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Article du jour - Page 63

  • Libé - A Lyon, la tentative de suicide d'un étudiant alerte sur la précarité

    Un jeune homme de 22 ans s'est immolé vendredi devant un bâtiment du Crous. «Entre la vie et la mort», il avait annoncé son geste à l'écrit, dénonçant la paupérisation des étudiants.

    «Aujourd’hui, je vais commettre l’irréparable.» Ainsi commence le message sur son mur Facebook de A., étudiant de 22 ans à l’université de Lyon-II. Vendredi, peu avant 15 heures, le jeune homme s’est immolé en pleine rue, devant un bâtiment du Crous (Centre régional des œuvres universitaires et scolaires). Selon le Progrès, «un témoin de la scène qui travaillait sur un chantier s’est précipité avec un extincteur pour éteindre les flammes et des pompiers de passage ont prodigué les premiers secours». Brûlé à 90%, il se trouve «entre la vie et la mort» au Centre des brûlés de l’hôpital Edouard-Herriot de Lyon, selon les syndicats étudiants SUD-éducation et Solidaires.

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  • Libé - AME : l’Igas cherche la fraude mais ne trouve pas

    Missionnées par Matignon, les inspections générales ne sont pas parvenues à établir l’existence d’un «tourisme médical».

    C’est le document sur lequel l’exécutif s’appuie pour justifier sa volonté de réforme des conditions d’accès aux soins des étrangers en situation irrégulière. Un rapport que Matignon a commandité cet été à l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) et à l’Inspection générale des finances, dans le but explicite de lutter contre les abus et fraudes à l’Aide médicale d’Etat (AME), dispositif garantissant la gratuité des soins dispensés aux sans-papiers résidant en France depuis plus de trois mois. Rendu public mardi, le document peine toutefois à étayer les soupçons de «tourisme médical», distillé en haut lieu ces dernières semaines.

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  • L'Obs - Nucléaire, énergies fossiles... On débriefe la convention climat avec quatre participants

    DEUXIEME SESSION. Ils sont médecin, tapissier, auxiliaire de vie… Ils vivent en Bretagne, dans le Var ou dans la Sarthe… « L’Obs » vous propose de suivre quatre des 150 Français tirés au sort pour participer à la convention citoyenne pour le climat.

    « Il faut faire attention à ce qu’on ne fasse pas du speed dating entre pélos sur des sujets ultra-importants. » Il est 13 heures, le dimanche 27 octobre. La deuxième session de la convention citoyenne pour le climat approche de sa fin et l’un des participants exprime son (léger) agacement. Tout au long du week-end, les 150 citoyens tirés au sort ont gambergé sur la notion de « justice sociale », mais aussi sur les thématiques qui leur ont été attribuées : logement, agriculture, transports, etc. Il y a eu des post-it, des tours de parole, des cartons de couleur levés en l’air pour signifier l’assentiment. Et, au final, beaucoup se demandent si l’objectif fixé − trouver des moyens de réduire les émissions de gaz à effet de serre d’au moins 40 % d’ici à 2030 par rapport à 1990 − est atteignable, surtout en seulement six sessions.

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  • Les Echos - Climat, retraites, pauvreté : les citoyens s'impliquent

    La Convention citoyenne sur le climat s'est réunie ce week-end. Ce n'est pas la seule politique publique sur laquelle le gouvernement en appelle à la participation des Français. Pour un exécutif désireux de renouer le fil avec la population, l'intérêt est évident. Mais pour les participants ? Récit.

    « Qu'est-ce que vous vendez ? » Quand Valérie, une infirmière de nuit de cinquante-quatre ans, est réveillée en septembre par un appel matinal, elle croit d'abord à du démarchage téléphonique. Lorsque son interlocuteur commence à lui parler de  la Convention climat , elle pense à « une grosse blague ». Elle vérifie sur Internet : il est bien prévu que 150 citoyens soient tirés au sort pour plancher sur le sujet. Après un délai de réflexion, elle accepte, comme on tente une « expérience humaine », par « curiosité », mais est décidée à débusquer « ce qui se cache derrière ».

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  • France 3 - Historique : pour la première fois, pas de liste PS aux municipales à Toulouse

    C’est une première depuis quasiment 50 ans et la création du PS. Le Parti socialiste n’a pas de liste aux Municipales à Toulouse.

    L’information est passée inaperçue. Mais elle est politiquement et symboliquement forte. En octobre dernier, le bureau national du PS a décidé de soutenir une liste pour les Municipales à Toulouse.

    Autrement dit, pour la première fois depuis 1971, le PS ne va pas investir de candidat. Une vraie rupture dans la vie du Parti socialiste toulousain. Toulouse et le PS entretiennent une relation forte. La ville Rose a hébergé plusieurs congrès importants. Par tradition, les candidats socialistes tiennent leur dernier meeting dans la cité de Jaurès.

