Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 13

  • Fondation Jean Jaurès - Europe. Pour un second souffle

    Pour sauver et réorienter l’Europe, le député européen Henri Weber propose des réformes concrètes pour surmonter la crise des dettes souveraines et du système bancaire, pour retrouver une croissance forte et durable et pour démocratiser l’Union européenne.

    I - REPARER LES VICES DE CONSTRUCTION INITIAUX

    Pour sauver l’euro et l’intégrité de la zone euro, un Mécanisme européen de stabilisation (MES) a été mis en place, les missions de la Banque centrale européenne ont été élargies, une Opération de refinancement à long terme d’une durée de trois ans a vu le jour, un projet d’Union bancaire a été adopté, un processus d’Union budgétaire a été engagé sur cinq ans pour veiller à la stricte application du Pacte de stabilité et de croissance. Mais les réformes réalisées depuis 2010 ne réparent pas les vices de construction initiaux de l’euro et de la zone euro que sont l’absence d’une Banque centrale européenne complète, l’absence d’un gouvernement économique et la faiblesse structurelle du budget européen, limité dans le meilleur des cas à 1,24 % du revenu national brut (RNB) de l’Union.

    Lire la suite
    __________________________________________________
    __________________________________________________

  • Regards - La longue marche du salaire minimum

    Barack Obama a créé la surprise en déclarant vouloir augmenter le salaire minimum. Institué en Nouvelle- Zélande en 1894, ce droit s’est étendu à la majeure partie des pays industrialisés et au-delà. Critiqué par les néolibéraux, il semble connaître un nouvel engouement dans des pays aussi différents que l’Allemagne, les Etats- Unis ou la Chine. Décryptage.

    Lire la suite
    _______________________________________________________
    _______________________________________________________

  • Christian Chavagneux - G20 et paradis fiscaux : 3 pas en avant, un oubli et un gros bémol

    Le communiqué final du G20 de Saint-Pétersbourg valide politiquement trois avancées extrêmement fortes dans la lutte contre les paradis fiscaux. Mais un oubli et un gros bémol viennent gâcher la fête.

    Ne boudons pas notre plaisir. Le communiqué final du G20 valide trois choix politiques très forts dans la lutte internationale contre les paradis fiscaux qui feront de 2013 une année de référence. Si les promesses sont tenues.

    Les batailles autour de l’échange automatique
    Il y a d’abord l’engagement de faire de l’échange automatique d’informations fiscales le nouveau standard mondial. Toute personne qui engage des transactions financières à incidence fiscale à l’étranger verra le fisc de son pays d’origine automatiquement informé. Plutôt que de demander à chaque pays de réviser bilatéralement ses conventions fiscales avec tous ses pays partenaires, l’OCDE doit développer les principes d’un standard mondial d’ici février 2014 et avoir réglé les problèmes techniques de sa mise en œuvre pour juin 2014.

    Lire la suite
    ________________________________________________
    ________________________________________________

  • L'Etat compte créer "environ 480 000" emplois industriels en 10 ans, Des Idées et Des Rêves - Arnaud Montebourg


    L'Etat compte créer "environ 480 000" emplois... par idees_reves

  • Royal : "La méthode est mauvaise en matière de fiscalité"


    Royal : "La méthode est mauvaise en matière de... par lefigaro

  • Arnaud Montebourg à Europe 1 - Plans industriels : "financés par l'investissement privé"


    Plans industriels : "financés par l... par Europe1fr

  • "Reconquête industrielle" : un énième plan ?


    "Reconquête industrielle" : un énième plan ? par lemondefr

  • Budget 2014: un budget pour le redémarrage de l'emploi


    Budget 2014: un budget pour le redémarrage de l... par Matignon

  • Les économistes atterrés : Au secours! La taxe carbone revient

    Rédigé par Gilles Rotillon le Jeudi 5 Septembre 2013

    Après la commission De Perthuis sur la fiscalité écologique, l’idée d’une taxe carbone refait surface et on peut dire qu’elle tombe bien mal dans un contexte où chacun, à commencer par le ministre du budget, renchérit sur le « ras-le-bol » fiscal qui frappe nos concitoyens. Ségolène Royal, quant à elle, parle d’impôt punitif et demande à ce qu’on imite ce qu’elle a si bien fait dans sa région, qui, comme chacun sait, est un véritable paradis écologique. Les grands médias reprennent en cœur ce refrain d’une fiscalité insupportable et punitive et répètent à l’envi que sans croissance nous ne pourrons rien, que sans consommation, il n’y aura pas de croissance et que les impôts tuent la consommation et réduisent l’incitation pour l’État à réduire ses dépenses, accentuant ainsi l’insupportable dette publique. La cause est entendue et la messe est dite, il faut donc baisser les dépenses de l’État, pour baisser la dette publique tout en baissant les impôts pour stimuler la consommation et relancer la croissance. Et ceux qui osent dire non seulement le contraire (là, la folie les guette) mais simplement remettre en cause l’un des enchaînements ci-dessus est vilipendé au nom du réalisme et du monde qui bouge.

    Lire la suite
    ______________________________________________________
    ______________________________________________________

  • Alternatives économiques - Les entreprises ne sont pas écrasées d'impôts

    Certes, la part de la valeur ajoutée des entreprises consacrée aux impôts et cotisations sociales patronales est remontée ces dernières années, de 23,8 % en 2010 à 25,4 % en 2012. Pour autant, cette part est toujours inférieure de 0,5 point à ce qu’elle était en 2006.

    Lire la suite
    ________________________________________________
    ________________________________________________