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  • Le meilleur de 2018/2019 - Le vent se lève - Podemos devant l’abîme de la défaite

    Jeudi dernier a eu lieu un coup de tonnerre dans la politique espagnole. Íñigo Errejón, ex bras droit de Pablo Iglesias et cerveau de la stratégie populiste à l’origine des campagnes innovantes de Podemos, a annoncé par une lettre aux madrilènes qu’il allait se présenter sous le label Más Madrid aux élections de la communauté de Madrid – l’équivalent de la région -, en binôme avec Manuela Carmena, actuelle maire de Madrid et tête de liste aux élections municipales de mai prochain. La réaction de Pablo Iglesias ne s’est pas fait attendre. Il a annoncé qu’une liste de Podemos sera présente face à celle d’Íñigo Errejón, mais pas face à celle de Manuela Carmena. Pablo Etchenique a appelé Errejón à démissionner de son mandat de député national, ce qu’il vient de faire ce lundi. Retour sur les causes et les conséquences du dernier épisode d’un conflit politique larvé qui menace d’emporter le parti avec lui.

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  • Le Vent se lève, le 18 juillet 2019 - ÍÑIGO ERREJÓN : LE CHANGEMENT EST-IL ENCORE POSSIBLE ?

    Pour la deuxième conférence de cette deuxième journée, Íñigo Errejón abordera une question fondamentale pour les forces de rupture : "Le changement est-il encore possible ?".

  • #6 LE CHANGEMENT EST-IL ENCORE POSSIBLE ? - L'Histoire recommence

    Pour la deuxième conférence de cette deuxième journée, Íñigo Errejón s’interrogera sur la question : "Le changement est-il encore possible ?".

  • Marianne, Leny Benbara - Comment la stratégie populiste a permis à Errejón de battre Podemos

    Dimanche, à Madrid, Íñigo Errejón a pris le dessus sur son ex-formation, Podemos, en revenant aux sources de ce qui avait fait la force de ce mouvement. Un enseignement pour la France insoumise ?

    Quarante élus régionaux, c’est ce qu’il reste à Unidas Podemos après les élections de dimanche dernier. En 2015, Podemos avait obtenu 115 élus aux élections des communautés autonomes à peine un an après sa naissance comme nouvelle formation politique qui devait, selon la formule consacrée, « monter à l’assaut du ciel ». Quatre ans plus tard, les ambitions initiales semblent complètement oubliées et largement hors d’atteinte. En cause, de nombreuses erreurs stratégiques, ainsi qu’un spectacle permanent de division et de repli sur soi.

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  • Le Vent se lève - Iñigo Errejón : "Une autre hégémonie est-elle possible ?" - Intervention à Paris

    Le 6 mars 2018, à l'invitation des étudiants de Sciences Po, de Le Vent Se Lève et du cercle Podemos Paris, Iñigo Errejon intervenait à Paris sur la construction d'une hégémonie alternative à l'hégémonie néolibérale. L'intervention est traduite en direct.

  • Le Vent se lève - Íñigo Errejón : « Les peuples ne veulent pas faire la révolution tous les jours »

     

    Le Vent Se Lève a traduit l’intervention d’Íñigo Errejón au forum pour la construction d’une nouvelle majorité populaire qui a eu lieu en Argentine le 26 août 2017.

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  • Mediapart - Podemos: le déchirement?

    En février prochain se tiendra à Madrid l'Assemblée "refondatrice" de Podemos. Une crise sans précédent oppose au sein du mouvement deux stratégies politiques mais surtout les deux principales personnalités du parti: Iglesias et Errejon.

    99 162 personnes viennent de voter pour définir les règles selon lesquelles se déroulera la prochaine « Assemblée de refondation du Parti » dite Vistalegre II, (deux ans après la première Vistalegre fondatrice). Il s’agissait de trancher entre  les deux principales propositions, celle de Pablo Iglesias et  celle de ĺñigo Errejón. Le premier proposait que les motions présentées à l’Assemblée et la désignation de leurs auteurs à la direction (Consejo ciudadano) ne soient l’objet que d’un seul scrutin. Errejón quant à lui proposait deux scrutins séparés l’un concernant les documents l’autre les personnes aspirant à la direction.

     Quant aux « Anticapitalistas » animés par l’eurodéputé Miguel Urbán, la députée au parlement d’Andalousie Teresa Rodriguez et le maire de Cadix José María Gonzalez (Kichi), après avoir tenté une « conciliation » ils ont semble-t-il gardé profil bas en attendant l’Assemblée où ils proposent, comme ils l’avaient fait lors du premier Vistalegre, un document politique « horizontaliste » en opposition avec  le « verticalisme » des deux autres. 

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