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Actualités socialistes - Page 1323

  • RFI - Les primaires sont-elles bonnes pour la démocratie?

    A quelques heures du vote dans le New Hampshire, à quelques mois d’une primaire de la droite et du centre en France, et alors que la gauche se déchire sur l’opportunité d’une primaire dans son camp pour désigner le candidat de 2017, une question shakespearienne dans le débat de ce soir : Primaire or not primaire ? Ce mode de désignation a déjà une longue histoire aux Etats-Unis, il existe depuis soixante-cinq ans. En France, c’est en 2011 que le Parti socialiste décide d’organiser une primaire ouverte pour désigner le bon candidat face à Nicolas Sarkozy. L’évènement est alors un succès populaire, médiatique, démocratique. Quatre ans plus tard, la notion de primaire ne fait plus l’unanimité. On lui reproche, entre autres, de personnaliser la vie politique, d’allonger les temps de campagne, de changer la nature des partis.

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  • Comment les Français perçoivent-ils l’égalité des chances ?

    27 janvier 2016

    par Michel Forsé (CNRS) et Maxime Parodi

    Les Français croient-ils à l’égalité des chances ? L’enquête Dynegal a posé la question en 2013 à un échantillon représentatif de 4 000 individus et leurs réponses sont très partagées. Dans un article récent de la Revue de l’OFCE (n° 146, 2016) nous montrons que ce sont les classes moyennes qui se montrent un peu plus convaincues que les autres par l’idée que l’école donne à chacun sa chance et que la réussite dans la vie ne dépend pas de l’origine sociale. Ce résultat va dans le sens d’une thèse de Simmel faisant de la classe moyenne le lieu de la mobilité sociale.

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  • Télérama - Les femmes en première ligne Après Cologne : "Nous voyons en Europe les signes précurseurs de la montée de l'extrême droite intégriste"

    Après Cologne, la sociologue algérienne Marieme Helie Lucas prévient : les agressions contre les femmes traduisent la montée d'un intégrisme musulman, qui n'est rien d'autre qu'une nouvelle forme d'extrême droite.

    Cologne, 31 décembre : des centaines de femmes encerclées, agressées, violées parfois, par des hommes en bandes, immigrés pour la plupart. Des scènes semblables ont eu lieu en Suède, en Autriche, ailleurs en Allemagne. Chaque fois, police et médias ont commencé par étouffer l'information. Cacher l'offense pour ne pas être taxés de racisme ? Dénoncer un « choc des cultures » et un islam forcément sexiste, dans le climat explosif des vagues de migrants et de poussées des communautarismes ? Le malaise est palpable, les amalgames, nombreux. Et le silence, impardonnable. Il faut reconnaître dans ces attaques ciblant les femmes « un signe avant-coureur de la montée intégriste », affirme la sociologue algérienne Marieme Helie Lucas, fondatrice en 2005 du réseau international Secularism is a women's issue (« La laïcité, ça concerne les femmes », SIAWI). Avant de dénoncer la « lâcheté politique de ceux qui regardent cette ascension » sans réagir.

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  • Luc Cavournas sur Public Sénat


    Invité : Luc Carvounas - Territoires d'infos... par publicsenat

  • "Les outils majeurs pour parvenir à l'union de la gauche" - Point presse de Corinne Narassiguin du 8 février 2016


    "Les outils majeurs pour parvenir à l'union de... par PartiSocialiste

  • Slate, Laurent Bouvet - Il faut sauver la laïcité de son Observatoire

    L’affaire de l’Observatoire de la laïcité, déclenchée par les déclarations du Premier ministre, sert de révélateur public à un débat, notamment au sein de la gauche, sur la définition de la laïcité et, plus largement, sur l’idée que l’on se fait de la République. Si l’affaire est picrocholine, le débat qui la sous-tend lui est d’importance, structurant même.

    Ce débat oppose deux camps, si l’on s’en tient aux positions exprimées publiquement ces derniers jours, après la sortie du premier ministre; deux camps qui revendiquent chacun une certaine idée de la laïcité. Dans le premier, celui des soutiens de l’Observatoire de la laïcité dirigé par Jean-Louis Bianco, on trouve les partisans d’une laïcité purement juridique, a priori réduite à la seule loi de 1905, défenseurs de facto d’une présence visible et assumée des religions dans l’espace public qui serait le lieu de leur coexistence la plus harmonieuse possible. On y trouve aussi nombre d’associations confessionnelles (comme le CCIF) ou prônant le dialogue interreligieux (comme Coexister)

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  • L'Observatoire des inégalités - L’égalité n’a pas à être « performante »

    29 janvier 2016 - Plus de femmes ou d’immigrés, c’est « bon pour la croissance » ? Défendre l’égalité au nom de la « performance » est une démission politique. L’égalité doit rester un principe sans conditions, non soumis à la loi du marché. Une analyse de Réjane Sénac, chargée de recherche CNRS au Centre de recherches politiques de Sciences Po - Cevipof.


