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social-democratie

  • Européennes : la gauche n'est "pas morte" et doit "chercher à se rassembler", lance Glucksmann

  • Fondation Jean Jaurès - Quatre mois avant les élections européennes : la social-démocratie est-elle morte ?

    À quatre mois des élections européennes, quelle est la situation des partis sociaux-démocrates en Europe ? Comment ont-ils évolué au cours des dernières années ? Se sont-ils adaptés aux mutations de la structure des clivages en Europe ? La Fondation Jean-Jaurès en débat avec :

    - Fabien Escalona, docteur en science politique, auteur de "La reconversion partisane de la social-démocratie européenne. Du régime social-démocrate keynésien au régime social-démocrate de marché" (Éditions Dalloz, 2018),

    - Henri Weber, ancien sénateur, ancien député européen, responsable pour la Fondation Jean-Jaurès d’un rapport sur « la nouvelle forme partisane », lors d’une rencontre publique animée par Nicolas Leron, expert associé à la Fondation Jean-Jaurès, chercheur associé au Cevipof, Sciences Po.

  • Le Nouveau Magazine Littéraire - Enzo Traverso : « Là où la gauche propose un réel projet de société, l’extrême droite décline »

    Selon l'historien des idées italien, l'idéologie néolibérale, marquée par le présentisme et l'individualisme possessif, court-circuite toute velléité de changement à gauche. Mais il ne désespère pas : les indignations, elles, s’accumulent et déboucheront tôt ou tard sur de nouvelles utopies.

    Enseignant aux États-Unis, Enzo Traverso n'en reste pas moins un observateur averti de l'actualité européenne et française - il a été professeur de sciences politiques à l’Université de Picardie Jules Verne. Reconnu pour sa réflexion sur le XXe siècle et l'histoire des gauches, il revient sur la bérézina des forces progressistes en ce début de XXIe siècle. entre poussée des populismes xénophobes et crise de la social-démocratie. Pas de quoi être pessimiste, estime cependant le philosophe, qui rappelle que la gauche s'est toujours constituée dans la défaite.

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  • Libé - La gauche sans voix

    La social-démocratie perd son dernier représentant de poids en Europe avec la démission de Matteo Renzi. Si la poussée xénophobe sur le continent explique en partie la déroute de la gauche, celle-ci paye aussi le prix de ses compromissions libérales.

    Il a joué, il a chuté. Avec la démission du président du Conseil italien, Matteo Renzi, après la nette victoire du non au référendum institutionnel qu’il avait mis sur la table, la social-démocratie européenne perd son poulain le plus frais - élu en février 2014. Et son dernier dirigeant de poids sur le continent alors que François Hollande a, lui, renoncé sous la contrainte sondagière à briguer un second mandat. Sans préjuger de l’avenir de Renzi, son revers est la nouvelle démonstration d’une social-démocratie à tendance libérale décidément à l’agonie sur le continent. «Après le renoncement de François Hollande, ce vote participe de ce chant du signe du social-libéralisme européen», confirme Fabien Escalona, docteur en sciences-politiques et enseignant à Sciences-Po Lyon.

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