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Actualités socialistes - Page 1291

  • L'Observatoire des inégalités - Les oubliés du numérique

    30 novembre 2015 - Les inégalités d’accès aux nouvelles technologies diminuent très nettement, notamment entre catégories sociales. Reste que 20 % de la population n’utilise pas Internet et que la moitié ne fréquente pas les réseaux sociaux.


    Entre 1991 et 2015, en France métropolitaine, le taux d’équipement en ordinateur à domicile (un au minimum) est passé de 12 à 80 %, selon le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc) [1]. Le téléphone mobile s’est fortement démocratisé ces dix-huit dernières années avec un taux d’équipement de 92 % en 2015 contre 4 % en 1997. Entre 2011 et 2015, le taux de propriétaires de smartphones a été multiplié par trois (de 17 à 58 %). Enfin, en 2015, vingt fois plus de personnes (83 %) se connectent à Internet à domicile qu’en 1998 (4 %).

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  • Libé - Le vote FN, ou l’élaboration d’une contre-société Par François Miquet-Marty, Président de Viavoice et auteur des «Nouvelles Passions françaises», éditions Michalon, 2013

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    La conjoncture, aussi puissante soit-elle, ne saurait masquer les structures silencieuses du vote FN : une société à part entière, faisant sécession au sein même du pays, avec ses propres valeurs, son économie et sa vision du monde.

    Entre ces deux tours des régionales, une forme d’évidence semble s’imposer. Le FN serait le fruit de la crise économique, de la présence des migrants et de l’actualité des attentats. Son score singulièrement élevé serait nourri par l’inefficacité perçue des dirigeants, et par leur manque de vision pour l’avenir de la France. Géographiquement, il serait favorisé au nord par la désindustrialisation, au sud, par l’immigration.

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  • Manuel Valls: "Le danger de l'extrême droite n'est pas écarté"


    Manuel Valls: "Le danger de l'extrême droite n... par BFMTV

  • Bartolone remet en jeu son mandat de président de l'Assemblée


    Bartolone remet en jeu son mandat de président... par BFMTV

  • L'invité du 13h : Dominique Bourg vice-président de la Fondation Nicolas Hulot


    L'invité du 13h : Dominique Bourg vice... par franceinter

  • Jean-Christophe Cambadélis rencontre Jeremy Corbyn au siège du PS ! 7 décembre 2015


    Jean-Christophe Cambadélis rencontre Jeremy... par PartiSocialiste

  • OFCE - Notre maison brûle, et nous ne regardons que Paris par Paul Malliet

    11 décembre 2015

    Alors que la 21e Conférence des Parties, la COP 21, a débuté la semaine dernière, tous les regards sont braqués sur Paris dans l’attente d’un accord  global ambitieux qui permettrait de limiter la hausse de la température moyenne mondiale à 2°C et de mener les Etats  à s’orienter très rapidement sur le chemin d’une décarbonisation rapide de leurs économies. Toutefois il est une autre bataille qui se mène actuellement et qui est passée sous silence alors que ses conséquences sont d’une ampleur catastrophique.

    Les forêts primaires et les tourbières d’Indonésie, principalement localisées sur les îles de Sumatra et de Kalimantan (et considérées comme l’un des trois poumons verts de la planète) ont été ravagées par le feu pendant plusieurs mois, conséquence d’une saison sèche plus longue que prévue, elle-même alimentée par le phénomène El Niño d’une ampleur rarement observée[1], mais également et surtout par la poursuite des pratiques de culture sur brûlis, pourtant illégales, afin de déboiser des terres nécessaires à l’extension de la culture de l’huile de palme.

    Ce sont ainsi 1,62 Gigatonnes de CO2 qui ont été relâchées dans l’atmosphère en l’espace de quelques semaines, triplant les émissions annuelles de l’Indonésie et faisant passer ce pays du 6e au 4e plus gros émetteur mondial derrière la Chine, les Etats-Unis, l’Inde et devant la Russie[2]. A titre de comparaison, cela représente près de 5 % des émissions mondiales pour l’année 2015.

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  • OFCE : PLF 2016 : la longue route vers les 3 % par Raul Sampognaro

    11 décembre 2015

    Le Projet de loi de Finances 2016 (PLF 2016) poursuit l’ajustement budgétaire entamé en 2010. Cet ajustement a permis notamment de réduire le déficit public de 3,3 points de PIB en l’espace de cinq ans, passant de 7,2 points de PIB en 2009 à 3,9 points en 2014, alors même que les conditions conjoncturelles ont pesé sur les finances publiques[1]. La baisse du déficit devrait se poursuivre au cours de la période 2015-2017. Notre dernière prévision table sur un déficit à 3,7 % en 2015 puis à 3,2 % en 2016 et 2,7 % en 2017, année où le déficit passerait en-dessous de la « barre des 3 % ». Cette trajectoire est légèrement plus favorable à celle retenue par le gouvernement[2] dans le PLF 2016 en raison d’une reprise de l’activité que nous attendons un peu plus dynamique. Au final, il se sera écoulé dix ans entre le moment où la France a franchi le seuil des 3 % et le moment où elle serait revenue en-dessous.

    Ce nouveau PLF 2016 s’inscrit dans la continuité de la stratégie budgétaire mise en œuvre depuis 2014 : l’effort structurel est réalisé essentiellement sur la dépense publique et cet effort permet la réduction des déficits et de la fiscalité des entreprises.

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  • Non Fiction - Extrêmes droites de France et d’ailleurs

    Les faux semblants du Front National et Les droites extrêmes en Europe analysent l’extrême droite à l’échelle nationale et internationale. Au niveau local comme à l’échelle européenne ou nationale pour la France, l’extrême droite dont le Front National (FN) est la vitrine s’est institutionnalisée au point d’être considérée comme un objet universitaire à part entière.

    Si le FN a toujours retenu l’attention des politistes, il est aujourd’hui l’objet deux colloques dont les actes sont publiés aujourd’hui en un volume. Ainsi le parti d’extrême droite est presque devenu un objet d’étude normal, d’autant plus qu’il ne tient plus aujourd’hui à contredire ses scrutateurs, ni à imposer une doxa historique cherchant à légitimer son histoire. En effet, contrairement à l’autre grand parti qui s’est érigé sur les votes populaires – le PCF –, il ne cherche pas à s’imposer comme le représentant unique d’une classe : au contraire, il réclame le statut de représentant de la nation, en revendiquant les éléments les plus hétéroclites du récit national, de Charles Martel à Valmy, de Jeanne D’Arc à la Fête de la Fédération.

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