Le #17h épisode 53 - Guillaume Bachelay... par PartiSocialiste
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Intervention de Jean-Christophe Cambadélis - Université de l'Engagement de Marseille
Intervention de Jean-Christophe Cambadélis... par PartiSocialiste -
Quelles priorités pour une fiscalité juste ? 27 septembre 2016
Comment rendre l’impôt plus juste ? D’abord en s’attaquant à l’évasion et aux niches fiscales. Ensuite, en reconstruisant un vrai impôt progressif. Par Jean Gadrey, économiste, professeur honoraire à l’université Lille 1.
La fiscalité est souvent citée comme le principal outil public capable d’améliorer l’égalité des ressources économiques des citoyennes et des citoyens. Elle n’en est que l’une des composantes, mais elle a l’avantage, par rapport à d’autres politiques (de logement ou de santé par exemple), d’avoir des effets rapides. Avant d’en venir à ce que pourraient être les priorités d’une fiscalité juste, quelques rappels s’imposent.
Une fiscalité plus juste
En premier lieu, la fiscalité consiste à prélever des montants d’argent à certains (recettes fiscales) pour ensuite les dépenser (dépenses publiques). Ces deux volets influent sur les inégalités. D’abord, les « prélèvements » sont-ils justes, tiennent-ils compte des « capacités contributives », prélève-t-on proportionnellement plus sur les plus riches (c’est ce qu’on appelle alors la progressivité), suffisamment sur les entreprises par rapport aux ménages, etc. ? Ensuite, les dépenses publiques ont-elles ou non un effet de réduction des inégalités, qu’il s’agisse des services publics (qui ont joué dans le passé un rôle positif majeur) ou des dépenses sociales (minima sociaux, allocations diverses, dépenses pour le chômage, etc.) ? On ne traitera ici que de la première question : celle de la justice sous l’angle des recettes fiscales.
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L'actualité des socialistes du 7 au 13 octobre
A LA UNE
Le Monde - « Hollande se permet encore de carboniser les lambeaux de popularité qui lui restent »
Les confidences du président à nos journalistes est comparé par la presse française du week-end à une « épitaphe » scellant ses chances de réélection.
Le Monde - « Certains proches de Hollande sont consternés par la sortie de son livre d’entretiens »Les réponses à vos questions sur les conséquences des confidences du président par notre journaliste qui couvre l’exécutif.
Avec la publication des bonnes feuilles, ces derniers jours, de Un président ne devrait pas dire ça, dans lequel le chef de l’Etat se laisse aller à la confidence avec les journalistes du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme, François Hollande est de plus en plus isolé. Quelles sont les conséquences politiques d’un tel ouvrage ? Bastien Bonnefous a répondu aux questions des internautes.Dans «Un président ne devrait pas dire ça», deux journalistes rapportent des propos de François Hollande sur Marianne, l'islam et l'immigration. Laurent Bouvet décrypte ces déclarations qui n'ont pas tardé à faire réagir la classe politique.
.... "nous ne sommes pas dans un choc ou une guerre de civilisations, nous sommes pris dans un affrontement idéologique contre une vision identitaire, extrémiste, de l'islam, que nous soyons musulmans, d'autres religions ou athées. Et en l'absence de mobilisation politique de tous les républicains, face à cette vision identitaire de l'islam, se déploie une autre vision identitaire, celle d'une civilisation française, blanche, catholique, éternelle et immuable."
Marianne, Joseph Macé-Scaron - 12 octobre 2016, le jour où la campagne d'Hollande s'est crashée
Entre une longue interview dans la presse sans vision d'ensemble, un nouveau livre-confession catastrophique et une énième joute avec Valérie Trierweiler sur l'affaire dite des "sans-dents", ce 12 octobre - qui devait marquer une fracassante entrée en campagne - est un pitoyable fiasco pour François Hollande.
HAMON/MONTEBOUG
Le Point - Hamon et Montebourg, entre mains dans le dos et coups d'épaule
Il y a deux ans encore, ils s'affichaient côte à côte à la Fête de la rose. Les voilà aujourd'hui opposés au premier tour de la primaire de la gauche.
