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Actualités socialistes - Page 1333

  • #COP21 Sommet des progressistes pour le climat du 21 octobre - Discours de Manuel Valls


    #COP21 Sommet des progressistes pour le climat... par PartiSocialiste

  • Laurent Bouvet : l'égalité selon le PS, faire de la banlieue une entité à part

    FIGAROVOX/ENTRETIEN - Après la visite de Manuel Valls aux Mureaux, Laurent Bouvet juge inefficace et «ghettoïsante» la politique que mènent les socialistes en direction des banlieues.

    Laurent Bouvet est directeur de l'Observatoire de la vie politique (Ovipol) à la Fondation Jean-Jaurès. Son dernier ouvrage, L'insécurité culturelle, est paru chez Fayard.

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  • #COP21 Sommet des progressistes pour le climat - Discours de Jean-Christophe Cambadélis


    #COP21 Sommet des progressistes pour le climat... par PartiSocialiste

  • Les Echos - Réchauffement climatique : taxer les gros pollueurs, Stephen Leonard / Président du Climate Justice Program en Australie

    Pluies torrentielles, marrées géantes, tempêtes : le changement climatique frappe de plein fouet les populations les plus vulnérables. C’est aux pollueurs d’en payer les conséquences.

    Cet été au Myanmar, des pluies torrentielle s ont provoqué des glissements de terrain qui ont détruit des centaines de maisons et causé une destruction des cultures à grande échelle. Plus de 1,3 millions de personnes ont été touchées, dont plus de 100 sont mortes. Au Vietnam, les mêmes déluges ont causé le débordement de fosses contenant des boues toxiques en provenance de mines de charbon qui se sont répandues à travers plusieurs villages ainsi que dans la baie d'Ha Long classée au patrimoine mondial ; le nombre de morts s’est élevé à 17. L’augmentation de la fréquence et de l’intensité de tels événements météorologiques rend la nécessité d'atténuer et de s’adapter au changement climatique plus urgente que jamais.

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  • Le Monde - COP21 : dompter la finance pour la mettre au service du climat

    Un moment de vérité pour le climat et le développement soutenable. » Tel est le titre d’une déclaration publiée lors de l’ouverture de la réunion de Bonn cette semaine, dernière rencontre préparatoire à la conférence mondiale sur le climat (COP21) qui se tiendra à Paris en décembre. Une de plus dira-t-on, qui ne concerne que ceux qui l’écrivent. Originellement fruit des travaux du réseau LCS-Rnet, plate-forme internationale de dialogue entre scientifiques et responsables politiques, cette déclaration est aujourd’hui portée par 212 experts dont 72 auteurs du groupe III du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), de grands noms de l’économie du développement et cinq anciens ministres.

    Cette mobilisation de scientifiques imprégnés de cultures diverses et venant de 48 pays de niveaux de développement très inégaux, mais tous ayant une longue expérience de l’affaire climatique et des enjeux de développement, témoigne de leur volonté de formuler une vision commune de la tâche qui incombe à la COP21. Cette conférence sur le climat se prépare dans un contexte économique défavorable où la tentation est grande de repousser encore l’enclenchement de politiques climatiques ambitieuses.

    Mais succomber c’est en même temps prendre le risque de dérèglements irréversibles du climat futur. C’est aussi se priver d’un levier important pour tirer l’économie mondiale hors des turbulences qu’elle vit depuis la crise financière de 2008 et l’orienter vers un développement solidaire et vers la réduction de la pauvreté.

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  • OFCE - L’économie française sur la voie de la reprise, par Hervé Péléraux

    La publication des enquêtes de conjoncture de l’INSEE le 22 octobre dernier confirme la bonne orientation de l’activité dans la seconde moitié de 2015, suggérant que la contre-performance française au deuxième trimestre 2015 (0 %) n’aura été qu’un « trou d’air » après la forte croissance du premier (+0,7 %). Le climat des affaires dans l’industrie a dépassé sa moyenne de longue période pour le septième mois consécutif ; celui des services se redresse rapidement depuis le mois de mai 2015 et rejoint à son tour sa moyenne, s’établissant désormais à son plus haut niveau depuis quatre ans (graphique 1). Le climat des affaires dans le bâtiment reste quant à lui plombé par la crise dans la construction, mais a interrompu son effondrement à la fin de l’année 2014 pour, au-delà de ses à-coups mensuels, engager une lente remontée qui pourrait signaler la fin des déboires du secteur dans les trimestres à venir.

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  • Traité transatlantique : un système d’arbitrage toujours aussi « anti-démocratique » Frédéric Viale (Économiste, membre du conseil d’administration d’Attac) et Marion Lagaillarde (Juge, secrétaire nationale du Syndicat de la magistrature)

    Un nouveau cycle de négociations des accords de libre-échange Europe-Etats-Unis a débuté le 19 octobre, toujours dans le secret. Le volet « arbitrage » pourrait être revu.

