Crise en Grèce : "Si c'est 'non', on sera dans... par rtl-fr
Actualités socialistes - Page 1357
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Crise en Grèce : "Si c'est 'non', on sera dans la totale inconnue", déclare Jean-Marie Le Guen
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Libé - Contre le totalitarisme financier, l’Europe doit changer ou mourir, Marco REVELLI sociologue et historien italien
On n’avait encore jamais vu un créancier, aussi stupide soit-il, tenter de tuer son propre débiteur, comme le FMI est en train de le faire avec les Grecs. Il doit y avoir quelque chose de plus : la construction scientifique de l’«ennemi». Et la volonté d’un sacrifice exemplaire.
«L’économie qui tue», celle dont parle le pape, nous la voyons à l’œuvre ces jours-ci, en direct, de Bruxelles. Et c’est un spectacle humiliant. Elle ne tranche pas de gorges, elle n’a pas l’odeur du sang, de la poudre et de la chair brûlée. Elle agit dans des salles climatisées, dans des couloirs feutrés, mais elle a la même férocité impudique que la guerre. La pire des guerres : celle déclarée par les riches de la globalisation aux pauvres des pays les plus fragiles.
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Libé - Trouble dans la démocratie Arnaud ESQUERRE sociologue et Luc BOLSTANSKI sociologue
L’annonce d’un référendum en Grèce a suscité une indignation quasi unanime des dirigeants européens. Est-il si choquant que des citoyens soient consultés sur une question éminemment politique qui les concerne directement?
L’annonce par le Premier ministre Tsípras de l’organisation d’un référendum a suscité, en France et en Europe, des réactions indignées de la part de dirigeants, qu’ils appartiennent au monde politique, économique ou médiatique. Cette annonce, intervenue après des mois de vaines négociations, a été la réponse du gouvernement grec à un rapport de force politique qui, au niveau des instances européennes, n’a cessé de pénaliser non seulement les Grecs, en tant que citoyens, mais aussi en tant que membres de l’Union européenne. Qu’est-ce qui semble motiver cette indignation presque unanime ?
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Les Guignols menacés : pour Guy Bedos "c'est clairement politique"
Les Guignols menacés : pour Guy Bedos "c'est... par FranceInfo -
Fiscalité des ménages et des entreprises : quels débats pour quels choix politiques ? par Henri Sterdyniak et Vincent Touzé
La forte augmentation de la fiscalité entre 2010 et 2013 (hausse de 3 points du taux de prélèvements obligatoires) a fait que la France occupe aujourd’hui le deuxième rang mondial en termes de taux de prélèvements obligatoires derrière le Danemark, après avoir occupé la quatrième place. Un tel niveau d’imposition doit être économiquement soutenable et socialement accepté : les dépenses publiques doivent être efficaces ; la fiscalité doit être juste et transparente. Reste que ce niveau de prélèvements est difficile à maintenir dans une économie ouverte où la tentation et les possibilités d’exil fiscal sont importantes pour les ménages les plus riches comme pour les grandes entreprises.
Cette hausse de la pression fiscale a rapproché la fiscalité des revenus du capital de celle des revenus du travail ; elle a permis la suppression de nombreuses niches fiscales ou sociales injustifiés. Elle n’en a pas moins provoqué de nombreux mouvements de protestation, tant pour réagir à la taxation des dirigeants d’entreprises (le mouvement « Les pigeons ») qu’à la mise en place d’une fiscalité plus verte (actions contre l’écotaxe).
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Claude Bartolone : "Il faut sauver" Les Guignols
Claude Bartolone : "Il faut sauver" Les Guignols par FranceInfo -
L'Obs : Doit-on encore sauver la Grèce ?
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Thomas Picketty fait son analyse chez Bourdin sur la crise grecque et le TAFTA 2015 06 30
Thomas Picketty fait son analyse chez Bourdin... par SCHOUM1 -
Jean-Marie Le Guen, invité politique (02.07.15)
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Espionnage de la NSA: "La France et l’Allemagne auraient dû accueillir Snowden", estime Piketty
Espionnage de la NSA: "La France et l’Allemagne... par BFMTV -
La Grèce, seule à gauche Bruno AMABLE Professeur à l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne et membre de l’Institut universitaire de France
La question n’est pas seulement de savoir si les Grecs vont céder à la troïka. C’est aussi celle de l’attitude des autres peuples vis-à-vis du modèle néolibéral unique européen.
Lorsqu’il se déclare «profondément affligé par le spectacle» donné par l’Europe depuis la semaine dernière, Jean-Claude Juncker oublie qu’il fait partie du show. Mais il a raison, c’est affligeant, et cela ne date pas du week-end dernier si on se remémore les effets désastreux de la politique que la troïka (on peut bien revenir à sa dénomination originelle maintenant) tente encore d’imposer à la Grèce.
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