HAMON
Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche pour la présidentielle de 2017, était, lundi 10 octobre, l'invité de franceinfo. Le député PS des Yvelines prône la légalisation du cannabis pour mettre fin à l'hyper-violence dans certains quartiers.
MONTEBOURG
Libé - Primaire : Montebourg et le rassemblement à géométrie variable
En annonçant qu'il ne fera pas campagne pour François Hollande si celui-ci devait remporter la primaire de la «Belle Alliance populaire», l'ancien ministre de l'Economie a le mérite de la clarté, moins de l'élégance ou du fair-play.
Le Républicain Lorrain - Arnaud Montebourg : « Je ne pouvais pas ne pas revenir à Florange »
De retour en Moselle, l’ex-ministre de l’Economie enfonce le clou des divergences qui l’ont opposé à l’exécutif sur le dossier Florange. Des « erreurs » qu’il souhaite voir éviter dans la reprise des chantiers de Saint-Nazaire.
L'ancien ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a assuré mardi sur franceinfo qu'il accepterait le résultat de la primaire du PS à laquelle il concourt, même si elle était remportée par François Hollande, tout en précisant qu'il ne ferait pas ensuite "le chauffeur de salle" pour le président sortant.
Le Monde - Montebourg, ministre (presque) malgré lui
On appelle cela déminer le terrain. Accusé régulièrement par ses adversaires d’avoir soutenu François Hollande, lors de la primaire de la gauche de 2011 puis au cours des deux premières années du quinquennat lorsqu’il était à Bercy, Arnaud Montebourg a décidé de mettre les choses au point dans un livre publié mercredi 12 octobre, intitulé Le retour de la France (Editions J’ai Lu, 96 p., 3 euros), dont Le Monde a pu se procurer une copie.Arnaud Montebourg passe la journée sur Toulouse. C’est sa première sortie après l’officialisation de sa candidature à la primaire du Parti Socialiste. L’ancien ministre a choisi une terre « conquise ». Arnaud Montebourg doit (encore) convaicre les électeurs toulousains. Mais il est déjà solidement implanté chez les socialistes de la ville rose.HOLLANDEDans toutes ses confidences, François Hollande n’épargne pas grand monde. Et les frondeurs du PS, qui ont ferraillé tout le quinquennat contre l’orientation économique des gouvernements Ayrault puis Valls, en prennent sérieusement pour leur grade. "Une agrégation de gens intelligents peut faire une foule idiote", persifle ainsi François Hollande à leur égard dans Un président ne devrait pas dire ça, des journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme.Extraits du livre de confidences "Un président ne devrait pas dire ça", les propos du président de la République sur les femmes voilées éclairent ses tergiversations... et sa réelle proximité idéologique avec Manuel Valls.Dans leur ouvrage «Un Président ne devrait pas dire ça ...» qui paraît ce jeudi, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, journalistes du «Monde», révèlent que le chef de l’Etat a milité pour un changement de nom du Parti socialiste.François Hollande a rencontré, mercredi 12 octobre au soir, le premier président et le procureur général de la Cour de cassation, Bertrand Louvel et Jean-Claude Marin, après la publication de propos polémiques du chef de l’Etat sur l’institution judiciaire.A six mois du prochain scrutin présidentiel, le chef de l'Etat revient sur son quinquennat, solde ses comptes avec la gauche et ne craint pas la comparaison avec la droite.CHEVENEMENTVoici le texte validé de l'interview donnée par Jean-Pierre Chevènement à l'Hebdomadaire Le Point qui en reproduit une version contractée, jeudi 13 octobre 2016, propos recueillis par Laureline Dupont et Thomas MahlerMELENCHONC’est le genre de sondage qui devrait pousser Jean-Luc Mélenchon à participer à la primaire initiée par le PS. Selon la dernière livraison du baromètre Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio, le candidat de la France insoumise, quatrième homme de la présidentielle de 2012, entre dans le top 5 des personnalités préférées des Français. Une performance inédite pour un leader de ce qu’on appelle grossièrement la gauche de la gauche et qui se qualifie, elle, tout simplement de gauche, la vraie, celle à laquelle Macron, Valls mais aussi Hollande n’appartiendraient plus.SEGOLENE ROYALLa ministre de l'Ecologie, ancienne présidente de Poitou-Charentes, dont la gestion est actuellement examinée par la chambre régionale, fait l'objet d'un livre réquisitoire, à paraître jeudi. -
L'édito de Jean-Christophe Cambadélis - épisode 14 : "Il ne faut jamais confondre l'essentiel et l'accessoire."
