Les réductions annoncées de l'aide publique au développement (APD) par les États-Unis et d'autres grands donateurs européens (environ 20 % entre 2024 et 2026) devraient avoir de graves conséquences pour les pays les moins avancés (PMA), dont les trois quarts environ se trouvent en Afrique. Les services de base (santé et éducation notamment) et la construction des capacités institutionnelles seront en effet sévèrement affectés à court terme, mettant en péril le développement et l’autonomisation des pays à long terme. Quelles perspectives s’offrent aux PMA concernés par ces baisses brutales ?
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