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International

  • Zohran Mamdani, maire de New-York

    Le Monde - Zohran Mamdani, le candidat démocrate, élu maire de New York

    Celui qui se définit comme socialiste l’emporte largement sur son rival, l’ancien gouverneur de New York Andrew Cuomo, qui avait reçu l’appui de Donald Trump. Le démocrate de 34 ans deviendra le 1ᵉʳ janvier le premier maire musulman de la plus grande ville des Etats-Unis.
     
    Zohran Mamdani a séduit les New-Yorkais avec un programme social centré sur le logement, les transports et la garde d’enfants. Mais la faisabilité de ses mesures, chiffrées en milliards de dollars, reste largement débattue.

    France Info - Six choses à savoir sur Zohran Mamdani, nouveau maire de New York et figure de l'aile gauche des démocrates

    Encore inconnu il y a un an, cet élu local de 34 ans relativement inexpérimenté va diriger la mégalopole américaine de 8,5 millions d'habitants.

    Son nom était encore inconnu du grand public il y a un an. Mais Zohran Mamdani, 34 ans, est devenu le nouveau maire de New York (Etats-Unis), mardi 4 novembre, à l'issue d'un scrutin qui a confirmé tous les sondages le donnant vainqueur. Ce représentant du quartier populaire d'Astoria s'était imposé à la surprise générale lors de la primaire démocrate en juin. Depuis, il faisait figure de grand favori. Cette personnalité issue de l'aile gauche du Parti démocrate a bâti sa campagne autour du coût de la vie.

    Le Monde - Après l’élection de Zohran Mamdani à New York, « insoumis » et écologistes se félicitent de la victoire d’une « gauche de rupture »

    L’élection du candidat « est une inspiration pour la gauche qui ne renonce ni à ses valeurs, ni à gouverner pour changer la vie des gens », a jugé la cheffe de file des écologistes, Marine Tondelier.
     

    La victoire du démocrate aux élections municipales à New York s’accompagne d’autres déroutes pour le camp républicain, qui a perdu plusieurs scrutins très attendus.

    Paris Match - « La première dame de New York de la génération Z » : Rama Duwaji, la pétillante compagne de Zohran Mamdani

    Très discrète pendant la campagne de son mari, Rama Duwaji a ébloui le monde en montant sur scène au côté de Zohran Mamdani après sa victoire à la mairie de New York, mardi 4 novembre. Une exposition rare pour la jeune femme de 28 ans plus prompte à laisser son art parler pour elle.

    Le Monde - Election à New York : après sa victoire, Zohran Mamdani défie Donald Trump
    5 nov. 2025
    Zohran Mamdani, un candidat démocrate socialiste d’à peine 34 ans, totalement inconnu il y a encore un an, a remporté l’élection municipale de la plus grande ville des Etats-Unis, la capitale financière de la planète, ce mercredi 5 novembre. Dans son discours, il s’est adressé directement à Donald Trump, au milieu d’une tirade sur les milliardaires, provoquant l’hilarité de la foule.

  • Mexique : pourquoi une telle popularité pour la présidente Claudia Sheinbaum ? | 28 minutes | ARTE

    Un an après son accession au pouvoir, la présidente mexicaine Claudia Sheinbaum présente 79 % de popularité. Un pourcentage dont tous les chefs d’État rêvent. Cette nouvelle présidente, féministe, doit sa popularité à sa personnalité mais aussi à sa politique économique et celle de son prédécesseur, son mentor Andres Manuel Lopez Obrador. On en débat avec Hélène Combes, directrice de recherche au CNRS, spécialiste du Mexique, Romain Robinet, maître de conférence en histoire contemporaine, spécialiste du Mexique au XXe siècle, et Florian Louis, historien des relations internationales.
  • Le Grand Continent - La doctrine Katz : le FMI contre la Chine

    Contre la Chine, les États-Unis de Donald Trump ont besoin d’arsenaliser le FMI.

    Cette année, les Réunions d’automne à Washington sont l’occasion d’introniser le nouveau numéro deux du Fonds  : Dan Katz.

