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  • Marie-Noëlle Lienemann (PS): «C’est impossible d’avoir un gouvernement de droite et de gauche»


    Marie-Noëlle Lienemann (PS): «C’est impossible... par Lopinionfr

  • Gouvernement Philippe : le socialiste Razzy Hammadi craint des facteurs "de perturbation et d'incohérence à venir"

    Razzy Hammadi, député socialiste de Seine-Saint-Denis et porte-parole du Parti socialiste, a adressé mercredi 17 mai sur franceinfo ses "salutations républicaines" au nouveau gouvernement Philippe et lui a souhaité "bonne chance". Il a néanmoins regretté la nomination des Républicains Bruno Le Maire et Gérald Darmanin, respectivement à l'Economie et au Budget. "Ils vont être ceux qui vont tenir les cordons d'une bourse et d'une véritable politique d'austérité", a déclaré Razzy Hammadi.

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  • Libé - La droite aux affaires, la gauche en vitrine

    Le premier gouvernement de l’ère Macron tente de respecter équilibres et promesses de campagne. Mais penche clairement d’un côté…

    C’est un gouvernement pesé au trébuchet des engagements et des ambitions macroniennes que le secrétaire général de l’Elysée, Alexis Kohler, a dévoilé mercredi. Sur la forme, tout y est, la parité comme l’ouverture à la société civile. Stratégiquement, le tandem Macron-Philippe réussit aussi quelques jolis coups dans le casting de ses 22 ministres et secrétaires d’Etat.

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  • L'actualite des socialistes du 5 au 11 mai (revue de presse hebdomadaire)

    A LA UNE

    Paul Alliès - Macron et la question démocratique: surprises?

    Emmanuel Macron a consacré une bonne part de ses ultimes propos sur Mediapart vendredi soir, à la question démocratique. Cela vaut qu’on y revienne tant il était resté quasi muet sur le sujet durant sa campagne.
     
    Face à l’insistance et à la précision des questions, le nouveau président de la République a déroulé une série de propositions qui ne manquent pas d’intérêt: garantir la moralité des candidats aux législatives (exigence d’un casier judiciaire vierge); instaurer « avant la fin de l’année » la proportionnelle pour l’Assemblée Nationale (en tout ou partie ?); réduire le nombre de parlementaires pour qu’ils exercent un mandat unique (et contrôlent mieux le gouvernement); « muscler » les commissions permanentes pour améliorer le travail législatif; transformer le Conseil Economique, Social et Environnemental en chambre de représentation de la vie associative et civile. Cette ouverture parlementaire des institutions de la V° République trouverait son débouché dans une réforme des institutions européennes qui devrait commencer par la parlementarisation de la zone Euro.
     

    Dimanche 7 mai 2017, 20h. Le visage d’Emmanuel Macron s’affiche sur les écrans de millions de foyers français. 66,1% des électeurs viennent d’en faire le huitième président de la Cinquième République. Dénouement d’une élection aux allures de feuilleton. A 39 ans, Emmanuel Macron vient de relever un défi : devenir le plus jeune président de la République française. Celui que Laurent Fabius, nommé en 1984 Premier ministre à l’âge de 37 ans, renvoyait dans les cordes de ses ambitions affichées il y a encore quelques mois, peut désormais s’enorgueillir de ce premier fait d’arme.

    Le coup d’envoi du quinquennat 2017-2022, dont nous connaissons désormais le meneur de jeu, vient d’être donné. Reste à savoir si la feuille de match sera à la hauteur des promesses de renouvellement faites par le leader d’En Marche.

    LEGISLATIVES

    PS : La plate-forme pour les législatives

    Le Monde - Personnalités publiques, députés… Qui sont les candidats investis par La République en marche ?

    Dans la liste des 428 candidats pour les législatives figurent Gaspard Gantzer, chargé de la communication de Hollande, les députés Pompili et Castaner ou encore le mathématicien Cédric Villani.

    En présentant une liste de 428 candidats aux élections législatives de juin, jeudi 11 mai, Richard Ferrand, secrétaire général de La République en marche (LRM), a mis en avant le fait que 52 % des personnes investies étaient issues de la société civile et que 95 % d’entre elles n’étaient pas des députés sortants. Parmi elles figurent toutefois des personnalités, issues, ou non, du monde de la politique.
     
     
    L'actuel député socialiste de la 4e circonscription des Bouches-du-Rhône affrontera le 11 juin prochain Jean-Luc Mélenchon au premier tour des législatives. Interview.
     

