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  • Indemnisation chômage des cadres : la vraie stratégie de Macron [Olivier Passet]

    Allocation dégressives pour les cadres, est-ce une bonne idée ? A la base de cette réforme, il y a trois constats simples. [...]

  • Complément d'enquête. Fin du monde : et si c'était sérieux ? - 20 juin 2019 (France 2)

    A cause du réchauffement planétaire et de l’épuisement des ressources énergétiques, des scientifiques sont convaincus que nos sociétés sont condamnées à disparaître. La "star" de ces "collapsologues" (du latin collapsus, effondrement), c'est Pablo Servigne, un ingénieur agronome français qui multiplie les conférences et les ouvrages. Dans son sillage, de plus en plus de citoyens se mobilisent et tentent d'imaginer d'autres modèles. Comment se préparer à la fin du monde ? Les autorités envisagent-elles ce scénario du pire ? La fin du monde n’a jamais été aussi proche… Date annoncée de "l’apocalypse" : 2030.

    Et cette fois-ci, ce n’est pas une prophétie qui le dit, mais des scientifiques très sérieux. On les appelle les "collapsologues", du latin collapsus, qui signifie effondrement. A cause du réchauffement planétaire et de l’épuisement des ressources énergétiques, ils sont convaincus que nos sociétés sont condamnées à disparaître. Leur "star", c'est Pablo Servigne, un ingénieur agronome français qui multiplie les conférences. Dans ses livres vendus à plus de 100 000 exemplaires, il démontre "scientifiquement" qu’il est déjà trop tard pour lancer la transition écologique et qu’il faut réfléchir à l’"après". Certains disciples y croient dur comme fer et sombrent dans de profondes angoisses existentielles.

    Catastrophes naturelles et réfugiés climatiques

    Selon les collapsologues, les catastrophes naturelles vont se multiplier et les réfugiés climatiques déferler dans nos villes et campagnes. "Complément d’enquête" s'est plongé au cœur de ce mouvement catastrophiste qui mobilise de plus en plus de citoyens, de tous horizons. En France, le magazine a rencontré des cadres supérieurs ou des fonctionnaires qui migrent dans le Cantal. Ils s’initient très sérieusement à la permaculture pour assurer leur autonomie alimentaire. Comment se préparer à la fin du monde ? Aux Etats-Unis, des activistes sont prêts à saboter des routes et des usines pour accélérer l’effondrement de la civilisation. Les autorités envisagent-elles ce scénario du pire ? Le gouvernement a-t-il un plan de secours ? Pour évaluer la crédibilité de cette menace, "Complément d'enquête" a interrogé des experts, des climatologues, des ingénieurs, des démographes, et même le Premier ministre. Un documentaire réalisé par Sylvain Pak

  • #6 LE CHANGEMENT EST-IL ENCORE POSSIBLE ? - L'Histoire recommence

    Pour la deuxième conférence de cette deuxième journée, Íñigo Errejón s’interrogera sur la question : "Le changement est-il encore possible ?".

  • Chômage, mirages, naufrages - #DATAGUEULE 90

    Ah, les chanceux qui ne font rien de leur journée ! Ils « profitent » ! Et donc nécessairement ils « abusent » ! Fainéants, parasites, inadaptés, oisifs : les privés d'emplois souffrent de tous les préjugés. Toutes ces idées reçues qui permettent de détourner le regard face à la grande pauvreté qui prend place quand le travail s'efface. Et si on osait imaginer qu'en fait, non ce n'était pas forcément « un peu de leur faute » ? Si on osait penser que tout le monde devrait avoir une place dans la société - même les accidentés, même les moins performants ? Si on osait se dire que la solution au chômage se trouve moins dans le contrôle et la répression que dans le changement de notre regard ?

    Claire Hédon est journaliste et présidente de l'association ATD Quart monde. Elle a co-écrit Zéro chômeur ! Dix territoires relèvent le défi.

