Le dernier candidat en lice contre Joe Biden dans la course à l'investiture démocrate a jeté l'éponge. Mercredi 8 avril dans la soirée, Bernie Sanders, candidat désigné de la jeunesse de gauche et des travailleurs, a annoncé la fin de sa campagne, qu'il ne pouvait continuer "en son âme et conscience" dans le contexte de la crise du coronavirus, sachant qu'il lui était mathématiquement impossible de l'emporter.
Actualités socialistes - Page 535
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Bernie Sanders annonce la fin de sa campagne et promet de travailler avec Joe Biden
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Fondation Jean Jaurès - Italie : les citoyens face à l’épidémie, Elena Rosso
Quelle est la vie des Italiens confinés depuis quelques semaines pour limiter la propagation du Covid-19 ? Elena Rosso, étudiante en master 2 Affaires européennes à l’Université Paris Sorbonne et actuellement confinée en Sicile d’où elle est originaire, revient sur la prise de conscience progressive de ses concitoyens et s’interroge sur les notions de « besoin » et de « nécessité » que notre société mondialisée semble avoir faussées et dont la crise nous rappelle aujourd’hui les fondements.
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Le Parisien - C’est qui le patron?! reverse ses gains : «Imaginez si tout le monde s’y mettait !»
La marque des consommateurs, qui a vu ses ventes exploser depuis le confinement, a décidé, lors d’un vote, de partager cet argent avec ceux qui en ont besoin. Elle appelle d’autres entreprises à la rejoindre.
+ 387 % sur les pâtes, + 142 % sur la farine ou + 141 % sur les steaks surgelés, selon les chiffres du cabinet spécialisé Nielsen. Les ventes des produits de la marque C'est qui le patron?! explosent depuis le début du confinement, se plaçant même au-dessus d'un marché alimentaire déjà en forte croissance.
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Afrik - Vainqueur d’Ebola, Zéro décès de Covid-19 : Sénégal, le Pr Seydi en phase avec Didier Raoult sur la Chloroquine
La révélation que les malades de Coronavirus sont traités à la Chloroquine a été faite, ce jeudi 26 mars 2020, au Sénégal où à ce jour aucun décès de la maladie n’a été enregistré. Les traitements sont coordonnés par le Pr Seydi qui valide ainsi la thèse de son homologue français Didier Raoult qui promet la guérison à tout patient, au bout de six jours, à condition qu’il suive son traitement à la Chloroquine.
Le Sénégal semble avoir une longueur d’avance sur beaucoup de pays du monde en proie à la maladie du Coronavirus. Plus de trois semaines après la détection du premier malade lié au virus, ce pays d’Afrique de l’Ouest n’a pas enregistré un seul décès. Alors que tous les esprits étaient tournés vers des traitements plus contraignants et plus coûteux, il se trouve que la Chloroquine est le remède miracle
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Gauches Actus du 27 mars au 2 avril, revue de presse spéciale COVID
L’usine de Saint-Genis-Laval est pour rappel placée en redressement judiciaire depuis juin dernier. Famar Lyon est également la seule à produire en France la Nivaquine à base de chloroquine qui fait actuellement l'objet de tests comme possible traitement contre le Covid-19.
Comment les députés vivent-ils cette période de confinement ? Comment continuent-ils à faire leur travail de parlementaires hors des murs de l’Assemblée nationale ? Quel regard portent-ils sur cette situation et sur l'action du gouvernement ? Entretien avec Valérie Rabault députée PS du Tarn-et-Garonne et présidente du groupe Socialistes et apparentés de l'Assemblée.L’épidémie de coronavirus va poser des questions politiques de fond sur l’après-crise. Ces questions se posent sur plusieurs plans.
Le premier est celui du jeu politique ordinaire, mais aussi celui de la philosophie politique de la Ve République : va-t-on poursuivre la lecture libérale et pro-européenne de son régime politique ou bien revenir à la centralité de l’État gaullien ?
Le second pousse à s’interroger sur les relations que les Français vont désormais entretenir avec l’autorité et le dilemme qui se pose déjà entre l’efficacité de l’action publique et la vie démocratique.
Pour éviter que cette crise sanitaire et économique ne se transforme en tragédie sociale et politique, nous devons faire preuve de pragmatisme. Il revient à la BCE d’intervenir directement pour aider les Etats, les ménages et les entreprises, estiment Aurore Lalucq, eurodéputée Place publique, et Jézabel Couppey-Soubeyran, économiste.Chaque crise ou événement majeur génère quasi instantanément ses propres interprétations ou grilles de lecture de nature conspirationniste. La crise que nous vivons actuellement n’échappe pas à cette règle. Afin de mesurer pour la première fois l’adhésion de la population française aux thèses complotistes autour du coronavirus, la Fondation Jean-Jaurès et Conspiracy Watch ont réalisé avec l’Ifop une grande enquête, pilotée par Rudy Reichstadt et Jérôme Fourquet.