    .... On remarquera donc qu'à gauche, parmi les membres du gouvernement, ni Stéphane Le Foll, ni Jean-Marie Le Guen, ni Marisol Touraine, ni Myriam El Khomri, ni Axelle Lemaire ne connaissent pour l'heure l'identité de leur adversaire La République en marche. 

    L'Obs - Revenu universel, nucléaire... Ces propositions de Hamon que le PS a enterrées

    Le programme du candidat socialiste a fait long feu. La plateforme en vue des législatives, adoptée ce mardi en Bureau national par le PS, abandonne ses mesures-phares et met un net coup de barre vers le macronisme.

    L'Obs - Législatives : au PS, une synthèse timide pour "sauver 50 députés"

    Enterrés par Manuel Valls mardi matin, les socialistes ont accouché dans l'après-midi d'une plateforme commune pour les législatives. Une dernière synthèse pour la route ?

    Walking dead saison 8 ? Le mardi 9 mai des socialistes en ferait un bon trailer, avec Manuel Valls en scénariste honni, prononçant dès l'aurore "la mort" du Parti à la rose, et des ténors socialistes passés en mode survie politique... Il fallait voir leur mines renfrognées défiler ce mardi après-midi à la Mutualité, cette salle parisienne où le premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis avait convié pour une réunion à huis-clos tous les candidats que Solférino présentera aux prochaines législatives.

    Kantar - Les Français et les élections législatives 2017

    Alors qu’Emmanuel Macron vient d’être élu à la Présidence de la République, la question de la majorité parlementaire dont il pourrait disposer à l’issue des élections législatives de juin se pose avec acuité.

    Notre enquête Kantar Sofres-onepoint réalisée les 4 et 5 mai 2017 – soit avant le 2ndtour de la présidentielle – montre que, pour les Français, ces élections législatives ne donneront pas nécessairement à Emmanuel Macron une majorité claire pour gouverner. Dans le contexte d’entre-deux-tours et sans que soit connu le nom du Premier ministre, ni l’ampleur de la victoire d’Emmanuel Macron, une partie conséquente de l’électorat semble en effet tenté de faire de ces élection législatives les 3e et 4e tours de l’élection présidentielle et ainsi d’infléchir la politique conduite par le nouveau Président.

     
    Le prétendant à l'Elysée est revenu ce vendredi sur ce qui était jusque-là une exigence, notamment pour les candidats socialistes.

    Emmanuel Macron fait marche arrière. S'il accède à l'Elysée, les candidats investis sous l'étiquette "majorité présidentielle" n'auront pas forcément à quitter leur parti d'origine. Le candidat d'En Marche! revient ainsi sur ce qui était jusque-là une exigence, notamment pour les socialistes.

    DES DEMAIN

    France Info - Anne Hidalgo, Christiane Taubira et Martine Aubry lancent un mouvement politique, "Dès demain"

    "Ce n'est pas un parti", assure l'entourage de la maire de Paris au sujet de cette initiative aux contours encore flous, lancée via une tribune dans "Le Monde".

    Ils s'adressent à "tous les humanistes qui croient encore en l'action". Des figures politiques comme les maires PS de Paris et Lille, Anne Hidalgo et Martine Aubry, et l'ex-ministre de la justice Christiane Taubira, ainsi que des intellectuels et des artistes, parmi lesquels Yann Arthus-Bertrand ou Jacques Higelin, cosignent une tribune publiée dans Le Monde, mercredi 10 mai. Ils y annoncent le lancement d'un mouvement politique baptisé Dès demain.

    HAMON

    Libé - Futur désirable : Pourquoi Benoît Hamon veut-il lancer un «nouveau mouvement» ?
     
    L'ex-candidat socialiste à la présidentielle a annoncé ce mercredi matin qu'il souhaitait «reconstruire une gauche inventive» avec la création d'une nouvelle formation le 1er juillet, soit après les législatives. Un pas de côté avec le PS donc, mais en prenant son temps.
     
    Le Lab - Législatives : Hamon regrette que des dirigeants PS qui n’ont "sans doute pas voté" pour lui enterrent son programme
     
    C’est un autre coup dur à encaisser pour Benoît Hamon, après sa déculottée (6,2%) à la présidentielle : le PS a enterré plusieurs propositions phares de son programme en vue des législatives. Exit donc le revenu universel, la taxation des robots, la sortie du diesel et du nucléaire. "Et le 49.3 citoyen", ajoute le député des Yvelines à l’énumération de ces abandons, mercredi 10 mai sur France Inter. Amer mais lucide, le cinquième homme de cette présidentielle n’est pas si surpris que ça de l’attitude des dirigeants de son parti qui, pour certains d’entre eux, "n’ont ni fait [sa] campagne, ni sans doute voté pour [lui]".
     