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  • Observatoire des inégalités - Pour la création d’un revenu minimum unique

    Propositions 17 octobre 2019

    Éradiquer la pauvreté, c’est possible, grâce à l’instauration d’un revenu minimum unique (RMU), dès 18 ans, de 860 euros par mois, soit l’équivalent du seuil de pauvreté à 50 % du niveau de vie médian. Une proposition de Noam Leandri et Louis Maurin, respectivement président et directeur de l’Observatoire des inégalités.

    La proposition [1] d’un revenu minimum unique garantit un niveau de vie mensuel de 860 euros pour une personne seule, de 1 810 euros pour un couple avec deux enfants. Il inclut d’éventuelles autres allocations perçues par ailleurs (famille ou logement notamment). Les personnes qui touchent déjà des allocations dont le total est supérieur à celui du RMU, ne verront pas baisser leurs allocations. Fixé au seuil de pauvreté à 50 % du niveau de vie médian, le RMU élimine la pauvreté à ce niveau.

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  • Paris Match - Pour Robert Badinter, le voile en sortie scolaire n’est "pas illégal mais pas bienvenu"

    Invité samedi soir dans l’émission «C l’hebdo», sur France 5, Robert Badinter est revenu sur la polémique entourant le port du voile par des mères accompagnant des enfants en sortie scolaire.

    Robert Badinter était invité samedi soir de l’émission «C l’hebdo», sur France 5. Interrogé par Ali Baddou sur la polémique entourant le port du voile par des mères lors de sorties scolaires, l’ancien ministre de la Justice a estimé qu’il n’était pas «illégal mais pas bienvenu». Faisant référence à cette mère prise à partie par un élu FN alors qu’elle accompagnait la classe de son fils au conseil régional de Bourgogne-France-Comté, Robert Badinter a rappelé que «juridiquement, elle pouvait porter ce qu’on appelle le voile». «Est-ce à dire que c’était bienvenu ? Je vous le dis franchement, je ne le pense pas.

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  • Observatoire des inégalités - Le nombre d’allocataires de minima sociaux ne baisse plus

    La baisse du nombre d’allocataire du RSA est interrompue depuis deux ans. Au total, quatre millions de ménages touchent un minimum social.

    Le nombre d’allocataires du revenu de solidarité active (RSA) ne diminue plus depuis les premiers mois de 2017. Fin mars 2019, 1,84 million de foyers touchaient cette prestation, autant que deux ans auparavant. Pourtant, le retournement de la courbe, enregistré fin 2015, était assez net. Le nombre de ménages allocataires du RSA avait diminué de 80 000 au cours de l’année 2016 (- 5 %).

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  • Libé - Municipales : à gauche, oui ou non à l’union ?

    Des socialistes moins hégémoniques depuis 2017, des insoumis moins sûrs d’eux après la claque des européennes, des écologistes qui cognent un peu moins sur leurs concurrents… Mais toujours des egos, des rancœurs et des ambitions. La gauche peut-elle s’entendre pour rebondir aux élections de mars ?

    Une sorte de marronnier. La question se pose inlassablement à chaque fois qu’une élection pointe son nez : la gauche va-t-elle s’unir ? Les municipales approchent et la réponse reste en suspens. Les tractations se multiplient entre les chefs de famille et les concernés dans les grandes et petites villes. Chaque patelin a sa vérité. Parfois, la gauche se parle et s’allie. D’autres fois, elle s’affronte et s’abîme. Premier constat à cinq mois du scrutin : la dynamique n’est pas folle.

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  • Le Figaro - Privatisation d’ADP: «Les citoyens doivent reprendre la main sur l’économie de leur pays»

    FIGAROVOX/ENTRETIEN - À l’origine d’une pétition contre la privatisation des Aéroports de Paris, l’essayiste Coralie Delaume plaide pour un référendum d’initiative partagée qui permettrait aux Français de reprendre la main sur l’économie de leur pays et de contrer le désengagement de l’État.

    FIGAROVOX.- Vous êtes, avec David Cayla, à l’origine d’une pétition contre la privatisation des Aéroports de Paris. À ce titre, vous suivez la campagne du «référendum d’initiative partagé». Où en est-on? La collecte des signatures ne semble pas décoller...

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  • Municipales à Grenoble : le PS au bord de la division après le coup de force des partisans d’Olivier Noblecourt Source : article Municipales à Grenoble : le PS au bord de la division après le coup de force des partisans d'Olivier Noblecourt | Place Gre'n

    DÉCRYPTAGE – Le choix des militants grenoblois et de la fédération du PS de l’Isère de soutenir le collectif emmené par le délégué interministériel Olivier Noblecourt va-t-il emmener le Parti socialiste au bord de l’implosion ? À Grenoble, certains ne font désormais pas mystère de leur volonté de rejoindre le maire sortant pour le premier tour des élections municipales. Reste que la balle est dans le camp des instances nationales. Lesquelles demandent à l’ex-adjoint PS de se positionner clairement et de quitter ses fonctions parisiennes.

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