Le 17 mars 2020, la France entrait officiellement en confinement. Le même jour, une enquête d’opinion du Pew Research Center[1] révélait que 29 % des adultes américains pensaient que le virus avait été fabriqué en laboratoire, soit intentionnellement (23 %), soit accidentellement (6 %).
La Tribune - Coronavirus : l'économiste Esther Duflo encourage la dépense publique
L'économiste Esther Duflo a appelé mardi à ouvrir grand les vannes de la dépense publique face à la crise sanitaire. L'économiste Esther Duflo, prix Nobel d'économie 2019, a appelé, ce mardi, à ouvrir grand les vannes de la dépense publique pour restreindre les ravages économiques de la pandémie de coronavirus. Elle a aussi plaidé pour un système d'imposition "extrêmement progressif" , c'est-à-dire devenant plus lourd au fur et à mesure que les revenus s'élèvent, afin de financer les systèmes de santé, et de soutenir les ménages modestes. "Quand on a une grosse crise de demande comme aujourd'hui, il faut injecter des ressources dans l'économie", ce qui suppose pour les gouvernements qui le peuvent "d'emprunter massivement et de stimuler l'économie autant que possible", a insisté sur la radio France Inter Mme Duflo.
Pour saisir les défis, tensions et opportunités portées par la présente crise du COVID-19, il importe de voir le devenir des sociétés humaines comme l’histoire complexe de la résolution progressive des contradictions que l’humanité porte en elle.
L’une des principales contradictions de notre civilisation est de nature écologico-économique : l’impératif d’accumulation du capital (croissance infinie) est incompatible avec l’impératif de reproduction des conditions matérielles de la vie humaine et non-humaine (viabilité écosystémique). Les sociétés contemporaines devraient rationnellement changer de trajectoire, mais elles en sont incapables à l’intérieur des paramètres du système existant. C’est la cage de fer de l’accélération sociale, de la modernité tardive et/ou du capitalisme avancé, différents synonymes de la société de croissance. La rationalité économique érigée en absolue se retourne en irrationalité qui menace ses propres conditions d’existence. -
HK La fin du Moi, le début du Nous version confinée
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Même l'industrie alimentaire n'échappera pas à la tourmente [Alexandre Mirlicourtois]
Désorganisation de l’offre, affaiblissement de la demande extérieure et bascule de la demande domestique de la restauration vers la consommation à domicile, le Covid-19 met la filière alimentaire (hors boisson j’entends) sous tensions. [...]
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L'Obs - L’Espagne veut instaurer un revenu universel permanent pour faire face à la crise
Depuis le 14 mars, l’économie espagnole est à l’arrêt. Le gouvernement réfléchit à l’instauration d’un revenu universel pour aider les familles, qui pourrait bien rester en vigueur après l’épidémie.
Pour limiter l’impact du coronavirus sur l’économie, le gouvernement espagnol travaille sur une série de mesures, dont la mise en place d’un revenu universel pour aider les familles, a fait savoir dimanche 5 avril Nadia Calvino, la ministre de l’Economie.
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COVID-19 | La pandémie à travers le monde | VIRAL #10 | ARTE
En Espagne, le coeur de l’épidémie frappe Madrid, la capitale. Des citoyens se mobilisent pour soutenir les soignants. Détours également par les Etats-Unis, la Malaise et le Maroc.
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Terra Nova - Faut-il recourir au numérique pour faciliter la sortie du confinement ?
Le 1er avril, le Premier ministre lors de son audition devant la mission d’information de l’Assemblée nationale a confirmé que le traçage des données numériques « pourrait peut-être » figurer comme une « question encore ouverte » à l’agenda stratégique du Gouvernement, avec des outils pour suivre le déplacement des malades du coronavirus. Les termes du débat qu’il a esquissé semblent tenir à une distinction sur le caractère obligatoire ou non de tels dispositifs ; il a laissé ouverte, quoiqu’avec une certaine réticence, la piste de dispositifs volontaires, et privilégié comme point d’entrée dans ce débat l’enjeu des dérives et atteintes pour les libertés. Si cette entrée paraît naturelle s’agissant d’un secteur où la conquête des droits est une ligne de force puissante, les termes de ce débat méritent d’être clarifiés et plusieurs critères de jugement peuvent nous y aider. Quels sont les enjeux majeurs à étudier pour qu'ils fonctionnent ? Comment l'adhésion volontaire des individus au "tracking" fera la différence, et quelles hypothèses retient-on pour qu'elle soit efficace ? Quelle réactivité peut-on attendre du système de traçage des contacts, selon qu’il est manuel ou bien adossé au traitement de données numériques ? Quel impact le traitement des données numériques est-il susceptible d’avoir sur la capacité des individus à adopter les comportements requis ? Et quels sont les enseignements que l'on peut attendre, en situation d'urgence sanitaire, d'une production d'informations en temps réel, pour les individus et pour les autorités ? Voici quelques-unes des pistes analysées par Mélanie Heard, co-coordinatrice du pôle Santé de Terra Nova, dans cette note.
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Concert Confiné #21 — Voyager léger