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  • Gilles Kepel: "Il faut mobiliser la société toute entière pour gagner la guerre contre le terrorisme"


    Gilles Kepel: "Il faut mobiliser la société... par BFMTV

  • Gilles Kepel : Pourquoi Tariq Ramadan s'intéresse-t-il tant à la France ?

    Le Premier ministre a jugé, dimanche, que la demande de nationalité française de l'islamologue controversé Tariq Ramadan était "contradictoire" avec les valeurs de la République.

  • Libé - «Radicalisations» et «islamophobie» : le roi est nu

    Par Gilles Kepel, Professeur des universités, Sciences-Po - Ecole normale supérieure (dernier ouvrage paru : «Terreur dans l’Hexagone, genèse du djihad français», éd. Gallimard, 2015, 352 pp., 21 €) Bernard Rougier, Professeur des universités Sorbonne-Nouvelle

    L’une des premières victimes collatérales des attentats de 2015 est l’université française. Alors que les sciences humaines et sociales sont concernées au premier chef pour fournir les clés d’interprétation du phénomène terroriste d’une ampleur inouïe qui a frappé l’Hexagone, les institutions universitaires sont tétanisées par l’incapacité à penser le jihadisme dans notre pays. Cela provient pour une part d’une politique désinvolte de destruction des études sur le monde arabe et musulman - la fermeture, par Sciences-Po en décembre 2010, le mois où Mohamed Bouazizi s’immole par le feu à Sidi Bouzid, du programme spécialisé sur ces questions est l’exemple le plus consternant : ont été éradiqués des pans entiers de la connaissance et notamment la capacité des jeunes chercheurs à lire dans l’original arabe la littérature de propagande salafiste et jihadiste. Mais cela provient aussi d’un interdit idéologique : entre le marteau de la «radicalisation» et l’enclume de «l’islamophobie», il est devenu très difficile de penser le défi culturel que représente le terrorisme jihadiste, comme une bataille à l’intérieur même de l’islam au moment où celui-ci est confronté à son intégration dans la société française.

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  • Gilles Kepel: La France, «premier exportateur de jihadistes vers le Moyen-Orient»


    Gilles Kepel: La France, «premier exportateur... par rfi