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Le meilleur de 2020 : #brexit L’émouvant chant d’adieu aux Britanniques du parlement européen
Deux jours avant le Brexit, le Parlement européen a ratifié mercredi à une écrasante majorité le traité de retrait du Royaume-Uni de l'UE et fait des adieux émus aux députés britanniques sur l'air de "Ce n'est qu'un au revoir".
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Patrice Mercier - Le confinement #18 les aventures de Sibeth Vol 3
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Le virus de la culture - Le billet de Nicole Ferroni
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Les Ogres de Barback - "Elle est où ?"
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Le meilleur de 2020 - Gabriel Zucman : réinventer l'impôt pour combattre l'injustice
Les riches paient moins d’impôts que le reste de la population. C’est le constat que livre notre invité, Gabriel Zucman, professeur d’économie à l’université de Californie à Berkeley, co-auteur de l’essai "The Triumph of Injustice", paru en octobre 2019 et publié en France au Seuil en février sous le titre "Le triomphe de l'injustice - Richesse, évasion fiscale et démocratie" ; un essai écrit à deux avec Emmanuel Saez. Dans la lignée de l’économiste Thomas Piketty, auteur du best-seller "Le Capital au XXIe siècle" (Seuil, 2013) et directeur de thèse de Gabriel Zucman à Paris, ils s’appliquent à modifier le paysage politique et économique américain pour lutter contre les inégalités.
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Le meilleur de 2020 - Observatoire des inégalités - Définissons les pauvres comme les 10 % les moins riches
Points de vue 3 novembre 2020
Plutôt que de fixer un seuil de pauvreté, on pourrait considérer comme « pauvres » les 10 % les moins riches. Cette nouvelle convention statistique aurait le mérite de la simplicité et de la disponibilité des données. Tel est le point de vue de Julien Damon, sociologue
Les analyses autour de la pauvreté se sophistiquent toujours davantage, au point qu’on peut s’y perdre. Les définitions des uns ne correspondent pas forcément à celles des autres. Apprécier la pauvreté revient, globalement, à évaluer des niveaux de vie et des conditions de vie. Des méthodes toujours plus élaborées produisent des données qui alimentent le débat public. De l’Insee à la Banque mondiale en passant par Eurostat, l’inventivité retentit dans les bases de données. Les multiples dimensions de la pauvreté (revenus, logement, santé, emploi, etc.) appellent chacune leur détermination, spécifiquement ou bien dans des tableaux de bord, voire dans des indicateurs composites. On invente donc sans cesse, ou presque, de nouvelles délimitations.
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Rencontre autour de Rémi Lefebvre : "Primaires : de l'engouement au désenchantement ?"
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Rémi Lefebvre - La gauche et 2022: comment déjouer le scénario de l’effacement ?
23 déc. 2020
L’impasse stratégique et organisationnelle de la gauche officielle est flagrante et nourrit la croyance dans la gauche mouvementiste qu’il n’y a rien à attendre de la démocratie représentative et des élections. Se creuse ainsi un autre fossé, entre le mouvement social et la politique électorale. La gauche risque d’être la spectatrice d’une élection qui pourrait se jouer sans elle. Par Rémi Lefebvre, professeur de science politique.
Les Français se disent de moins en moins de gauche. Une enquête de l’IFOP, publiée en juillet dernier[1], révèle que seuls 13 % des personnes interrogées se situent politiquement à gauche (-3 points sur un an, -2 points par rapport à novembre 2017, -10 points sur mars 2017). Il faut certes prendre avec prudence ce type d’études. Elles mesurent moins les systèmes d’opinions des enquêtés que la valeur sociale d’une référence et d’une identité. L’attachement aux valeurs d’égalité et de justice sociale, si on définit ainsi la gauche, mobilise dans la société au-delà de cet étiage. Discréditée par le quinquennat de François Hollande, rejetée et jugée « minorisante » par les Insoumis comme par les écologistes, l’étiquette est plus disqualifiée que son contenu. Le signifiant est plus démonétisé que le signifié.
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L'Huma - 100 ans après le congrès de Tours, quelle gauche pour faire face aux défis de notre temps ?
Il y a tout juste 100 ans, du 25 au 30 décembre 1920, avait lieu le congrès de Tours qui marquera durablement l'histoire de la gauche française comme le moment de la scission de la SFIO et l'acte fondateur du Parti communiste français. Cent ans plus tard, nous faisons face à une série de crises majeures, sanitaire, économique, sociale et terroriste. Quelle gauche pour faire face à ces défis et quels enseignements tirés du siècle écoulé ? Avec la participation de Fabien Roussel, secrétaire national du Parti communiste français, Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, Clémentine Autain, député La France insoumise et Julien Bayou, secrétaire national d'Europe Écologie-les Verts. Un débat animé par Julia Hamlaoui, cheffe du service politique de l'Humanité.
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HK - Une petite musique