  • "Décrocher" Macron pour défendre le climat - Le Moment Meurice

    Guillaume Meurice a suivi des membres d'Action non-violente COP21 qui décrochent les portraits officiels d'Emmanuel Macron pour dénoncer le manque d'action du gouvernement pour lutter contre le réchauffement climatique. Le Moment Meurice -

  • Non Fiction - La gouvernance Macron, entre « extrême centre » et gilets jaunes

    Depuis l’élection d’Emmanuel Macron à l’Elysée il y a deux ans, le temps de l’analyse politique semble avoir toujours un temps de retard sur les événements – la crise des « gilets jaunes » ayant éclaté à peine 18 mois après sa prise de pouvoir, sans bénéficier d’un « état de grâce » d’une année pleine. Le commentaire politique, qui sature les colonnes des journaux et les antennes radio et télévisuelles, continue, tel un hamster dans sa cage, sa rengaine trop bien connue mais ne semble plus tellement écouté ni particulièrement légitime. En effet, par paresse ou par conformisme (et parfois les deux « en même temps »), aucun éditorialiste n’a véritablement vu venir le « séisme politique » (pour reprendre leurs expressions par trop spectaculaires) des élections présidentielles et législatives de 2017…

    Or, en cette année 2019, outre des pamphlétaires en « début de carrière » – le téméraire Juan Branco semble l’embrasser avec envie…–, de premières analyses politiques de fond se font (enfin ?) jour, de la part de commentateurs prenant un peu de recul sur la situation de la « gouvernance » du pays, ce mot semblant plus pertinent pour analyser le « macronisme » au pouvoir, tant les seules réalités institutionnelles et gouvernementales ne sauraient suffire à la compréhension des enjeux.

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  • Libé - Référendum ADP : après une semaine, quels politiques ont soutenu le RIP ?

    Au total, 78 députés et sénateurs figuraient, au 25 juin, sur la liste des soutiens au référendum d’initiative partagée sur la privatisation d’ADP. Les partis de gauche se sont davantage mobilisés. Sans surprise, aucun élu LREM n’est allé contre la ligne du gouvernement.

    Bonjour,

    Nous avons reformulé (et élargi) votre question : «Bonjour, les politiques qui se sont déclarés en faveur du référendum d’initiative partagée ont-ils bien soutenu la proposition ?»

    Vous nous interrogez sur la procédure ouvrant la voie au référendum d’initiative partagée (RIP) sur la privatisation du groupe Aéroports de Paris (ADP). Pour que le référendum ait lieu, 4,7 millions d’électeurs représentant 10% du corps électoral doivent déposer leur soutien au référendum sur le site dédié avant le 12 mars 2020. Mercredi, environ 390 000 soutiens ont été validés.

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  • Non Fiction - Le soin ne peut être pensé sans le soigné

     

    Un numéro encore récent de la revue belge Culture et Démocratie (n°47, 2018) se demandait, sous le titre « Prendre soin », ce que peut signifier « soigner, prendre soin, réparer, guérir, dans la société contemporaine ». Il montrait fort bien que notre époque se montre plus que jamais soucieuse du soin, de la santé, au sens où nous commençons à amplifier à juste titre cette question du soin en y intégrant des réflexions sur l’art et la culture au cœur du soin, sur le souci de soi dans le soin, sur l’écoute des patients et la forme de la thérapie, cherchant ainsi à déployer dans le soin « les ailes du sens ».

    Que l’époque soit soucieuse de tout cela, on ne peut que le constater au vu des manifestations des patients et des personnels hospitaliers. Est-ce aussi la signification que nous devrions prêter à un ministère de la santé ? Sans doute. À une condition cependant : que les propositions de ce ministère ne se bornent pas à organiser la gestion de la santé publique sous une forme quantitative, ou à pallier les crises suscitées au cœur de ce bien commun que pourrait représenter la santé, ainsi que le montre Michel Foucault, dans Sécurité, territoire, population (2004).

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  • Observatoire des inégalités - Que pensent les Français des inégalités ?

    Les trois quarts des Français estiment que la société est « plutôt injuste ». Cette part a augmenté de dix points depuis le début des années 2000. Revue de détail de l’opinion face aux inégalités. Par Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.

    76 % des Français estiment que la société française est « plutôt injuste », selon l’édition 2018 du baromètre annuel du ministère des Solidarités. 21 % la trouvent « plutôt juste » et 3 % ne se prononcent pas. Cette enquête, réalisée tous les ans, confirme le résultat de nombreux sondages qui vont dans le même sens. Ainsi, une enquête réalisée par les Pupilles de l’enseignement public en décembre 2018 [1] indiquait que 50 % de la population estimait notre société « plutôt inégalitaire » et 28 % « très inégalitaire », chiffre quasiment constant depuis 2014.Ce chiffre doit être utilisé avec précaution. À moins de vivre dans un monde absolument égalitaire, on peut toujours trouver qu’il persiste de l’injustice et trouver le monde « plutôt injuste », l’expression est très floue.

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