Guillaume Meurice est retourné au SIMA (Salon international des solutions et technologies pour une agriculture performante et durable) pour parler agriculture intensive.
Actualités socialistes - Page 182
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Pesticides et agriculture raisonnée - Le Moment Meurice
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Coupe du monde de football 2022 : ce que cachent les promesses écolo du Qatar
Le Qatar promet une Coupe du monde de football 2022 « neutre en carbone ». Une promesse tenable ? Pas vraiment. Le Monde a épluché les documents officiels de la FIFA et rencontré plusieurs de ses anciens hauts dirigeants ainsi que des spécialistes des émissions de carbone. De la construction des stades aux déplacements des supporteurs, les solutions technologiques et les méthodes de calcul présentées par le Qatar interrogent. Des documents officiels montrent que le pays du Golfe projette, par exemple, de ne comptabiliser que 58 des 22 000 jours de la vie des stades qu’il construit, soit moins de 0,3 % du total.
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Zap'Parlementaire | Semaine du 14.11
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[REDIFFUSION] Ep.2 - François Ruffin : « Le Pen ajoute au mépris de classe le mépris de race »
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Le meilleur de la semaine : Mona Ozouf : "La devise républicaine est quelque chose de mystérieux"
Mona Ozouf, historienne et philosophe spécialiste de la Révolution Française, Michelle Perrot, historienne spécialiste de l’histoire des femmes et du monde ouvrier, et Cynthia Fleury, philosophe et psychanalyste sont les invitées du 8h20 pour leur livre "Liberté Egalité Fraternité" (L'Aube).
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Le meilleur de la semaine : La Dédiabolisation - Les Goguettes (en trio mais à quatre)
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Le meilleur de la semaine : Fondation Jean Jaurès - Au-delà de la réforme de l’assurance-chômage, l’aspiration à un travail choisi
Le choix du terme de « grande démission » pour caractériser une vague de démissions assez forte aux États-Unis a permis de mettre en évidence un nouveau phénomène : dans tous les pays où le chômage a reculé, les entreprises rencontrent des difficultés pour recruter, notamment lorsqu’il y a conjonction de bas salaires et de conditions de travail difficiles. En France, le patronat et le gouvernement Borne insistent sur une nécessaire réforme de l’assurance-chômage pour remédier à cette situation et pousser les individus à accepter les offres d’emploi disponibles. Or l’aspiration à un travail choisi reste malgré tout un horizon de progrès.
Le terme de « grande démission » est apparu aux États-Unis (Big Quit) pour caractériser une vague de démissions massives qui est apparue à partir de juillet 2020 à la suite de la pandémie de Covid. L’emploi du singulier pour caractériser ce phénomène laisse entendre que, du jour au lendemain, une majorité de salariés pourraient collectivement démissionner, ce qui questionnerait l’intégralité des fondements de nos économies.
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Le meilleur de la semaine : Télérama - Affaire Hanouna-Boyard : “On n’est pas loin d’une forme de totalitarisme populaire”
Après les insultes jeudi, dans “Touche pas à mon poste !”, de Cyril Hanouna contre le député Louis Boyard – qui a porté plainte ce lundi –, Stéphane Encel, auteur d’un ouvrage nourri sur ses émissions, décrypte la polémique et les effets délétères de sa politique-spectacle.
Enseignant et docteur en histoire des religions, Stéphane Encel a été un téléspectateur minutieux des émissions de Cyril Hanouna. Son ouvrage critique Ce n’est pas que d’la télé ! Ce que le système Hanouna dit de la France, paru il y a un an (éd. David Reinharc), va être réédité en version augmentée. Pour lui, l’animateur de C8 – sous le feu des critiques après avoir insulté jeudi soir le député Louis Boyard (LFI), qui venait de dénoncer l’action en Afrique du propriétaire de la chaîne, Vincent Bolloré – « s’est rendu incontournable parce qu’on l’a rendu incontournable ».
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La revue de presse du 11 novembre
Observatoire des inégalités - La pauvreté paradoxale
Analyse 2 novembre 2022
Une partie des pauvres ne sont pas ceux que l’on attend. Cette pauvreté paradoxale frappe des travailleurs, des retraités, des propriétaires et des cadres, autant de catégories a priori protégées. Reste que si tout le monde peut être concerné par la pauvreté, ce n’est pas avec la même probabilité. Une analyse de Louis Maurin, extraite de Constructif.
Le chef de file des députés socialistes estime que l'heure de faire chuter le gouvernement n'est pas venue, car il n'existe pas de majorité alternative.
Ce n'est pas simple d'être député socialiste en 2022. Il faut s'accorder avec de nouveaux alliés Insoumis qu'ils conspuaient hier, et avoir dans son dos les vieux et encombrants éléphants du parti, tout en espérant des jours meilleurs pour le PS. Et puis il y a ces 89 députés du Rassemblement national, une réalité que Boris Vallaud, patron du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, n'ignore pas mais qu'il refuse de "banaliser".
Charlie Hebdo - Dans le drôle de cabinet du ministre Béchu , Fabrice Nicolino ·
Privée de majorité à l'Assemblée nationale, le gouvernement a subi un nouveau revers lors de l'examen du projet de loi de budget, sur la rénovation thermique des logements.