    Effet de la pétition contre le grand marché transatlantique récoltant 3 millions de signatures en un an ? De la multiplication des déclarations de collectivités territoriales contre les projets d’accords de libre-échange avec les Etats-Unis et le Canada - Transatlantic Free Trade Agreement/Tafta (appelé aussi Transatlantic Trade and Investment Partnership/TTIP) et Comprehensive Economic and Trade Agreement (CETA) ? Cecilia Malmström, commissaire européenne chargée du commerce international, tente de vendre une version édulcorée du mécanisme de règlement des différends investisseurs-Etats prévu dans le Tafta.

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  • Observatoire des inégalités - « Annoncer que la pauvreté baisse de quelques dixièmes de points une année ne signifie pas que le phénomène soit éradiqué ». Entretien avec Jérôme Accardo de l’Insee

    22 octobre 2015 - En pleine crise économique, la pauvreté a reculé en France en 2013 selon l’Insee. Les explications de Jérôme Accardo, chef du département ressources et conditions de vie des ménages à l’Institut.


    Le nombre de titulaires de minima sociaux augmente, le chômage progresse, et l’Insee nous dit que la pauvreté et les inégalités se réduisent. C’est assez surprenant non ?

    C’est pourtant bien ce que nous disent les données sur les revenus. Il faut garder en tête que l’on parle de l’année 2013, non de ce qui se passe le mois dernier. En 2013, on a d’abord une baisse des revenus du patrimoine qui touche surtout les plus aisés, liée à la diminution des taux d’intérêt et des dividendes versés. Ensuite, les impôts ont progressé pour ces catégories. D’ailleurs, la baisse des dividendes elle-même est peut être le résultat d’un effet de report lié à l’application pour la première fois pour ce type de revenus du barème de l’impôt sur le revenu à la place du prélèvement forfaitaire [1]. Dans le même temps, les bas revenus augmentent du fait d’une hausse des minima sociaux et surtout des heures travaillées pour les actifs, ce qui a augmenté leur revenu salarial. En partie, ce peut être lié à l’effet des emplois d’avenir.

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  • OFCE - Baisse de la fiscalité sur les entreprises mais hausse de celle sur les ménages, par Mathieu Plane et Raul Sampognaro

    A la suite de la remise du Rapport Gallois en novembre 2012, le gouvernement a fait le choix, au début du quinquennat de François Hollande, de donner la priorité à la réduction de la fiscalité sur les entreprises. Mais depuis 2015, le Président de la République semble avoir entamé une nouvelle phase de son quinquennat en poursuivant l’objectif d’alléger la pression fiscale sur les ménages, dont le marqueur a été la suppression de la première tranche de l’impôt sur le revenu (IR) et l’aménagement d’un nouveau mécanisme de décote qui atténue la progressivité du bas du barème  de l’IR. Mais plus globalement, que peut-on dire de l’évolution des prélèvements obligatoires (PO) sur les ménages et sur les entreprises en 2015 et 2016, mais aussi sur une période plus longue ?

    A partir des données fournies par l’Insee, nous avons recomposé les évolutions des PO depuis 2001 en distinguant les prélèvements supportés par les entreprises de ceux supportés par les ménages (graphique). Si cette analyse est purement comptable et ne repose pas sur l’incidence finale de l’impôt, elle permet néanmoins d’avoir une vision du découpage de la pression fiscale[1]. En particulier, cet exercice s’attache à identifier les PO par la nature du payeur direct en supposant les salaires et les prix hors taxes constants. Ce découpage comptable ne fait donc pas l’objet d’un bouclage macroéconomique et ne traite pas des effets redistributifs et intergénérationnels[2] de la fiscalité.

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  • OFCE - France : retour sur désinvestissement. Prévisions 2015-2017 pour l’économie française par Mathieu Plane, Bruno Ducoudré, Pierre Madec, Hervé Péléraux et Raul Sampognaro

    Ce texte résume les perspectives économiques 2015-2017 de l’OFCE pour l’économie française

    Après un mouvement de reprise hésitant au premier semestre 2015 (avec des taux de croissance respectivement de 0,7 % et 0 % au premier et au deuxième trimestre), l’économie française enregistrerait une faible croissance au second semestre, affichant au final une hausse du PIB de 1,1 % en moyenne sur l’ensemble de l’année. Avec un taux de croissance du PIB de +0,3 % au troisième trimestre et de +0,4 % au quatrième trimestre 2015, rythmes équivalents à ceux de la croissance potentielle, le taux de chômage se stabiliserait à 10 % jusqu’à la fin de l’année. La consommation des ménages (+1,7 % en 2015), favorisée par le redressement du pouvoir d’achat lié en particulier à la baisse du prix du pétrole, soutiendrait la croissance en 2015 mais l’investissement des ménages (-3,6 %) et celui des administrations publiques (-2,6 %) continueraient de freiner l’activité. Dans un contexte de croissance molle et de consolidation budgétaire modérée, le déficit public continuerait sa lente décrue, pour atteindre 3,7 % du PIB en 2015.

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