    Protégé de Scott Bessent, il est le tenant d’une ligne dure face à Pékin, qu’il avait théorisé dans ce texte clef. Nous le publions avec une introduction contextuelle signée Shahin Vallée.

    Cette année, aux Réunions de printemps du FMI, on craignait grandement que les États-Unis ne quittent le Fonds et la Banque mondiale.

    Le Département d’État entreprenait alors une grande revue des engagements américains dans les institutions internationales et laissait planer le doute sur son engagement dans les deux organismes issus de Bretton Woods.

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  • Euractiv - L’UE continue de soutenir un prêt de réparation pour l’Ukraine basé sur les avoirs russes immobilisés, malgré le blocage belge

    La présidente de la Commission et des dirigeants européens ont réitéré mardi 28 octobre leur soutien à un plan de prêt de 140 milliards d’euros pour l’Ukraine basé sur les actifs russes immobilisés, alors que la Belgique refuse catégoriquement de soutenir la proposition et évoque le recours à la dette commune de l’UE à la place.

    S’adressant aux journalistes à Stockholm à l’issue d’une réunion avec des dirigeants européens, la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a déclaré que le prêt de réparation pour l’Ukraine, qui s’appuierait sur les actifs souverains russes détenus par la chambre de compensation Euroclear basée à Bruxelles restait « juridiquement valable ».

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  • No Kings Days aux Etats Unis

    19 oct. 2025
    INTERNATIONAL - Des marées humaines à Chicago, New York, Boston ou encore San Francisco. Des centaines de milliers d’Américains de tous âges sont descendus dans les rues, samedi 18 octobre, pour faire entendre leur opposition à Donald Trump lors d’une journée de mobilisation nationale à l’appel d’une coalition d’associations ralliées sous le slogan « No Kings » (« Pas de rois »).
  • Le Grand Continent - Avec Israël, abandonner la « raison d’État » : l’appel qui provoque le débat en Allemagne

    Philip Holzapfel — Parmi les élites allemandes, un appel plaidant pour un changement de politique radical vis-à-vis d’Israël est en train de provoquer un débat de fond.

    Pour l'un de ses principaux initiateurs, Philip Holzapfel, la doctrine de la « raison d’État » qui a guidé la position de l’Allemagne dans un soutien inconditionnel sans faille à l’État hébreu doit désormais connaître un aggiornamento.

    Il nous explique sa démarche. 

    Vous êtes à l’origine d’un « Papier d’experts pour un tournant dans la politique allemande au Proche-Orient » qui a eu un grand retentissement en Allemagne, intitulé « Au-delà de la raison d’État : comment concilier responsabilité historique, intérêts stratégiques et droit international ». Pourriez-vous nous expliquer la genèse de ce travail ?

    Ce papier est lié à un projet de livre collectif qui développera les fondements théoriques sous-tendant les recommandations politiques contenues dans cette note

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  • Le Grand Continent - Israël et la Palestine après Netanyahou, une conversation avec le général Yaïr Golan

    Yaïr Golan — Face à la destruction de Gaza et à la géopolitique messianique de Smotrich et Ben-Gvir, le général réserviste Yaïr Golan œuvre à la coalition de forces démocratiques pour offrir une alternative en Israël.

    Avec quelles alliances, sur quelles bases et avec quelle stratégie vis-à-vis de Donald Trump et de l’État de Palestine ?

    Nous l’avons rencontré. 

    Depuis l’Assemblée générale des Nations unies, nous assistons à une accélération de l’effort diplomatique à Gaza. Sommes-nous en train de vivre un moment de bascule ? 

    La situation reste incertaine et difficile à cerner. 

    L’annonce par le Hamas de son acceptation partielle du plan américain, les propos de Netanyahou évoquant un accord imminent et les négociations en cours ce dimanche 5 octobre en Égypte suscitent davantage de questions qu’ils n’apportent de réponses pour le moment.

