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pedro sanchez

  • Euractiv - Pedro Sánchez : les trois scénarios probables de sa décision de lundi

    L’annonce du Premier ministre espagnol Pedro Sánchez, déclarant qu’il pourrait démissionner lundi (29 avril), a donné lieu à une avalanche de spéculations, les analystes et les médias suggérant qu’il pourrait s’agir soit d’une démission imminente, soit d’un appel à des élections anticipées, soit d’une motion de censure.

    Pedro Sánchez a annoncé mercredi (24 avril) sur X qu’il prendrait quelques jours pour réfléchir à son avenir, après que son épouse, Begoña Gómez, a été accusée de trafic d’influence et de corruption par le Parti populaire espagnol (PP, PPE), parti de droite et principale force d’opposition, et par Vox (ECR), troisième force du parlement, dans ce qu’il a qualifié de « sale campagne ».

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  • Le Grand Continent - La gauche qui gouverne : Sanchez dans le texte

    C’est chose faite. Pedro Sanchez vient d’être investi pour un nouveau mandat. Lors de la séance du 15 novembre, le candidat socialiste a clairement présenté l’alternative qui selon lui rythmera l’Espagne politique des années suivantes : le progrès et la cohésion contre l'arriération et la haine.

    Pour la première fois en français, nous publions l'intégralité de ce discours qui imprime une nouvelle ligne à la gauche espagnole.

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  • RFI - Espagne: les contours du soutien des indépendantistes catalans au socialiste Pedro Sanchez

    Les indépendantistes catalans espagnols ont signé jeudi 9 novembre un accord avec les socialistes pour investir Pedro Sánchez à la tête du gouvernement. Mais il n'a pas été facile à obtenir. 

    L'accord conclu jeudi 9 novembre entre les indépendantistes et les socialistes arrive in extremis à deux semaines à peine de la date butoir qui aurait signifié le retour aux urnes des Espagnols. Les indépendantistes, faiseurs de rois, se sont fait désirer, surtout ceux de la droite indépendantiste de Junts (Ensemble), le parti de l'ex-président catalan, Carles Puigdemont, installé en Belgique depuis 2017. En faisant monter les enchères, ils essayaient d'obtenir le plus de concessions de la part des socialistes.

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    Euractiv - Pedro Sánchez assure le renouvellement de son mandat, la droite intensifie sa « résistance patriotique »

    Le Premier ministre espagnol par intérim Pedro Sánchez a réussi à rassembler toutes les pièces du « puzzle politique » complexe dont il a besoin pour revenir au pouvoir, alors que les partis de droite et d’extrême droite ont promis dimanche (12 novembre) d’intensifier leur « résistance patriotique » contre la loi d’amnistie controversée des séparatistes catalans. 

    Des centaines de milliers de personnes à Madrid, Valence, Barcelone, Malaga et d’autres grandes villes espagnoles ont exprimé leur opposition à la loi d’amnistie dimanche (12 novembre) lors d’une manifestation coordonnée organisée par le Partido Popular (PP/PPE), principale force d’opposition, et le parti d’extrême droite Vox (CRE), troisième force d’opposition au Parlement. Un demi-million de personnes ont participé aux manifestations dans le centre de Madrid, selon des sources du PP — bien que les sources officielles parlent de 80  000 personnes — tandis que les chiffres officiels pour Barcelone font état de 6  000 manifestants.
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    Espagne : Pedro Sanchez obtient l'appui controversé de Carles Puigdemont • FRANCE 24

    Le Parti socialiste du Premier ministre Pedro Sanchez et la formation de l'indépendantiste catalan Carles Puigdemont sont parvenus à un accord, jeudi, controversé mais indispensable à la reconduction au pouvoir du chef du gouvernement espagnol. L'accord comprend une loi d'amnistie pour les dirigeants et militants indépendantistes poursuivis par la justice, une perspective vivement combattue par l'opposition de droite et d'extrême droite.

  • RFI - Espagne: socialistes et extrême gauche font un premier pas vers un gouvernement

    En Espagne, c'est une première victoire pour le chef du gouvernement sortant Pedro Sanchez, qui cherche son investiture. Le parti socialiste et Sumar, une coalition de formations plus à gauche, sont parvenus un accord. Au centre de celui-ci, il y a la réduction du temps de travail hebdomadaire.

    Le chef de file socialiste Pedro Sanchez et la leader de Sumar Yolanda Diaz, actuelle ministre du Travail, « ont finalisé les détails d'un pacte » de gouvernement « issu des négociations engagées depuis la fin du mois de juillet », ont indiqué les deux formations politiques dans un communiqué. 

