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Actualités socialistes - Page 1293

  • OFCE - Très cher Pinel … par Pierre Madec

    15 avril 2016

    Le vendredi 8 avril dernier, le Président de la République a annoncé la prolongation du dispositif d’incitation à l’investissement locatif dit « Pinel ». « Puisque ça marche, il n’y a pas de raison de changer » a ainsi déclaré François Hollande. Accueillie très favorablement par les professionnels du secteur, en particulier les promoteurs immobiliers qui réalisent une grande part de leur activité sur l’investissement locatif privé (près de la moitié en 2015), cette annonce a le mérite d’apporter une certaine continuité à un secteur en proie à une grande instabilité. Du dispositif Méhaignerie instauré au milieu des années 1980 au dispositif Pinel mis en place à l’été 2014, plus d’une dizaine d’instruments différents ont été utilisés au cours des 30 dernières années pour doper le secteur de l’investissement locatif[1]. Il est clair que cette forte volatilité des dispositifs ne permet pas de les évaluer correctement dans un temps long. Malgré tout, certaines critiques semblent se dégager ces dernières années concernant l’utilité même de ce type de dispositifs de défiscalisation dont l’objectif initial était de développer, dans les zones les plus tendues, une offre de logement « intermédiaire » en direction des classes moyennes. Qu’en est-il ? Le Pinel est-il, comme l’a indiqué le Président de la république, un dispositif « qui marche » ? A-t-il permis, en remplaçant le décrié dispositif « Duflot », d’enclencher le redémarrage du marché de la construction en France ? Permet-il de remplir l’objectif affecté de développement d’un parc locatif intermédiaire ? Si oui à quel coût ?

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  • Jean-Christophe Cambadélis invité de Roland Sicard sur le plateau des 4 Vérités de France 2 ce mardi 19 avril


    Cambadélis

  • Projet de loi "égalité et citoyenneté", le Parti socialiste mobilisé - Point presse Razzy Hammadi lundi 18 avril


    Projet de loi "égalité et citoyenneté", le... par PartiSocialiste

  • Stéphane Le Foll : « L'idée de Hé oh la Gauche ! est de rappeler à la gauche ce qu’on a fait et d’en être fière »


    Stéphane Le Foll : « L'idée de Hé oh la Gauche... par publicsenat

  • Daniel Cohn-Bendit : « Il faut arrêter de rêver »

    Daniel Cohn-Bendit ne croit pas vraiment à Nuit debout. Mais il en ressent l’envie de positif. Reconnait que le système politique est bloqué. Et pense que le scrutin à la proportionnelle est la clé du déblocage. Entretien.

    Reporterre – Que pensez-vous du mouvement Nuit debout ?

    Daniel Cohn-Bendit – C’est intéressant. Je n’y vois pas l’avant-garde d’une révolution, ça fait partie de ces espaces où des gens expriment une envie de sortir du cycle traditionnel de la politique ou de la réflexion. Ce n’est pas simplement l’expression habituelle de la gauche de la gauche, où tout le monde dit ce qu’il dit toujours, sans rien de nouveau.

    Je crois que pour comprendre Nuit Debout, l’envie qu’il y a derrière, il faut voir le film Demain. Près d’1 million de spectateurs, c’est beaucoup, une sacrée résonance de cette envie d’un autre monde : oui, on peut faire les choses autrement ! Je crois que c’est ce sentiment d’envie d’autre chose qu’on retrouve dans Nuit debout.

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  • Fin de parti(e) pour la «gauche de gouvernement» Par Bruno Amable, professeur à l’université Paris-I Panthéon- Sorbonne

    Si la transformation néolibérale du modèle économique et social français a débuté fin des années 70, le projet El Khomri la renforce et représente une rupture du PS de sa base sociale.

    Le mouvement Nuit debout marque une nouvelle étape dans la contestation de la transformation néolibérale du modèle économique et social français. Cette transformation s’est faite à des rythmes différents depuis la fin des années 70, précisément selon l’intensité de la contestation et ses conséquences politiques, avec des accélérations lors de périodes de privatisations ou de libéralisation financière des années 80 et 90, mais aussi de ralentissement ou de pause dans les «réformes», et même des contre-tendances, qui sont toutefois demeurées trop faibles pour infléchir le mouvement général.

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  • Benjamin Lucas, président du MJS : "Il y a un risque clair que François Hollande ne soit pas au second tour"


    Benjamin Lucas : "Il y a un risque clair que... par lesechos

  • Jean-Marie Harribey - L’hélicoptère pour un capitalisme hors-sol

    Il fut un temps où la recette keynésienne d’une politique budgétaire couplée avec une politique monétaire en cohérence donnait des résultats dont profitait le capitalisme en lui évitant des soubresauts trop violents. C’était l’époque où les gains de productivité du travail étaient élevés et où les mouvements des capitaux étaient assez strictement encadrés. Le néolibéralisme a fait éclater ce mode de fonctionnement.

    La politique économique d’Ubu

    L’économiste monétariste Milton Friedman, tout en menant son travail de sape contre l’action de l’État, avait cependant compris qu’il fallait éviter la déflation. D’où sa métaphore de la monnaie lâchée par hélicoptère sur les individus qui bénéficieraient ainsi d’une sorte d’impôt négatif, variante de l’allocation universelle. L’idée fut reprise en 2002 par le président de la Réserve fédérale (FED), Ben Bernanke. Puisqu’elle consiste à injecter de la monnaie nouvelle  dans l’économie, l’idée a quelque parenté avec le quantitative easing (assouplissement monétaire) pratiqué depuis la crise de 2007-2008 par la FED, puis par les autres banques centrales, dont la Banque centrale européenne (BCE). Sauf que l’hélicoptère actuel des banques centrales est dirigé vers les banques ordinaires et non vers les individus ou les budgets publics. Plutôt que de permettre une impulsion budgétaire honnie, les libéraux, tout en affichant une orthodoxie en matière de politique monétaire, envoient dans les airs l’hélicoptère monétaire.

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  • François Hollande face à plusieurs obstacles pour sa réélection, l'édito d'Arlette Chabot

  • Macron : "Je pense que François Hollande pourrait être en position de gagner" la présidentielle