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Article du jour - Page 61

  • France 3 - Selon la maire de Lille Martine Aubry (PS), avec Macron et sa majorité “d'amateurs“, ”l'inhumanité est en marche”

    La maire PS de Lille Martine Aubry a dénoncé mercredi Emmanuel Macron et sa majorité "d'amateurs", affirmant que "l'inhumanité est en marche dans toutes les politiques" mises en place par le président de la République.

    "M. Macron a dit hier a ses députés +vous avez raison d'être des amateurs+... Ce sont des amateurs ! Et c'est un homme qui, aujourd'hui, sert ceux qui ont déjà beaucoup d'argent", a critiqué sur RTL Mme Aubry, candidate à un quatrième mandat à la tête de la capitale nordiste. 

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  • Libé - Retraites et commission d'enquête : le quatre en un des députés PS

    En ouvrant une commission d'enquête sur l'étude d'impact de la réforme des retraites, le groupe socialiste a réussi à attirer l'attention, unir les oppositions de gauche, ulcérer LREM et semer la division à droite. Strike.

    Avant que ne débutent les débats à l’Assemblée sur la réforme des retraites, Valérie Rabault avait prévenu que le groupe socialiste allait «utiliser toute la batterie d’instruments à disposition : amendements, motion référendaire, motion de censure, et enfin le Conseil constitutionnel». Des paroles aux actes, les députés PS ont annoncé hier leur volonté de créer une commission d’enquête sur «la sincérité» de l’étude d’impact qui accompagne le projet de réforme des retraites. «C’est potentiellement explosif», se réjouissait-on hier au sein d’un groupe socialiste en ébullition au Palais-Bourbon.

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  • Le Monde - 30 % de départs en cinq ans : au Parti socialiste, la fuite massive des cadres

    Recul, rapprochement ou retraite politique… le bureau politique et le secrétariat national ont été profondément renouvellés.

    Ils sont partis à La République en marche (LRM), ont pris la tangente un peu plus à gauche, ou se sont reconvertis en dehors de la politique, comme Eduardo Rihan Cypel qui, après avoir été député et secrétaire national du Parti socialiste (PS), vend désormais des caleçons imprimés de références politiques du XVIIIe siècle. Ce recyclage original n’est pas un cas isolé, y compris chez les plus hauts responsables.

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  • La Montagne - Élections municipales : Clermont-Ferrand sous pavillon PS depuis 1944

    En mars auront lieu les quatorzièmes élections municipales depuis 1945. En 75 ans, Clermont-Ferrand n’a connu que quatre maires. Tous de gauche ! Tous PS.

    Les Français sont attachés à leurs maires. Contestataires au niveau national, ils sont fidèles au niveau local. À Clermont-Ferrand plus qu’ailleurs où la stabilité prévaut depuis 1944.
    Les élections des 15 et 22 mars prochains seront les quatorzièmes depuis 1945. Avec une gauche qui affiche une bonne santé depuis la Libération.
    En sept décennies, la capitale métropolitaine n’a jamais connu d’alternance : quatre maires, tous de gauche. Tous socialistes.

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  • Libé - Hidalgo, une maire sortante pas très à cheval sur l’étiquette PS

    La socialiste est repartie à l’assaut de l’hôtel de ville propulsée par «Paris en commun», une «plateforme citoyenne».

    Anne Hidalgo, passée par trois cabinets ministériels dans le gouvernement Jospin, entre 1997 et 2002, et élue socialiste au Conseil de Paris depuis 2001, est-elle la candidate du PS ? «Non !» évacuent sans hésitation les cadres de sa campagne, comme si la question était une aberration. La maire sortante est repartie à l’assaut de l’hôtel de ville propulsée par «Paris en commun», une «plateforme citoyenne» repeinte en vert. Zappés, les tampons PS avec le poing et la rose.

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  • TV 5 - Retraites: Vallaud (PS) dénonce "un parlement maltraité"

    Le porte-parole du PS Boris Vallaud a dénoncé mardi un "parlement maltraité" à l'occasion du débat sur la réforme des retraites et a accusé Richard Ferrand, le président de l'Assemblée nationale, de ne pas le "défendre".

