.

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  • Le Figaro - Municipales : Faure (PS) exclut tout accord avec LREM

    Le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, a exclu mardi tout accord avec la République en marche en vue de nouer des alliances pour les municipales de mars et aura plutôt "à coeur de rassembler la gauche européenne, sociale et écologiste". "Il n'y aura pas d'accord avec la République en marche", a affirmé à l'AFP le député de Seine-et-Marne. "Je ne vois pas ce que nous irions chercher dans une alliance avec la République en marche", avait-il expliqué un peu plus tôt sur Public Sénat.

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  • L'Express - Européennes : au PS, les couteaux s'aiguisent

    Les résultats des élections européennes accordent un peu de répit à la direction socialiste. En attendant les municipales.

    Deux ans après avoir réalisé le pire score de son histoire à l'élection présidentielle, le PS réalise son plus mauvais résultat à l'échelle européenne. Avec 6,16 % des voix, le Parti socialiste reste relégué aux seconds rôles de la vie politique française. Mais, aussi surprenant que cela puisse paraître, la stratégie de l'actuelle direction se retrouve aujourd'hui confortée.

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  • France Info - Projet Jéroboam : quand la CGT dit oui à la Bourse

    La CGT va accompagner l’introduction d’une société en bourse. Il s’agit d’une ancienne filiale de Saint-Gobain (Verallia, numéro trois mondial des emballages en verre). L'idée est de réaliser une opération socialement responsable.

    La CGT va accompagner l’introduction en Bourse de Verallia (une ancienne filiale de Saint-Gobain). L'idée est de réaliser une opération socialement responsable. Cet objectif n’est pas étonnant, il répond à la demande du moment. C’est l’initiative de la centrale syndicale qui mérite d’être regardée de plus près. Verallia est aujourd’hui détenue à 90% par la société de capital investissement américaine Apollo, et à 10% par Bpifrance, l’ex-banque publique d’investissement. Si les conditions de marché le permettent, l'introduction sur le marché devrait être réalisée dans le courant du second semestre.

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  • L'Obs - Hollande: ce serait "extrêmement grave" qu'il n'y ait pas d'eurodéputé PS

    Paris (AFP) - Il "serait extrêmement grave" que les socialistes français soient absents du Parlement européen à l'issue du scrutin du 26 mai, a déclaré mercredi François Hollande, apportant clairement son soutien à Raphaël Glucksmann.

    "Ce serait extrêmement grave, pas simplement pour les socialistes et pour la gauche, ce serait extrêmement grave pour la France", a estimé l'ancien président de la République sur RMC et BFMTV, alors que certains sondages créditent la liste PS-Place publique de moins de 5% des voix, le seuil pour envoyer des députés à Strasbourg.

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  • Libé - Cette gauche européenne intéressée par l'alliance proposée par Macron

    A l'image du Premier ministre portugais, António Costa, plusieurs responsables socio-démocrates se disent prêts à faire front commun contre les nationalistes et les conservateurs du PPE.

    Au centre droit en France, au centre gauche en Europe : dans la dernière ligne droite, Emmanuel Macron cultive des alliances à géométrie variable. Lundi soir, il recevait à l’Elysée le Premier ministre portugais, le socialiste António Costa. Au-delà de leurs différences de sensibilité, les deux hommes laissent voir qu’ils ont en commun une vision «progressiste» de l’Europe et une volonté commune de combattre les nationalistes.

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  • BFMTV - Européennes: Najat Vallaud-Belkacem apporte son soutien à Raphaël Glucksmann

    Lors d'un meeting à Paris, l'ancienne ministre socialiste a salué les efforts faits par la tête de liste PS/Place publique pour "essayer de reconstruire l'unité de la gauche".

  • L'Obs - Fabrice Luchini à la conquête de Collomb

    C’est du côté de la Quinzaine des Réalisateurs que se joue l’un des événements du jour avec la projection de « Alice et le maire », le deuxième long métrage de Nicolas Pariser, auteur d’un précédent et remarqué « Le grand Jeu » qui lui avait valu le prix Delluc du premier film. Fidèle à sa manière de ciseler de pures fictions inspirées de concrètes réalités politiques, il pose cette fois ses caméras à la mairie de Lyon où le maire a perdu son inspiration et le goût de son engagement au sein du Parti Socialiste. Appelé au chevet de ce malade qui ne sait plus s’il veut renoncer à sa carrière ou, au contraire, en gravir l’ultime échelon en devenant président, une jeune philosophe (Anais Desmoutiers, une fois encore parfaite) est chargée de devenir sa boîte à idées.

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