Lundi 31 octobre au soir, l’Assemblée nationale a voté pour rajouter près de 12 milliards d’euros de crédits en faveur de la rénovation thermique des logements . Des amendements déposés par le Parti socialiste et les écologistes, que le Rassemblement national a votés notamment. Même si le gouvernement ne les retiendra probablement pas dans la version finale du budget, c’est un nouveau revers pour le camp présidentiel.
Fondation Jean Jaurès - Midterms 2022 : le point de vue d’un militant démocrate de Los Angeles
Le 8 novembre prochain, les Américains sont appelés aux urnes pour les élections de mi-mandat. Ce scrutin complexe se déroule en réalité sur plusieurs semaines, dans un contexte de vives tensions entre démocrates et républicains et alors que le système électoral américain est fondamentalement différent du système français. Steve Cron, président du club des démocrates de Pacific Palisades (Los Angeles), nous éclaire sur les activités du Parti démocrate au niveau local et sur le vote du 8 novembre qui regroupe des élections à de nombreuses fonctions municipales, nationales et un vote « référendaire » sur des sujets variés.
LVSL - Élections de mi-mandat : les démocrates pris à leur propre piège
Rattrapés par une situation économique préoccupante, les démocrates voient leurs espoirs électoraux s’évaporer à l’approche des élections de mi-mandat, pourtant déterminantes pour leur avenir. Depuis l’élection de Joe Biden, ils ont dépensé autant d’énergie à combattre la percée des « progressistes » liés à Bernie Sanders qu’à lutter pour des mesures ambitieuses en termes sociaux et environnementaux. Les électeurs, frappés de plein fouet par l’inflation et la récession économique, risquent de s’en détourner…
Les traditionnelles élections de mi-mandat se tiendront le 8 novembre prochain aux États-Unis. L’ensemble de la Chambre des représentants du Congrès ainsi qu’un tiers du Sénat seront renouvelés, de même que 36 gouverneurs et les élus locaux (procureur général, ministre de l’Intérieur, parlements) de la majorité des États.
LVSL - Grèce : la tragédie qui n’en finit pas
En 2009, la crise de la dette grecque débutait. Depuis, de nombreux plans de « sauvetage » comprenant des « réformes » sous la tutelle de la « Troïka » (FMI, BCE et Commission européenne) se sont succédés. Si les banques ont effectivement été sauvées, le bilan social d’un tel programme est catastrophique. Fortement appauvrie, la Grèce est devenue un Club Med géant où les infrastructures stratégiques ont été privatisées et où les services publics ont été bradés. La population, elle, se résigne ou quitte le pays.
Le 20 août dernier, la Grèce est sortie de la surveillance économique renforcée de la Commission européenne. Un jour qualifié d’« historique » par le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis, tandis que la Présidente de la Commission Européenne vantait la « résilience » de la Grèce et l’enjoignait à « envisager l’avenir avec confiance ». Le bilan des « réformes » et de ce programme d’« aides » est pourtant peu reluisant, pour ne pas dire catastrophique.
Pour « refonder, rassembler, gouverner », plus de 1 000 élus et militants socialistes appellent, autour d’Hélène Geoffroy, candidate au congrès du PS, à construire « une gauche des solutions, déterminée à gouverner aux antipodes de la gauche de l’incantation ». Parmi les signataires : Marie-Arlette Carlotti, Patrick Mennucci, François Kalfon ou encore Jean-Christophe Cambadélis.
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L'Obs - Boyard-Hanouna : derrière la polémique, le débat confisqué, Najat Vallaud-Belkacem, Directrice France de One
Il est temps « d’ouvrir le débat sur la réalité des pratiques économiques prédatrices de certaines entreprises peu scrupuleuses sur le continent africain », estime Najat Vallaud-Belkacem, directrice France de l’ONG One.
Cyril Hanouna a ainsi une nouvelle fois offert lors de son émission Touche pas à mon poste un spectacle affligeant de vulgarité en insultant violemment le député LFI Louis Boyard qui avait osé pointer la responsabilité des activités industrielles du groupe de Vincent Bolloré, propriétaire de la chaîne C8 hébergeant son émission, dans la déforestation et l’appauvrissement de certains pays d’Afrique. Derrière les indignations à peu de frais sur les réseaux sociaux, ce n’est pas seulement l’ARCOM que le député Boyard et son groupe devraient saisir, mais le procureur de la République, sauf à banaliser les injures et les outrages contre les élus, qui sont punis par des peines pouvant aller jusqu’à un an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende.
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Alternatives Economiques - Europe, Pacte de stabilité : pas de révolution en vue, Le 10 Novembre 2022
Le nouveau cadre budgétaire européen, présenté par la Commission le 9 novembre, se veut plus simple, plus souple, étendu et mieux respecté. Mais il ne marque pas de rupture avec l’esprit des anciennes règles. Les crises se suivent et ne se ressemblent pas : crise financière il y a quinze ans, crise sanitaire il y a trois ans, et crise protéiforme depuis l’année dernière, mêlant augmentation des prix (de l’énergie et des biens alimentaires) et fortes tensions géopolitiques.
En dépit de leurs différences, ces crises ont toutes produit des hausses des dépenses et des dettes publiques qui, chaque fois, ravivent les débats sur la solvabilité des Etats et sur leurs marges de manœuvre pour faire face à la prochaine crise.
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