Après l’investiture d’Anne Hidalgo, Laurent Telo, l’un des journalistes du « Monde » chargés du suivi de la gauche, a répondu à vos questions.
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Après l’investiture d’Anne Hidalgo, Laurent Telo, l’un des journalistes du « Monde » chargés du suivi de la gauche, a répondu à vos questions.
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Depuis ce jeudi 14 octobre, Anne Hidalgo, la maire de Paris est la candidate officielle du Parti socialiste pour l'élection présidentielle 2022. Qui est elle ? Quel est son programme ? Quelles sont ses chances pour 2022 ?
Jeudi 14 octobre, Anne Hidalgo a été officiellement investie par le parti socialiste pour être sa candidate pour la présidentielle 2022. Elle a obtenu 74 % des voix face à son seul concurrent l'ancien ministre de l'agriculture, Stéphane Le Foll. Mais Anne Hidalgo n'avait pas attendu d'être la candidate pour se lancer dans la campagne. Le 12 septembre à Rouen, elle a annoncé qu'elle se présentait à l'élection. Un début de campagne que nombreux jugent discret pour cette ancienne inspectrice du travail à qui l'on reproche son parisianisme. Pour séduire hors de la capitale, Anne Hidalgo va devoir multiplier les déplacements en province. Elle fera son premier meeting le 23 octobre à Lille aux côtés de Martine Aubry.
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Attention, le débat au Sénat a lieu aujourd'hui (oui, je suis tellement à la bourre que ma vidéo tournée hier arrive sur youtube seulement maintenant). Donc quand hier je disais "demain", je parlais d'aujourd'hui...c'est clair non?
Résumé de l'épisode précédent : En juin dernier, les députés devaient se prononcer pour ou contre la déconjugalisation de l'AAH : mais ce vote n'aura jamais lieu...tatatiiin...
Donc plongez dans l'univers impitoyable des députés l'assemblée, et découvrez par quelles armes fatales, un/une ministre peut leur couper la parole (et les jambes pour tirer des buts) : réserve de vote, vote bloqué...tous les coups sont permis.
Pour être honnête, il m'a fallu beaucoup beaucoup de temps pour faire cette vidéo (regarder 4h30 de débats, poser des question, tourner et monter sans être Steven Spielberg) : puisse-t-elle vous être utile dans votre compréhension de notre fonctionnement démocratique.
Bises
Pendant des années, nous avons pu croire que la dématérialisation de la croissance était l’alliée de la transition écologique. Les économies développées, se rapprochant de la satiété au plan matériel, étaient vouées à développer la strate informationnelle de l’activité humaine, sortant d’une logique quantitative pour s’orienter vers le qualitatif. [...]
Malgré l’opportunité démographique actuelle qui permettrait de changer rapidement de modèle, le gouvernement laisse les intérêts privés définir le futur de l’agriculture. Les affairistes sont puissants et les citoyens s’accrochent.
La moitié des agriculteurs aujourd’hui en activité seront partis à la retraite dans dix ans. On sait qu’il nous faut prendre un virage agricole, en particulier à cause de l’urgence climatique. Le secteur est en effet responsable de 20 % des émissions de gaz à effet de serre, notamment à cause de sa dépendance aux engrais chimiques. Cultiver bio et paysan, sur des surfaces à taille plus humaine, et remplacer ainsi l’énergie fossile par la main d’œuvre, pour une production, qui plus est, orientée vers la qualité : c’est possible, surtout au moment des reprises d’exploitation.
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Alors que la proposition de loi socialiste sur l’obligation vaccinale est discutée ce mercredi au Sénat, son rapporteur, Bernard Jomier, était invité dans la matinale de Public Sénat. L’objectif de cette proposition de loi est de « tourner la page de la pandémie » en complétant la couverture vaccinale et de sortir progressivement du passe sanitaire. À droite, on doute de l’effectivité du dispositif.