L’annonce du Premier ministre espagnol Pedro Sánchez, déclarant qu’il pourrait démissionner lundi (29 avril), a donné lieu à une avalanche de spéculations, les analystes et les médias suggérant qu’il pourrait s’agir soit d’une démission imminente, soit d’un appel à des élections anticipées, soit d’une motion de censure.
Pedro Sánchez a annoncé mercredi (24 avril) sur X qu’il prendrait quelques jours pour réfléchir à son avenir, après que son épouse, Begoña Gómez, a été accusée de trafic d’influence et de corruption par le Parti populaire espagnol (PP, PPE), parti de droite et principale force d’opposition, et par Vox (ECR), troisième force du parlement, dans ce qu’il a qualifié de « sale campagne ».
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