    « Plus de femmes dans les instances dirigeantes des entreprises, c’est une valeur ajoutée. », « La diversité, c’est bon pour le business. », « Plus d’immigrés, ça améliore la croissance. ». Ces arguments sont de plus en plus fréquents, à gauche comme à droite. Peut-on encore, en France, défendre l’égalité sans conditions, comme un principe fondamental, sans avoir besoin de prouver son « utilité » ? Que se passera-t-il si le coût de l’égalité est prouvé ? Cela justifierait-il les discriminations sexistes, racistes et/ou la fermeture des frontières ?

    La survie de l’Etat-providence [1] et des politiques d’égalité semble reposer sur la démonstration que l’égalité est « meilleure pour tous » pour reprendre le titre de l’ouvrage des britanniques Kate Pickett et Richard Wilkinson [2], qui a connu un franc succès dans notre pays. Dans un récent rapport [3], l’OCDE montre par exemple que les politiques de redistribution et d’égalité femmes-hommes sont nécessaires pour augmenter la croissance économique, en particulier parce qu’elles permettent que l’éducation soit un investissement rentable pour tou.te.s et pas seulement pour les plus aisés. De nombreux rapports [4] légitiment ainsi les politiques d’égalité comme un investissement coûtant moins qu’il ne rapporte si l’on tient compte de leur « performance » économique et sociale sur le moyen - long terme.

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  • Conférence de presse de Jean-Christophe Cambadélis, suite au Conseil national du 6 février 2016


    Conférence de presse de Jean-Christophe... par PartiSocialiste

  • PS : Cambadélis milite pour un candidat unique à gauche pour 2017

  • OFCE - Faut-il aider les PME à embaucher ? par Sarah Guillou

    Dans un regain de mobilisation pour lutter contre le chômage, le gouvernement a annoncé, lundi 18 janvier 2016, de nouvelles mesures qui concernent l’apprentissage, la formation et les PME au sein d’un nouveau « plan emploi ». Concernant les PME –  les entreprises de moins de 250 salariés –, il est prévu le versement de 2 000 euros pour l’embauche d’un salarié payé entre 1 et 1,3 SMIC recruté en CDI ou en CDD de plus de 6 mois. Cette aide sera accordée pour 2 ans et sera relayée en 2018 par la transformation du Crédit Impôt compétitivité emploi (CICE) – pour le moment un crédit d’impôt de 6% de la masse salariale inférieure à 2,5 SMIC – en baisse de charges. Il s’agit ainsi de réduire à zéro les cotisations restant à la charge de l’employeur à proximité du salaire minimum. Bien que réduites à la fois par l’allègement général dit « Fillon » et par les dispositions du Pacte de responsabilité, les charges sociales patronales au niveau du SMIC s’élèvent à un peu moins de 200 euros mensuel (charges dues notamment au titre de l’assurance chômage, de la formation professionnelle, …). Cette disposition devrait donc assurer l’application du « zéro charge » pour les PME

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  • 7 février : un « doigt d’honneur » de l’UOIF à la République ? Par Mohamed LOUIZI

    Le 7 février 2016, l’UOIF invite des personnalités sulfureuses, issues de la frérosphère internationale pour parler du thème des : "Jeunes Musulmans". Des personnalités invitées se distinguent par des propos et fatwas sectaires, takfiristes, jihadistes, homophobes et antisémites. Certains invités, en tête d’affiche, avaient appelé au jihad armé en Syrie. Décryptage et alerte citoyenne ...
     
    Alors que «Le Président de la République a annoncé que, face à la menace terroriste, le gouvernement présenterait au Conseil des ministres du3 février 2016 un projet de loi prolongeant l'état d'urgence pour une durée de trois mois »[1], les Frères Musulmans en France, fédérés au sein de l’UOIF[2], ont décidé d’organiser le neuvième RAMN (Rassemblement annuel des musulmans du Nord) à Lille Grand Palais, le dimanche 7 févier 2016, moins de trois mois seulement après les attentats du 13 novembre à Paris. L’UOIF invite des personnalités sulfureuses, issues de la frérosphère internationale pour parler autour du thème des : Jeunes Musulmans !
     
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