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  • La social-démocratie et la gauche en France aujourd’hui : retrouvez le compte rendu et la vidéo du débat de Terra Nova aux Universités du PS à La Rochelle

    Dans le cadre des Universités d’été 2013 du Parti socialiste à la Rochelle, Terra Nova a organisé le 24 août dernier une conférence intitulée « La social-démocratie et la gauche en France aujourd’hui », en présence de Michel Rocard, ancien Premier ministre et président du Conseil d’orientation scientifique de Terra Nova ; Michel Sapin, Ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social ; et Yann Algan, chercheur en économie à Sciences-Po. Nous vous proposons de retrouver ci-dessous l’intégralité de ces échanges en vidéo.

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  • Yves Sintomer « Une nouvelle révolution démocratique gagne en crédibilité »

    En pleine crise politique, le chercheur, ardent promoteur de la démocratie participative, montre à quel point des mouvements de démocratisation réelle se font jour et ouvrent à des innovations.

    Né en 1962, 
Yves Sintomer 
est professeur 
de sociologie en science politique à l’université 
Paris-VIII. Membre 
de l’Institut universitaire de France, il est chercheur au CNRS, associé au CSU (Cultures et sociétés urbaines) du Cresppa, 
ainsi qu’au centre 
Marc-Bloch de Berlin et à l’Institut de sociologie de l’université de Neuchâtel. Attentif au processus de démocratisation en Amérique latine lors 
de ses années d’études, le philosophe politique de formation avance 
la possibilité d’une théorie de la démocratie délibérative, influencé par Jürgen Habermas. 
Ses travaux sur la gestion de proximité et 
la modernisation de l’État ainsi que sur la vie privée et les rapports de pouvoir vont contribuer à l’essor des dispositifs de démocratie participative en Europe, 
à l’instar de l’expérience en région Poitou-Charentes des budgets participatifs des lycées. Auteur de 
la Démocratie impossible ? Politique et modernité 
chez Weber et Habermas (1) et de Porto Alegre, l’Espoir d’une autre démocratie (2), et de Petite histoire de l’expérimentation démocratique, tirage au sort et politique d’Athènes à nos jours (3), dans lequel il revient sur les pratiques politiques d’hier pour éclairer les mouvements d’aujourd’hui. Il signe l’introduction de 
Max Weber, sociologie 
de la domination, à paraître fin septembre prochain, toujours à la Découverte. P.C.

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  • Discours d'Harlem Désir en hommage à Didier François et Édouard Elias, journalistes otages en Syrie depuis trois mois


    Discours d'Harlem Désir en hommage à Didier... par PartiSocialiste

  • Marie-Arlette Carlotti : "Marseille ne doit pas faire peur"


    Marie-Arlette Carlotti : "Marseille ne doit pas... par rtl-fr

  • Non Fiction : La logique du nouvel art de la gestion politique

    Résumé : Une analyse marxienne de la notion de "gouvernance" qui s’impose de plus en plus dans les institutions et grâce à certaines institutions.

     

    Il est vrai que le terme a suivi un long cheminement avant de s’installer au cœur de la plupart des discours politiques. Désormais il est incontournable, du moins, on ne peut plus du tout éviter de l’entendre prononcer. "Gouvernance", voilà de quoi il s’agit. Un terme apparemment inoffensif, a raison de remarquer l’auteur. Mais un terme qui, comme il le montre dans cet ouvrage, provoque des ravages. Car il ne suffit pas de constater la présence du terme dans les discours, il faut aussi en juger les effets et la portée. Terme progressiste pour les uns, réactionnaire pour les autres, l’auteur propose une autre voie, qui n’est pas nécessairement une troisième voie : la gouvernance, veut-il démontrer, oblitère notre patrimoine de références politiques pour lui substituer les termes tendancieux du management. La perversion opérée par le terme est totale. Dès lors qu’on invoque ou convoque la "gouvernance", on fait tourner les affaires du monde et les affaires politiques surtout, autour de la seule gestion et de l’entreprise privée.

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  • OFCE - Trop de finance tue-t-il la croissance ?

    2 septembre 2013

    par Jérôme Creel, Paul Hubert et Fabien Labondance

     Existe-t-il un niveau optimal de financiarisation de l’économie ? Un document de travail du FMI écrit par Arcand, Berkes et Panizza (2012) s’intéresse à cette question et tente d’évaluer empiriquement ce niveau. Il met en avant les effets négatifs engendrés par une financiarisation trop approfondie.

    La financiarisation renvoie à la place prise par les services financiers dans une économie et par conséquent au niveau d’endettement des agents économiques. Traditionnellement, l’indicateur du niveau de financiarisation se mesure en calculant le ratio entre les crédits au secteur privé et le PIB. Jusqu’au début des années 2000, cet indicateur ne prenait en compte que les crédits octroyés par les banques de dépôt, mais le développement du shadow banking (Bakk-Simon et al., 2012) incite dorénavant à prendre également en compte les prêts accordés par l’ensemble des institutions financières.

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  • L'Observatoire des inégalités - Rentrée scolaire : où en est-on des inégalités à l’école ?

    L’école française, pourtant performante, demeure marquée par de fortes inégalités. Pour mieux comprendre où en est le système éducatif français en matière d’inégalités, l’Observatoire des inégalités propose une synthèse et une sélection de données chiffrées et d’analyses.La rentrée scolaire 2013 est marquée par la mise en place de la loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République, votée le 8 juillet dernier.

    L’entrée en application de cette loi a pour objectif énoncé par le ministre de l’éducation nationale de « permettre aux élèves de mieux apprendre, pour qu’ils puissent tous réussir, et former les citoyens de demain ». Les mesures mises en place permettront-elles de lutter contre les inégalités toujours présentes à l’école ? (voir le détail des mesures sur le site du ministère). L’accent particulier mis sur l’école primaire est en soi un bon signe car c’est là que les écarts entre les enfants de milieux favorisés et ceux de milieux populaires commencent à se creuser. Il en découle des parcours et des réussites scolaires différenciés selon l’origine sociale. Le décrochage scolaire, les inégalités entre les filles et les garçons, la réussite éducative, font aussi partie des chantiers de cette loi, mais elle ne dit rien, par exemple, de la carte scolaire.

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  • Manuel Valls : "Des quartiers de Marseille ont été abandonnés depuis des dizaines d'années"


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  • Cazeneuve veut être "le ministre de l'économie pas des impôts"


    Cazeneuve veut être "le ministre de l'économie... par Europe1fr