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Antoine Lyon-Caen : "Le Code du travail n'est pas responsable du chômage"
Antoine Lyon-Caen : "Le Code du travail n'est... par franceinter -
Le blog de Johann Elbory - Ne cherchez pas à créer un Podemos en France, créez un Podemos français !
Il y a des trucs pour lesquels la gauche radicale a un côté fashion victim. On pourrait trouver ça paradoxal, et, pourtant, c’est quelque chose d’ancien et d’ancré. Et, généralement, ça n’apporte pas que du bon. Ces dernières années, on a connu des engouements passagers pour tout un tas de modèles plus ou moins révolutionnaires, plus ou moins réussis, même parfois totalement foirés et, à force, ça commence à être vraiment fatigant.
Il y a quelques temps encore, il fallait absolument suivre le modèle de Die Linke, véritable source d’inspiration pour toute la gauche européenne. Puis le modèle allemand fut remplacé par la mode vénézuélienne, suivie de la bolivienne et de l’équatorienne. Au mois de janvier, la victoire de Syriza en Grèce a poussé tout le monde à vouloir « imiter les grecs ». Mais tout cela est presque devenu has been depuis quelques semaines. Désormais il faut être Podemos. Pas nécessairement pour des raisons politiques profondes, mais tout simplement parce que ça marche ailleurs, ça fait rêver, bref, c'est tendance.
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Le 49-3 pour la loi Macron : "Ce n’est pas un passage en force" (Jean-Marie Le Guen)
Le 49-3 pour la loi Macron : "Ce n’est pas un... par FranceInfo -
Robert Badinter : "On ne peut pas utiliser le droit contre le travail"
Robert Badinter : "On ne peut pas utiliser le... par franceinter -
Robert Badinter "Le droit du sol fait partie de notre patrimoine national"
Robert Badinter "Le droit du sol fait partie de... par franceinter -
LCI, Le Grand Décryptage - Manuel Valls : autoritaire ou efficace ?
L'utilisation de l'article 49.3 par le Premier ministre est-elle le signe de l'aveu de faiblesse d'une majorité écartelée ? Pour en débattre, Olivier Galzi reçiot Emmanuel RIVIERE, politologue et sondeur, Bruno JEUDY, rédacteur en chef politique à "Paris Match", et Philippe DOUCET, député PS du Val d’Oise, Laurent BAUMEL, député PS d’Indre-et-Loire.
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Paris Climat 2015 : énergie, qu'a-t-on fait en 25 ans ?
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La Tribune - Grèce : la nouvelle stratégie des créanciers
Selon la Süddeutsche Zeitung, les créanciers prépareraient un plan "à la chypriote" pour la Grèce en cas de défaut. Un moyen de faire pression sur le gouvernement hellénique qui demeure risqué.
Désormais, tout se passe comme si les créanciers de la Grèce jouaient une nouvelle partie : celle qui se jouera après le défaut d'Athènes vis-à-vis de ses engagements envers le FMI. Dimanche 14 juin, il n'y a eu aucune discussion. Selon des sources grecques proches du gouvernement, les négociateurs grecs se sont retrouvés à Bruxelles face à une équipe de techniciens « n'ayant aucun mandat pour négocier. » Et de fait, durant ce court rendez-vous de 45 minutes, toutes les nouvelles concessions grecques et non des moindres (notamment l'acceptation de l'objectif d'excédent primaire de 1 % du PIB pour cette année) ont été repoussées. Les exigences - toutes les exigences - des créanciers étaient à accepter en bloc.
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Regards - Podemos lance la transition démocratique en Espagne
Après le séisme infligé au bipartisme par la gauche radicale lors des élections municipales et régionales du 24 mai, l’Espagne tente de se reconstruire politiquement. La danse des alliances peut commencer, et enfin, c’est la gauche qui gagne.
« Si se puede », « Oui, c’est possible ». C’est sur ces cris d’espoir que la juge Manuela Carmena, l’activiste Ada Colau et des dizaines d’autres maires fraîchement investis, ont été fêtés par une foule en liesse. Dans chaque mairie gagnée par les coalitions de partis, de syndicats et d’associations de la gauche radicale, emmenées ou soutenues par Podemos, la même scène se répète. Le vote du changement a payé.
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Les Inrocks - Espagne : Virginie Despentes raconte la révolution sans fard
En Espagne, Ada Colau, Manuela Carmena et Mónica Oltra symbolisent la percée électorale de la gauche radicale. L’écrivaine Virginie Despentes salue ce changement et pointe les risques inhérents à l’exercice du pouvoir.
La veille des élections, dans un bar, une amie à qui on demande si elle vote et pour qui, répond : “J’y vais, je vote pour la femme qui ne porte pas de maquillage” et tout le monde éclate de rire, car si Ada Colau était quasiment inconnue il y a cinq mois, elle était, au terme d’une campagne brillante quoique uniquement financée par la motivation des troupes, devenue incontournable. Deux jours plus tard, les résultats sont tombés – et en les regardant s’exprimer à la télévision, me revient cette histoire de “sans maquillage”, qui m’avait fait rigoler, sur le coup.
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