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  • Observatoire des inégalités - L’environnement dégradé des quartiers les plus pauvres

    Données 4 mai 2021

    46 % des habitants des quartiers les plus pauvres jugent leur environnement dégradé, 2,3 fois plus souvent que les habitants des quartiers voisins. Ils sont aussi deux fois plus nombreux à se plaindre du bruit.

    Les inégalités en matière de cadre de vie sont au cœur des inégalités dites « environnementales ». Dans ce domaine, les quartiers les plus pauvres se distinguent très nettement, si l’on en croit l’enquête « Cadre de vie et sécurité » de l’Insee (données 2018) [1]. Les 1 500 quartiers dits « prioritaires » de la politique de la ville (et que nous qualifions de « quartiers pauvres ») regroupent cinq millions d’habitants, soit un peu moins de 8 % de la population. On en parle beaucoup pour le niveau du chômage ou de l’insécurité, mais leurs habitants se plaignent aussi de vivre dans un cadre peu agréable.

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  • Le Figaro - Boris Vallaud: «Nous sommes dans une guerre de modèles politiques»

    VIDÉO - Le député PS des Landes, responsable du projet socialiste pour 2022, était l’invité du «Talk Le Figaro» ce jeudi 6 mai.

    Pour Boris Vallaud, qui était jeudi l’invité du «Talk Le Figaro», «avec Macron, les Français ont voté pour un deuxième mandat Sarkozy». Et s’il est convaincu que le chef de l’État mène une politique de droite, il se souvient encore de «ce moment cocasse, où l’ombre de Nicolas Sarkozy plane, pour savoir à qui il accordera l’onction, entre un candidat issu de sa famille politique originelle», ou l’actuel président En marche. Le député des Landes publie Un esprit de résistance (Flammarion), un livre dans lequel il propose à la gauche de se retrouver sur le fond. À travers sa réflexion, il livre un socle au débat d’idées, dans la perspective de la présidentielle.

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  • François Mitterrand et Anne Pingeot : un amour aux mille mots

    À la femme qu’il a aimée en secret pendant 34 ans, François Mitterrand a écrit plus de 1 200 lettres, parfois plusieurs par jour. Des poèmes, des armes de séduction massive, pour rire, s’émouvoir, partager les doutes et la conquête du pouvoir, s’enivrer de mots. Voici leur histoire, racontée par ces lettres, et par les mots de celle qui les a reçues, Anne Pingeot.

  • Raphaël Enthoven : "Croire qu'on va abolir ou supprimer l'antisémitisme est une illusion absolue"

    Le philosophe est l'invité d'Eric Delvaux pour la parution de "L'École des dames", paru aux éditions de l'Observatoire.)

  • #Mitterrand #10Mai1981 #gauche Les grandes mesures de la gauche

    Pour les 40 ans de l'élection de François #Mitterrand​, nous avons célébré l'esprit du #10Mai1981​. L'occasion de nous rappeler les grandes mesures qui ont vu le jour grâce à la #gauche​ et les combats qui restent à mene

  • Libé - Journal d'épidémie, par Christian Lehmann - Elections de juin : les ambitions politiques avant les règles sanitaires

    Lorsqu’une bonne partie des stars du paysage audiovisuel français s’est retrouvée à l’isolement suite à l’enregistrement d’une émission spéciale «On est tous en direct et sans masque parce que les règles c’est pour les gueux», on a pu mesurer à quel point ceux qui sont censés nous informer se dispensent des mesures de sécurité imposées au peuple. De Laurent Ruquier, on n’attendait guère mieux que ce cluster médiatique : l’ancien gendre idéal célèbre pour glousser à ses propres blagues (et pour avoir placé Eric Zemmour sur orbite) a décidé de livrer un duel sans merci à Bernard-Henri Lévy et à André Bercoff pour aligner le plus d’âneries pseudo-libertaires sur la «dictature sanitaire».

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  • Libé - Régionales : Au Parti socialiste, l’épineuse campagne d’Audrey Pulvar

    Vendredi : retour à la normale. La candidate du Parti socialiste en Ile-de-France, Audrey Pulvar, a déposé sa liste à la préfecture. Des sourires et un cliché sur les réseaux sociaux pour immortaliser le moment. Ce n’était pas une première. L’ancienne journaliste avait déjà déposé une liste en début de semaine. Mais un épisode est venu bousculer l’ordre des choses : le chef de file en Seine-Saint-Denis, Bertrand Kern, a jeté l’éponge. Le maire de Pantin a mis en avant une «perte de confiance» et des «désaccords stratégiques». Un départ qui interroge toujours les huiles socialistes en Ile-de-France et ailleurs. Pourquoi partir après le dépôt des listes ? Ses copains ne comprennent toujours pas. Le mot «irrationnel» revient tel un gimmick.
     
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  • Thierry agriculteur d'aujourd'hui - Bio, Label, HVE...réelles avancées ou nouvelles contraintes pour l'agriculture ? RDV Agri N°48

    Les labels sont plébiscités par de nombreux acheteurs, mais le consommateur s'y retrouve-t-il dans toutes ces normes ? Les agriculteurs profitent-ils de ces nouveaux standards, ou sont-il les victimes d'un système qui les pousse à toujours plus investir, s'agrandir ? Je serai accompagné de Gilles VK @gilles_vk, de David FAIVRE @RobertFAIVRE, Gaël BLARD @gaelblard, et Rémi DUMERY @RemDumDum.

  • Catastrophisme, moralisme, identitarisme : réagir avec philosophie

    Le conformisme, le moralisme et la bien-pensance, voilà les fléaux dénoncés par Perrine Simon-Nahum dans son ouvrage “Les déraisons modernes” (L’Observatoire). Ces derniers émergent des théories de la collapsologie ou encore la pensée identitariste, qui piègent l’humain dans son milieu, le fige dans son temps et le conditionne à subir les émotions populaires. 

    Mais dénoncer les inégalités sociales et les discriminations raciales, est-ce se laisser en proie à l’émotion ? Alerter sur le réchauffement climatique, est-ce déraisonnable ?  

    Perrine Simon-Nahum est philosophe, directrice de recherches au CNRS, professeure attachée au département de philosophie de l’Ecole normale supérieure (ENS), directrice de collection aux éditions Odile Jacob. Elle publie “Les déraisons modernes” (L’Observatoire).

    L'invité des Matins de France Culture.

  • La Vie des idées - Derrière les chiffres de l’inflation - Mesures et controverses

    Depuis la mise en place de l’euro, un écart persistant s’est installé entre inflation « perçue » par les ménages, et inflation « réelle » mesurée par l’INSEE. Au-delà des débats techniques sur les chiffres, mesurer l’inflation implique des choix méthodologiques lourds d’enjeux politiques et sociaux.

    Introduction

    Les experts de la zone euro constatent, pendant les années qui suivent le passage à l’euro, un écart important entre d’un côté l’évolution de l’inflation telle qu’elle était mesurée par les instituts de la statistique et de l’autre l’évolution de l’inflation telle qu’elle était perçue par les ménages : pourquoi une telle discordance ? Qui dit vrai ? Quel phénomène la mesure cherche-t-elle à exprimer statistiquement ? Comment est-elle mesurée ?

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