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  • LVSL - À Madagascar, la « Gen Z » se révolte contre la corruption

    Depuis trois jours, des manifestations inédites agitent Madagascar. À l’appel du collectif de jeunesse « Gen Z Madagascar » sur les réseaux sociaux, et malgré l’interdiction, jeudi, de manifester de la préfecture d’Antananarivo, des milliers de Malgaches ont défilé dans les rues de la capitale pour dénoncer « les coupures d’électricité constantes et le manque d’accès à l’eau potable ». Le mouvement, largement composé de jeunes et d’étudiants, se revendique « pacifique et citoyen ». Au fil de la journée, la contestation a été durement réprimée : gaz lacrymogènes, violences physiques, arrestations musclées et tirs de balles en caoutchouc. Les premiers bilans font état de plusieurs dizaines de blessés et de plusieurs morts, tandis que des ONG redoutent un chiffre plus lourd. Dans un pays où 75 % de la population vit sous le seuil de pauvreté, cette mobilisation, qui semble se tenir à distance des partis politiques, dénonce un système jugé corrompu. De nouvelles manifestations ont suivi vendredi et samedi dans les grandes villes de province — Majunga, Tamatave, Tuléar. À Diego Suarez, une foule a défilé en portant le corps d’un étudiant tué par les forces de l’ordre. Madagascar s’achemine-t-il vers sa plus grave crise politique depuis l’instauration de la IVe République en 2009 ? Sur le terrain, témoignages des jeunes mobilisés et retour en images sur la situation ces 72 dernières heures.

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  • LVSL - Rafael Correa : « les élites traditionnelles ont repris le pouvoir »

    Huit ans après avoir quitté la présidence de l’Équateur, Rafael Correa (que nous retrouvons à la Fête de l’Humanité) revient sur les bouleversements qu’ont connus son pays et l’Amérique latine. Promoteur d’un « socialisme du XXIè siècle », il fut l’un des artisans de l’intégration régionale aux côtés des présidents Hugo Chavez (Venezuela), Evo Morales (Bolivie), Nestor Kirchner (Argentine) et Luis Inacio « Lula » da Silva (Brésil). Dans cet entretien, il évoque le retour d’une droite pro-américaine radicalisée, dans un sous-continent qu’il décrit comme un espace « en dispute », face à une gauche qui ne désarme pas. Il analyse les violations de l’État de droit qui caractérisent désormais le pays andin, et pointe la collusion entre le pouvoir politique et les élites économiques. Contre des appels à « l’auto-critique » ou au renouvellement de la gauche, il défend son bilan et sa stratégie : celle d’une gauche qui priorise les questions sociales et la lutte pour la souveraineté nationale. Entretien réalisé par Vincent Arpoulet, Meriem Laribi et Vincent Ortiz.

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  • La Russie dans la guerre sans fin : comprendre le grand récit de Poutin

    De l'autre côté du spectacle trumpiste, il y a la censure militaire et une société de plus en plus modelée par la guerre.

    Guillaume Lancereau signe une enquête fouillée sur ce qu'il est désormais possible de dire et de savoir en Russie. 

    Alors que le Kremlin déclare que « la guerre informationnelle avec l’Occident ne se terminera jamais », nous publions une enquête approfondie sur la face moins visibles des opérations d’influence russe à l’extérieur : le muselage méthodique d’une société par la censure et les discours officiel. Pour soutenir ce travail de fond, abonnez-vous à la première revue européenne indépendante

    Un aller-retour en Alaska et une conférence de presse bien ficelée : le monde a eu droit à sa séquence diplomatique haletante — sans autre effet que celui de faire gagner du temps à Vladimir Poutine. Le ministre des Affaires étrangères Lavrov annonce déjà que la Russie est revenue au point de départ : elle n’acceptera aucun schéma offrant des garanties de sécurité à l’Ukraine sans participation, et même droit de veto du Kremlin. Rien n’a changé : aux yeux des responsables russes, l’Ukraine n’a jamais été et ne sera jamais qu’un État fantoche, incapable et indigne d’exercer sa propre souveraineté sans l’aval de la « superpuissance » voisine. 

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