    VALLS
     
    Libé - Récap' vidéo : La semaine où... Manuel Valls a coupé les ponts avec le Parti socialiste
     
    En affirmant vouloir rejoindre La République en marche pour les prochaines législatives, l'ancien Premier ministre s'est définitivement mis à dos le PS. Sans pour autant parvenir à se faire adouber par le mouvement d'Emmanuel Macron.
  • PS - Annonce du Gouvernement : réaction du Parti socialiste

    17 mai 2017

    En choisissant de confier « Bercy » à Bruno Le Maire et Gérald Darmanin, le Premier Ministre Edouard Philippe aura l’assurance de pouvoir mener une politique économique « de droite et en même temps… de droite » dont les priorités consisteront à augmenter la CSG, supprimer l’ISF, remettre en cause les protections des salariés, réduire drastiquement le nombre de fonctionnaires et casser les services publics.
     
    Au-delà même du choix des hommes dont Nicolas Hulot peine à être celui qui cache une forêt d’énarques et de vieux routiers de la politique, on s’étonnera de l’abandon rapide de la priorité donnée à l’éducation dans ce quinquennat, ce ministère étant relégué au 11ème rang de l’ordre protocolaire.
     
     
    Pire encore, le logement qui constitue une préoccupation indiscutable pour les Français, a tout simplement disparu du dispositif gouvernemental.
     
     
    Enfin, on regrettera le non respect de plusieurs engagements pris par Emmanuel Macron devant les Français : le gouvernement regroupe 22 membres au lieu des 15 promis et il n’y aura pas de ministère plein et entier des Droits des Femmes.
     
     
    Après la nomination d’un Premier ministre de droite, la composition de ce gouvernement démontre que le vote socialiste aux élections législatives est le seul moyen de répondre au besoin de gauche et à l’exigence de justice sociale nécessaires à la réussite de la France.
  • Le Drian, Girardin, Collomb... Ces personnalités de gauche du gouvernement Philippe

    Emmanuel Macron a nommé cinq personnalités du Parti socialiste et du Parti radical de gauche au gouvernement

    Emmanuel Macron s'y était engagé. Le premier gouvernement qu'il nommerait serait un gouvernement qui dépasserait le traditionnel clivage politique français et mêlerait ainsi des personnalités de gauche comme de droite. Sur les dix-huit ministres et quatre secrétaires d'État que le nouveau locataire de l'Élysée, en concertation avec son premier ministre Édouard Philippe, a nommé, cinq d'entre eux affichent des sensibilités de gauche et ont été adhérents du Parti socialiste (PS) ou du Parti radical de gauche (PRG).

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  • Libé - Edouard Philippe chroniqueur dans «Libération»

    Tous les jeudis depuis janvier, le tout-juste nommé Premier ministre Edouard Philippe, député et maire LR du Havre, proche d’Alain Juppé, a chroniqué les affres de la campagne présidentielle pour «Libération». Où l'on passe de César à Bruce Willis, de Stendhal à Juppé, sans oublier, naturellement… Emmanuel Macron.

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  • PS - Décisions de la commission électorale du Parti socialiste

    16 mai 2017

    Réunie lundi 15 mai, la commission électorale du Parti socialiste a procédé à l’investiture de nouveaux candidats aux élections législatives dans diverses circonscriptions qui restaient à pourvoir.

    Par ailleurs, la commission électorale a arrêté que les candidats précédemment investis par le Parti socialiste qui ont dorénavant reçu l’investiture du mouvement la « République En Marche », sont désormais désinvestis par le Parti socialiste. En outre, ces candidats verront se présenter face à eux des candidats soutenus par le Parti socialiste, à l’exception de quelques circonscriptions dans lesquelles cela entrainerait presque assurément une victoire du Front national. Dans ces cas, en responsabilité, fidèle à sa tradition de barrage contre l’extrême-droite et de retrait républicain, le Parti socialiste ne présentera pas de candidat.

    Ces décisions ont été validées à l’unanimité par le Bureau national qui s’est tenu ce même jour.

  • Édouard Philippe : Filippetti compare sa nomination à "des transferts" en football