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Actualités socialistes - Page 532

  • Libé - Dans le Finistère, un projet d'extension de porcherie fait grouiner

    L'élevage porcin de Plougonvelin devrait agrandir ses capacités d'accueil, faisant craindre des conséquences néfastes sur l'environnement. Une concertation publique va s'ouvrir le 19 juillet.

    L’extension d’un élevage porcin à Plougonvelin, petite station balnéaire et agricole du Nord Finistère, aux côtes découpées et hérissées de pointes rocheuses, baignant dans les eaux claires de la mer d’Iroise, aura-t-elle un impact sur son environnement ? La question agite depuis quelques semaines la population locale. Une question récurrente en Bretagne, région particulièrement touchée par les effets néfastes des élevages intensifs sur la qualité des eaux – à l’origine, entre autres, du phénomène des algues vertes.

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  • Nos océans deviennent plus acides et c’est un danger #PlanB

    L’eau de mer est normalement une solution basique. Mais ça, c’est quand tout est normal. Sauf qu’avec l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère, les océans ont tendance à en absorber davantage. Et cette absorption diminue le pH de l’eau. Le problème, c’est que qui dit baisse du pH, dit augmentation de l’acidité de l’eau.

  • Un rebond ne fait pas une reprise : gare aux coups d'accordéons [Olivier Passet]

    Nul doute, le rebond de l’activité s’opère plus vite et plus fortement que ne l’avaient anticipé les entreprises. Deux mois après la sortie du confinement, le PIB a vraisemblablement récupéré à 90%. [...]

  • Café socialiste | Épisode 4 : La réforme de la Constitution

    Bienvenue au Café socialiste ! Retrouvez les étudiants de la section PS Sciences Po autour d'un café pour papoter sans prise de tête sur des sujets d'actualité

  • Faut-il travailler pour vivre ou vivre pour travailler ? | Streetphilosophy | ARTE

    Quelle place occupe le travail dans une société capitaliste où la mécanisation progresse ? Faut-il travailler pour vivre ou vivre pour travailler ? Les questions autour du travail se réinventent face aux enjeux du monde moderne.

    De l’usine jusqu’au canapé du salon, le travail prend aujourd'hui de multiples visages. Certains souhaitent un poste à l’emploi du temps bien réglé, d’scoiété capitaliste autres chérissent la flexibilité d’une profession libérale. Pour ceux qui ont fait de leur passion leur profession, il n’existe pas de coupure entre travail et temps libre. Mais pour la plupart d’entre nous, trouver un emploi qui nous ressemble reste une utopie. Quelle place occupe le travail dans une société capitaliste où la mécanisation progresse ? Comment le modèle soviétique peut-il nous faire réfléchir sur le fonctionnement de notre propre système ? Magazine (Allemagne, 2019, 27mn)

  • #MeToo La gauche contre les Lumières ? Fondation Jean Jaurès

    Depuis plusieurs années déjà s’élèvent des critiques d’une radicalité inouïe contre le cœur même de l’héritage des Lumières : le rationalisme, le progressisme, l’universalisme. Ces critiques se revendiquent de l’émancipation des dominés, marqueur traditionnel des différents courants de gauche. Mais s’inscrivent-elles dans le prolongement de celles qui, depuis l’émergence des mouvements socialiste, communiste ou anarchiste, avaient pour horizon un prolongement et un élargissement des combats des Lumières « bourgeoises » ? Il est malheureusement à craindre que non.

    Une partie de la gauche est-elle dès lors en train de se renier elle-même ? À l’occasion de la publication de son ouvrage "La gauche contre les Lumières ?" (coll. « raison de plus » dirigée par Najat Vallaud Belkacem, Éditions Fayard, 2020), Stéphanie Roza, chargée de recherches au CNRS et spécialiste des Lumières et de la Révolution française, en débat avec Frédéric Worms, professeur de philosophie à l’ENS. Des Lumières aux critiques radicales récentes, en évoquant le passé comme le présent avec les mouvements #MeToo et Black Lives Mater, ils nous livrent leur définition de la gauche émancipatrice pour les années à venir.

  • Le Parisien - Seine-Saint-Denis : après la mairie de Saint-Denis, le PS fait basculer Plaine Commune

    Le socialiste Mathieu Hanotin, tout juste élu maire de Saint-Denis, s’est imposé sans surprise à la tête d’une des plus vieilles intercommunalités de France, jusqu’alors dirigée par des présidents PCF.

    Un seul candidat, soutenu par une large majorité. L'issue ne faisait guère de doute ce jeudi en Seine-Saint-Denis. Le socialiste Mathieu Hanotin, tout juste installé dans le fauteuil de maire de Saint-Denis, a été élu par 66 voix sur 80 à la présidence du territoire de Plaine Commune – l'une des plus anciennes intercommunalités de France, avec 9 villes et 430 000 habitants*.

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  • Valérie Rabault ⎪Réponse au discours de Politique Générale de Jean Castex

    Ce 15 juillet 2020, le nouveau premier ministre Jean Castex exposait son discours de Politique Générale devant l'Assemblée nationale.
    Retrouvez en intégralité la réaction de la présidente Valérie Rabault au nom du groupe socialiste et apparentés.

  • Observatoire des inégalités - Faut-il des « statistiques ethniques » ?

    Faut-il ou non des statistiques dites « ethniques » ? Le débat entre les « pour » et les « contre » est souvent très virulent. Essayons de comprendre les arguments qui s’opposent.

    Mais au fait, de quoi s’agit-il ? Avant de se demander si on a besoin de ce type de statistiques, il faut bien comprendre de quoi on parle. En fait, ces statistiques n’ont rien de réellement « ethnique » ! Il ne s’agit pas de mesurer les populations selon leur « ethnie » d’appartenance, le concept d’ethnie renvoyant à des groupes de populations partageant une culture commune (notamment une même langue). Ces statistiques cherchent en fait à mesurer les populations en fonction de facteurs de discriminations, notamment la couleur de la peau.

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  • The Shift Project - Stratégie nationale bas carbone (SNBC) : vers un plan, un vrai ? La réponse du Shift à la consultation du gouvernement 'Mars 2020)

    The Shift Project partage avec vous son analyse du projet de décret relatif à la Stratégie nationale bas-carbone et aux budgets carbone (SNBC). Nous y mettons en évidence pour vous les grands défis et les points faibles de cette « SNBC », deuxième du nom. Nous avons principalement analysé sa cohérence interne. Par exemple : la SNBC est-elle résiliente à une absence de croissance économique, voire à une récession telle que celle qui semble se profiler en 2020 dans le contexte de l’épidémie de COVID-19 ?

    La Stratégie nationale bas carbone (SNBC), introduite par la loi en 2015, telle que décrite par le gouvernement français, est « la feuille de route de la France pour lutter contre le changement climatique. Elle donne des orientations pour mettre en œuvre, dans tous les secteurs d’activité, la transition vers une économie bas-carbone, circulaire et durable. Elle définit une trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre jusqu’à 2050 et fixe des objectifs à court-moyen termes : les budgets carbone. Elle a deux ambitions : atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050 et réduire l’empreinte carbone de la consommation des Français. Les décideurs publics, à l’échelle nationale comme territoriale, doivent la prendre en compte. Adoptée pour la première fois en 2015, la SNBC a été révisée en 2018-2019, en visant d’atteindre la neutralité carbone en 2050 (ambition rehaussée par rapport à la première SNBC qui visait le facteur 4, soit une réduction de 75 % de ses émissions GES à l’horizon 2050 par rapport à 1990). »

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