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  • France 24 - En Espagne, des socialistes persuadés d'avoir de bonnes chances de rester au pouvoir

    Les socialistes de Pedro Sánchez, chef du gouvernement espagnol sortant, se sont dit, mercredi, convaincus de leurs chances d'être reconduits au pouvoir. Une déclaration qui intervient après l'"échec", selon eux inévitable, du chef des conservateurs Alberto Nunez Feijoo à se faire investir Premier ministre par le Parlement à la fin du mois de septembre.....

    Arrivé en tête du scrutin anticipé du 23 juillet, qui n'a pas permis de dégager de majorité, le leader de la droite espagnole, Alberto Nunez Feijoo, a été chargé par le roi Felipe VI de présenter sa candidature devant le Parlement. Les débats et le vote auront lieu les 26 et 27 septembre.

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  • Élections municipales et régionales en Espagne : résultats et conséquences politiques

    À la suite des élections municipales et régionales organisées en Espagne le dimanche 28 mai 2023, qui ont vu la gauche reculer et la droite l’emporter, Antoine de Laporte, expert associé à la Fondation et observateur de la vie politique espagnole, analyse les résultats et leurs conséquences politiques, mais aussi sur la recomposition politique en cours en Espagne. Il est interrogé par Alexandre Minet, coordinateur du secteur International de la Fondation Jean-Jaurès.

    Lors de ces élections municipales et régionales, on a pu constater un recul de la gauche radicale, mais aussi de la gauche dans son ensemble (PSOE et Unidas Podemos notamment), avec la perte de bastions socialistes (en Estrémadure, dans la Communauté valencienne ou encore à Séville), et une victoire de la droite (Parti populaire et Vox), quand Ciudadanos disparaît quasi-complètement. La première conséquence politique de ces résultats a été l'annonce surprise du chef de gouvernement Pedro Sánchez de tenir les élections générales le 23 juillet prochain au lieu de décembre.

  • L'Obs - La leçon de Pedro Sanchez au PS français

    Il y a encore quelques années, les barons socialistes espagnols le prenaient de haut. Ils le surnommaient « El guapo », traduisez « le bellâtre ». Il était le quadra sorti de nulle part, ex-joueur de basket, ayant traîné ses guêtres d’étudiant à New York, spécialiste de l’économie européenne. La génération Zapatero voyait en lui un intrigant sans envergure, sans charisme, à la colonne vertébrale politique de flanelle.

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  • Huffington Post - Législatives anticipées en Espagne: les débuts du gouvernement socialiste plébiscités

    Le chef du gouvernement espagnol, le socialiste Pedro Sanchez, arrivé au pouvoir par surprise il y a deux mois, remporterait des législatives anticipées avec près de 30% des voix pour son parti, selon un sondage qui fait référence publié jeudi.

    Le parti socialiste (PSOE) deviendrait ainsi la première force politique d'Espagne, avec 29,9% des voix, selon cette enquête du Centre de recherche sociologique espagnol (CIS) réalisée entre le 1er et le 10 juillet.

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  • Le Parisien - Pedro Sanchez, l’Espagnol qui fait rêver le PS

    Pendant que les socialistes français sont au tapis, leurs camarades espagnols dirigent le gouvernement. Grâce à leur leader obstiné, qui a frappé un grand coup en ouvrant les bras aux réfugiés de l’Aquarius.

    Quand il relève le nez de ses cartons de déménagement, Olivier Faure, le nouveau patron du PS, regarde vers le sud. De l’autre côté des Pyrénées, un homme neuf et jeune comme lui, patron comme lui aussi d’un parti socialiste à bout de souffle, vient de marquer un but en pleine lucarne sur le terrain politique espagnol. Bien que n’étant plus député et à la tête d’un parti minoritaire au Parlement, Pedro Sanchez, 46 ans, a réussi à faire tomber le 1er juin sur une motion de censure l’insubmersible leader de la droite ibérique Mariano Rajoy.

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  • Le Figaro - Le chef des socialistes espagnols demande au leader catalan «d'arrêter tout»

    Le leader du Parti socialiste espagnol Pedro Sanchez a demandé aujourd'hui au chef du gouvernement séparatiste catalan, Carles Puigdemont, de "tout arrêter" et de renoncer à une déclaration d'indépendance unilatérale dès aujourd'hui comme il l'envisage.

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