Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualités socialistes - Page 1337

  • Face à la crise, les monnaies locales complémentaires se multiplient

    Issues des mouvements altermondialistes et écologiques, les monnaies locales complémentaires (MLC) séduisent de plus en plus les Français. A quoi servent-elles ? Pourquoi essaiment-elles aux quatre coins de la France ? Décryptage.

    On les dit parfois « sociales », « parallèles » ou « solidaires »… Mais qu’elles soient créées à l’échelle d’un quartier, d’une ville ou d’une communauté d’agglomérations, les monnaies locales reposent toutes sur le même principe. L’idée ? Proposer une monnaie complémentaire à l’euro, émise et gérée par les citoyens, qui n’a pas de cours légal et n’est pas soumise à la spéculation.

    Si elles connaissent un véritable boom dans l’Hexagone suite à la crise financière de 2007, les monnaies locales complémentaires ne sont pas un phénomène récent. Étroitement liées à l’histoire économique mondiale, elles fleurissent partout dans le monde depuis le début du XXème siècle, toujours en contexte de crise, et témoignent aujourd’hui d’un changement de paradigme qui prend de plus en plus d’ampleur : la perte de confiance dans les grandes institutions au profit d’une solidarité locale.

    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • Déchéance de nationalité : le PS se déchire

  • Des militants PS saisissent la haute autorité du parti sur la déchéance et des propos de Valls

  • Le Monde - Démilitarisons notre lecture des textes sacrés, Jean-Christophe Attias, historien

    Belles âmes laïques, pieux « a-théologiens », vous pouvez toujours ­rêver. Ce n’est pas demain que l’on expurgera la Bible ni qu’on la mettra au ­pilon. Il va falloir faire avec elle et avec ceux qui croient que Dieu y parle. Or la ­Bible, oui, est le grand livre des massacres. La ­Bible est violente. Ni plus ni moins que la vie. Bien sûr, décrire la violence est une chose. La prescrire et l’exalter en est une autre. C’est précisément là que le bât blesse. Le Dieu de la Bible est une brute. Il aime le sang des batailles. Il aime le sang des sacrifices  : celui des animaux, celui d’Isaac aussi (épargné quand même in ­extremis).

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Déchéance de nationalité et recomposition : Jean-Pierre Mignard répond aux questions de David Doukhan


    Déchéance de nationalité et recomposition... par Europe1fr

  • Laurent Baumel sur LCI ce mardi


    L'invité de Bruce Toussaint du 29/12/2015 par ITELE

  • The Dissident- Etat islamique : le choix politique du Djihad universel

    Pierre Piccinin da Prata, rédacteur en chef du Courrier du Maghreb et de l’Orient, reporter de guerre et ancien otage en Syrie, revient sur les attentats du 13 novembre 2015 et apporte son éclairage sur la nature de l’Etat islamique et sur les ambitions de ses combattants. Entretien.

    The Dissident : Quelle a été votre première réaction quand vous avez appris les attaques terroristes qui ont touché Paris le 13 novembre dernier ? Selon vous, étaient-elles prévisibles ?

    Pierre Piccinin da Prata : Bien évidemment, quand un de nos correspondants à Paris m’a téléphoné, dès après que les premiers coups de feu ont été tirés, et m’a dit que « quelque chose était en train d’arriver, et probablement en rapport avec la guerre en Irak et en Syrie », j’ai eu un instant froid dans le dos. On a beau s’y attendre, c’est toujours saisissant d’émotion…Mais, très vite, l’analyste reprend le dessus et, bien sûr, il n’y a pas eu de surprise.

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • Gilles Kepel: La France, «premier exportateur de jihadistes vers le Moyen-Orient»


    Gilles Kepel: La France, «premier exportateur... par rfi

  • Le Monde - Contre la constitutionnalisation de la frénésie sécuritaire Par un collectif de juristes universitaires

    Depuis les attaques meurtrières du 13 novembre, discours et politiques purement sécuritaires ne cessent de prospérer. Le 16 novembre, dans la foulée des premières interpellations et perquisitions, le Ministre de l’intérieur annonçait : « Que chacun l’entende distinctement : ce n’est qu’un début. La riposte de la République sera d’ampleur. Elle sera totale ». Depuis lors, la surenchère n’a pas cessé. Après la rhétorique guerrière brandie par le président François Hollande contre l’organisation Etat islamique, le « redoublement des frappes militaires » françaises en Syrie, plus de 2 500 perquisitions et 350 assignations à résidence, voilà maintenant l’annonce d’une réforme constitutionnelle. Il s’agirait de graver dans la Constitution le recours à l’état d’urgence mais aussi la déchéance de nationalité contre les Français possédant deux nationalités définitivement condamnés pour un délit ou crime constituant un acte de terrorisme ou une atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation. En quoi cette modification de la Constitution envisagée dans l’urgence, sans réflexion véritable, est-elle à même de dissoudre la « menace terroriste » ? N’est-elle pas plutôt un énième coup porté à l’état de droit et aux libertés fondamentales que la Constitution est précisément censée garantir ?

    Lire la suite
    _______________________
    _______________________

  • Pierre Rosanvallon: «Consternation et vive inquiétude»

    Professeur au Collège de France, mais aussi acteur et témoin de la gauche, l’historien Pierre Rosanvallon réagit au projet d’inscrire dans la Constitution la déchéance de nationalité qui, écrit-il, « me consterne et m’inquiète beaucoup pour l’avenir ».

    Le projet d’inscrire dans la Constitution, après moult atermoiements,  la déchéance de nationalité pour les bi-nationaux nés français et ayant grandi en France me consterne. Et m’inquiète beaucoup pour l’avenir. Pour plusieurs raisons.

    Une raison d’efficacité d’abord. Cela n’aura évidemment aucun effet dissuasif pour les terroristes (voire même le contraire). Ce serait d’ailleurs la même chose pour le rétablissement de la peine d’indignité nationale dont certains ont parlé. Celle-ci n’aurait en effet de sens que pour des personnes bien intégrées pour lesquelles la bonne réputation est un capital social. Elle serait par exemple adaptée pour un Jérôme Cahuzac qui a trahi la confiance publique et s’est déshonoré en commettant l’équivalent d’un crime de « lèse-démocratie », pas pour ceux qui s’enorgueillissent de leur position de rupture radicale.

    Lire la suite
    ___________________
    ___________________

  • Déchéance de nationalité : la gauche plus que jamais divisée


    Déchéance de nationalité : la gauche plus que jamais divisée