Dans ce nouvel édito, Jean-Christophe Cambadélis nous invite à ne pas confondre l'essentiel et l'accessoire. L'essentiel c'est l'offensive de la droite avec son programme menaçant le vivre ensemble et remettant en cause notre modèle social. C'est l'enjeu de la prochaine élection présidentielle. L'accessoire c'est un livre confidences qui auraient du rester des confidences, dévoyé par des formules répétées hors de leur contexte.
L'édito de Jean-Christophe Cambadélis - épisode... par PartiSocialiste -
Absence de professeurs, manifestation des policiers, division de la gauche, budget de l'Éducation nationale, candidature de François Hollande et revenu universel : Benoît Hamon répond aux questions de Jean-Pierre Elkabbach
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Mediapart - Garder le Parti socialiste, le quitter, le reconstruire… pour en faire quoi?
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L'Obs - Florange : promesses tenues, dit Hollande. Vraiment ?
Le chef de l'Etat est revenu sur le site d'ArcelorMittal pour faire valoir qu'il a tenu ses engagements. Est-ce le cas ?
François Hollande était de retour à Florange ce lundi après-midi. Et ce n'était pas un déplacement présidentiel comme les autres.
"Quand je parle de Florange, quand cette ville est citée (...) la représentation c'est une usine qui ferme - elle n'a pas fermé. Ce sont des salariés licenciés - il n'y en a eu aucun. C'est un plan social - il n'a pas eu lieu", a lancé le président de la République lors d'un discours à Uckange.Lire la suite
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Observatoire des inégalités - « L’école française ne fait pas assez pour réduire les inégalités sociales ». Entretien avec Marie Duru-Bellat
4 octobre 2016 - L’école française n’est pas le pire modèle qui soit. Mais elle est loin de faire tout ce qu’elle peut pour garantir des chances équitables aux enfants de milieux sociaux inégaux. Entretien avec Marie Duru-Bellat, professeure émérite de sociologie.
Peut-on dire, comme l’affirme un récent rapport du Cnesco [1], que l’école « amplifie les inégalités » ?
Marie Duru-Bellat : Pour répondre à cette question, il suffit d’imaginer ce que serait la situation sans système scolaire. Les inégalités sociales seraient bien plus fortes, évidemment. De plus, l’école n’est pas imperméable aux évolutions économiques et sociales, la montée du chômage n’arrange rien.
Cela dit, à partir du secondaire, les inégalités s’accroissent entre élèves en fonction des milieux sociaux. Si elle ne peut pas tout, on voit bien que l’école française ne fait pas assez comme le rappelle bien ce rapport. Elle ne compense pas les écarts et, au fond, dès les petites classes : les inégalités s’accumulent. Celles que l’on mesure dans l’enseignement supérieur se forgent au lycée, qui dépend de ce qui se passe au collège, qui est lui-même en partie la conséquence du parcours de l’élève au primaire... Bref, au minimum, l’école laisse faire.Lire la suite
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Libé - Consternation Hollande, chut libre
Vu l’eau qui s’engouffre depuis mercredi dans le navire présidentiel, la métaphore marine s’est imposée chez les socialistes. Le dernier livre en date consacré aux confidences de François Hollande (Un président ne devrait pas dire ça…) et son cortège de petites phrases sur les magistrats, les joueurs de foot, le Parti socialiste, les ministres ou sa vie privée, c’est un «naufrage de communication politique» pour les uns, un «sabordage de candidature» présidentielle, disent les autres. «On était déjà au fond de la mer et je ne pensais pas qu’on pouvait tomber plus bas, se désole un ténor de la majorité. Mais là le Titanic on ne le retrouvera jamais. On est perdus dans la fosse des Mariannes», la faille océanique la plus profonde du globe, en plein océan Pacifique.
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Dieynaba explique pourquoi elle participe à la Riposte Party
Dieynaba explique pourquoi elle participe à la... par PartiSocialiste