    "En acceptant ce calendrier, en acceptant cette étude d'impact indigente, (Richard Ferrand) ne défend pas le Parlement, il ne défend pas le droit des Françaises et des Français à avoir un débat parlementaire de qualité", a déploré le député des Landes sur Public Sénat.

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  • Le Figaro - Le CO2 dans l'atmosphère progresse à un rythme quasi sans précédent

    Les incendies en Australie participent à cette hausse, selon des prévisions de l'institut britannique de météorologie publiées vendredi.

    La concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère devrait augmenter cette année à un rythme pratiquement sans précédent depuis le début des mesures en 1958 du fait notamment des incendies en Australie, selon des prévisions de l'institut britannique de météorologie publiées vendredi.

    Le niveau de dioxyde de carbone devrait s'élever à 414 parties par million (PPM) en moyenne sur l'année, soit près de trois unités de plus que la moyenne de l'an dernier, et même culminer à 417 PPM au mois de mai, selon le Met Office

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  • Libé - Retraites : le Conseil d'Etat étrille le gouvernement

    Manque de «précision», projections économiques «lacunaires»... Dans son avis rendu public ce vendredi, la plus haute juridiction administrative estime en outre ne pas avoir eu «les délais de réflexion nécessaires pour garantir au mieux la sécurité juridique»

    Voilà qui ne va pas arranger les affaires du gouvernement. A peine a-t-il fait adopter ce vendredi en Conseil des ministres ses deux projets de loi destinés à créer un régime universel de retraite par points que le Conseil d’Etat, dans son avis publié ce même jour dézingue la manière dont l’exécutif a bouclé ces deux textes qui doivent être examinés à partir du 3 février à l’Assemblée nationale.

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  • Libé - Grâce à Macron, le PS se (re)place au sein de la gauche

    L'opposition au gouvernement et la mobilisation lors des grèves ont rapproché les socialistes et les communistes. Mercredi, des élus des deux partis on présenté leurs contre-propositions pour la réforme des retraites.

    Une belle histoire est en train de naître sous nos yeux : le Parti socialiste se rabiboche avec la gauche rouge et verte. Des papouilles à foison. Les protagonistes saluent les efforts du président de la République, Emmanuel Macron, qui a réussi à mettre tout le monde contre lui. Résultat : les gauches tentent de passer un échelon. Des propositions après l’opposition. Pour le moment, La France insoumise reste à l’écart. Le mouvement de Jean-Luc Mélenchon explique que cette alliance est factice et que les différences restent nombreuses entre uns et les autres.

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  • L'Opinion - Municipales 2020: ces villes où le PS a dû renoncer à prendre la tête d’une liste

    Si les socialistes présentent de bonnes chances de conserver les mairies de Nantes, Paris, Lille et Rennes, ils renoncent ailleurs à se présenter sous leurs propres couleurs au profit d’autres formations

    Opération sauvetage. A moins de deux mois du premier tour des élections municipales, le Parti socialiste se raccroche à ses sortants pour espérer conserver l’un des derniers leviers d’influence qu’il lui reste. Sur les 42 villes de plus de 100 000 habitants, seules 14 sont encore dirigées par des maires issus du parti, dont certains se sont plus ou moins rapprochés de La République en marche (LREM) depuis la dernière présidentielle.

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  • Le JDD - Pourquoi le PS ne fera pas un mauvais score aux municipales

    Au plus bas au niveau national, le Parti socialiste, bien structuré localement, pourrait tirer son épingle du jeu aux municipales de mars. Explications.

    Mardi soir, le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, présente ses voeux pour 2020. Or l'année s'annonce cruciale pour la formation politique, qui a enregistré les défaites et les défections depuis trois ans. Au plus bas, le PS pourrait reprendre des couleurs avec les élections municipales de mars et montrer qu'il reste une force politique sur laquelle il faudra compter à l'avenir. "Si c'est une nouvelle défaite, c'est l'explosion", prévenait Patrick Kanner, le patron des sénateurs PS, dans Les Echos. Ce ne devrait pas être le cas. "Il y a de fortes chances pour que le cru ne soit pas mauvais", explique au JDD le directeur général adjoint de l'Ifop, Frédéric Dabi. Et ce, pour plusieurs raisons. 

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