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  • Courrier International - Mário Centeno, “le Ronaldo de l’Ecofin”, favori pour la présidence de l’Eurogroupe

    Le ministre des Finances portugais, soutenu par Berlin et Paris, est bien parti pour diriger la zone euro à partir de lundi 4 décembre. Mais ce transfert de Lisbonne à Bruxelles suscite craintes et critiques au Portugal.

    Son sport de jeunesse est le rugby, son terrain d’excellence l’économie. Mais c’est à un footballeur, son plus fameux compatriote, qu’on le compare aujourd’hui. Le ministre des Finances portugais Mário Centeno, surnommé “le Ronaldo de l’Ecofin” (le Conseil des Affaires économiques et financières de l’UE) par son homologue allemand, est officiellement candidat depuis jeudi 30 novembre à la présidence de l’Eurogroupe. Et il part favori pour succéder ce lundi au Néerlandais Jeroen Dijsselbloem à ce poste stratégique des institutions européennes, face à trois concurrents : la Lettonne de centre droit Dana Reizniece-Ozola, le social-démocrate slovaque Peter Kazimir et le libéral luxembourgeois Pierre Gramegna.

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  • Un peu d'histoire : Revenus : une allocation pour tous

    Reportage d'Amaury GUIBERT en Finlande consacré à l'idée d'un revenu minimum universel pour tous. Cette question divise les citoyens et les experts notamment au niveau de l'égalité de traitement entre les citoyens, la motivation pour chercher un travail, les conséquences sur l'économie du pays. La Finlande a longtemps pratiqué la formule de l'Etat providence, mais la situation économique du pays ne permet plus de financer l'ensemble des aides sociales. Le coût de celles ci devient trop important pour l'économie. L'instauration d'un revenu minimum universel permettrait une simplification administrative, une réduction de l'effectif des fonctionnaires et donc des économies. Microtrottoir, interviews d'Annika SAARIKKO, vice présidente du parti centriste finlandais, Aleksi SAREOLA, chômeur de longue durée, Janet VIRTANEN, étudiante en droit, Joonas RAHKOLA, économiste à l'association des syndicats finlandais, alternant avec un commentaire sur des images factuelles et d'illustrations.

  • L'Opinion - Stéphane Troussel: «Au PS, je ne veux pas qu’on exclut» ceux partis avec Benoît Hamon

    Président socialiste du département de la Seine-Saint-Denis, Stéphane Troussel annonçait en novembre dernier sa décision de ne pas verser à la CAF les 40 millions d’euros nécessaires au paiement du RSA. « Les 100 000 allocataires de Seine-Saint-Denis percevront leur RSA mensuel et ce sera le cas en décembre et en janvier », indique-t-il. « Mais je ne rembourserai pas à la CAF d’autant plus que le gouvernement vient d’annoncer qu’il renouvellerait un fond d’urgence pour les départements en difficulté mais avec un chiffre deux fois moins important que les années précédentes », déclare Stéphane Troussel.

  • Observatoire des inégalités - Inégalités : que peuvent nous dire les économistes ?

    Alors que les biens et les services sont désormais échangeables internationalement, faut-il taxer les richesses accumulées ou intervenir en amont sur les inégalités de revenus ? Petite leçon d’économie appliquée aux inégalités. Par Pierre-Noël Giraud, économiste, enseignant à MINES ParisTech et à l’université Paris Dauphine. Extrait de l’ouvrage Que faire contre les inégalités ?.

    La question des inégalités, leurs causes, leurs évolutions, leurs conséquences, leur caractère naturel ou social, juste ou injuste, les moyens de les combattre convoquent l’ensemble des sciences économiques et sociales, ainsi que la philosophie morale et politique. L’économie n’en aborde que certains aspects. Elle mesure certaines inégalités – de revenus, de patrimoine, d’accès à l’éducation, à la santé, au logement, à la culture, etc. – et propose une explication de leurs évolutions. Si les inégalités sont jugées excessives – un jugement, on le verra, entièrement politique – elle propose des moyens de politique économique pour les réduire.

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  • France Info - Dussopt chez Macron : "C'est comme s'il venait nous cracher au visage", déplore Boris Vallaud

    Boris Vallaud, député Nouvelle gauche des Landes, invité de franceinfo lundi 4 décembre, a vivement réagi à l'entrée au gouvernement d'Olivier Dussopt, maintenant ex-député PS de l'Ardèche. "Je ne m’y attendais pas", a-t-il déclaré. "Nous sommes 30 dans le groupe à l'Assemblée nationale, à se serrer les coudes", a-t-il ajouté. "C'est comme s'il venait nous cracher individuellement au visage (...) Malheureusement je ne découvre pas qu’on est prêt à se vendre pour un plat de lentilles. La jouer perso, ce n’est pas trop correct vis-à-vis des collègues", a poursuivi Boris Vallaud.

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