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  • Serge Moati nous raconte son 10 mai 1981

    Le #10Mai1981, François Mitterrand devenait le premier président socialiste de la Vème République. Serge Moati nous raconte ce moment entre émotion et espoir.

  • TQA | Marion Fontaine

    Le #10Mai1981 pour l'histoire de la gauche, les liens entre la gauche et la République, le rapport entre la gauche et les classes populaires ... Autant de sujets qu'aborde Marion Fontaine, historienne, dans le nouveau #TQA de la semaine 1️⃣ Quelle place occupe le 10 mai 1981 dans l'histoire de la gauche ? 2️⃣ Quels liens entre la gauche et la République ? 3️⃣ Comment la gauche peut-elle retrouver les classes populaires ?
  • Ouest France - Le 10 mai 1981. La fête jusqu’au bout de la nuit pour l’élection de François Mitterrand

    À travers l’Ouest, comme partout en France, la victoire de François Mitterrand s’était traduite par des scènes de liesse dans les rues.

    Comme un 14 juillet, titre Ouest-France dans son édition locale de Cherbourg (Manche) pour rendre compte de cette longue soirée du 10 mai 1981. Avec un petit détour par la mairie de la ville où les résultats sont en train de tomber : L’ambiance commence à chauffer. Très tôt, les représentants du comité de soutien à Valéry Giscard d’Estaing quittent la salle. Eux aussi ont compris. Et tout à coup, ce fut l’explosion. Les premiers concerts d’avertisseurs retentirent. Beaucoup de vieux militants ne pouvaient dissimuler leur émotion.

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  • Laure Adler nous raconte son 10 mai 1981

    « Ce n'était pas simplement un soir d'exception, un soir d'allégresse, quelque chose s'est transformé et très rapidement », Laure Adler nous raconte son #10Mai1981.

  • Jack Lang nous raconte son 10 mai 1981

    Jack Lang nous raconte son #10Mai1981​ et la place qu'ont pris la culture, l'éducation et la recherche grâce à l'élection de François Mitterrand : « Le socialisme, c'est d'abord un changement culturel ».

  • Libé - Henri Weber, «de la révolte à la réforme»

    En replay sur le site de France 5

    Si la vie de Henri Weber, décédé l’an dernier du Covid, pouvait tenir en quelques mots, le titre du portrait, que lui consacrent son épouse Fabienne Servan-Schreiber et le documentariste Patrick Rotman, a la concision de la formule bien troussée : Henri Weber, le rouge et la rose. Ou comment une ancienne figure révolutionnaire de mai 1968 deviendra à l’orée des années 80, l’une des têtes pensantes d’un PS en plein virage social-libéral, sous la houlette du jeune Laurent Fabius (alors fraîchement nommé Premier ministre de François Mitterrand) dont il sera un fidèle compagnon de route pendant plus de trente ans. Soit l’histoire d’une «génération passée de la révolte à la réforme».

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  • Henri Weber, une histoire de la gauche - L'Instant M

    L'ancien sénateur socialiste est mort il y a un an. Patrick Rotman et Fabienne-Servan Schreiber lui rendent hommage dans un documentaire, « Henri Weber, le rouge et la rose », qui sera diffusé dimanche à 20h50 sur France 5.

  • Libé - Leur 10 mai 81 (2/4) Vu par des patrons et syndicalistes : «on avait l’impression que tout le monde avait voté Mitterrand»

    Lorsque Mitterrand est élu, il y a quarante ans, toute la classe politique et militante y voit le début d’une nouvelle ère, entre espoirs, doutes et appréhension. Patrons, syndicalistes, personnalités de gauche ou de droite racontent à «Libération» leur soirée du 10 mai 1981.

    Annick Coupé, secrétaire générale d’Attac, syndicaliste CFDT en 1981

    «A l’époque, j’étais à la CFDT. Appartenant auparavant à des organisations maoïstes, je n’avais jamais voté. 1981, c’était ma première élection. Au premier tour, j’avais voté pour Huguette Bouchardeau du PSU, puis Mitterrand au second tour. Venant de l’extrême gauche, il n’était pas pour moi une grande référence politique, mais j’ai voté pour lui sans état d’âme. La campagne avait quand même été largement à gauche, autour de grands thèmes fédérateurs comme les retraites. Surtout, on voulait en finir avec Giscard.

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