4 Vérités : Le Foll : "Sarkozy, c'est du Juppé... par francetvinfo
Actualités socialistes - Page 1186
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4 Vérités : Le Foll : "Sarkozy, c'est du Juppé avec du Zemmour, du Buisson et du Maurras"
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Telos - Mort du PSOE? Benoît Pellistrandi 3 octobre 2016
Dimanche 25 septembre, Basques et Galiciens étaient appelés à renouveler leur parlement régional. Au Pays basque, 1,7 million d’électeurs étaient convoqués, 2,2 en Galice, soit presque 4 millions (11% du corps électoral national). La participation a été de 60% au Pays basque et de 63,7% en Galice.
Depuis 1980, la participation moyenne aux onze élections régionales basques est de 65,8% avec un record de 79% en 2001 et un plus bas de 59,7% en 1994. On était donc dans une fourchette basse. Le Parti Nationaliste Basque (PNV) qui a gouverné de 1980 à 2009 et depuis 2012 a gagné avec 37,7% des voix, suivi de EH-Bildu – des indépendantistes proches de l’ETA – (21,2%), de Podemos (14,8%), des socialistes (11,9%) et du Parti Populaire (10,1%).
En Galice, la participation moyenne est de 59,7% depuis 1981 (dix scrutins régionaux). Avec un taux de 63,7% on est cette fois-ci dans une fourchette haute qui dit la capacité de mobilisation du Parti Populaire dans ce fief électoral tenu par Manuel Fraga de 1989 à 2005 et depuis 2009 par Alberto Núñez Feijoo. Le PP a obtenu 47,5% des voix, Podemos (sous l’étiquette En Marea) 19%, le Parti Socialiste de Galice 17,9% et les nationalistes galiciens (de gauche) 8,3%.
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L'actualité des socialistes du 30 septembre au 6 octobre
A LA UNE : PAUL ALLIES
Paul Alliès - Et si les «Primaires citoyennes» étaient le début d’autre chose
Le Conseil national du PS a adopté ce dimanche 2 octobre une résolution (accompagnée d’un vade-mecum détaillé) pour l’organisation de « Primaires citoyennes ». Les conditions pourraient être réunies pour qu’elles ne restent pas au stade de l’opération pro-Hollande telle qu’imaginée par la direction du parti.Les péripéties de l’idée même de Primaire chez les socialistes mériteraient un récit spécifique : entre le 7 juin 2015, quand la majorité du congrès de Poitiers l’enterre, en passant par le 10 janvier 2016, date de l’appel à « Notre Primaire » lancé par un collectif pluraliste, jusqu’à une résolution du Conseil national du PS le 18 juin dernier, le cheminement de la direction Cambadélis aura été contradictoire et erratique. Disons qu’elle est passée de l’hypothèse même d’effacer les Primaires des nouveaux statuts du Parti dans un congrès extraordinaire, à la défense d’une Primaire a minima, réduite au périmètre improbable et restreint de la Belle Alliance Populaire. Le vote de ce dimanche ouvre une nouvelle séquence : les doutes sérieux qui pesaient sur l’organisation du scrutin ont été levés ; celui-ci est ouvert à toute la gauche tant pour ses éventuels candidats (jusqu’au 15 décembre) que pour ses électeurs (les 22 et 29 janvier 2017). La bataille opiniâtre menée par Christian Paul et la gauche du parti (essentiellement le courant « A gauche pour Gagner ») a donc fini par l’emporter. Les résistances de l’appareil, tout entier tourné vers la satisfaction des besoins changeants de François Hollande, ont bel et bien été vaincues.MELANCOLIECHRISTIAN PAUL
LCI - Frondeur du PS : avec Valls, "le verbe a remplacé l'action"
TIEDE BILAN - Invité de "24 Heures en questions" sur LCI mardi soir, le député PS Christian Paul a éreinté le bilan de Manuel Valls. Ce "frondeur" socialiste fustige le bilan "tiède" du gouvernement et juge que la primaire devra trancher les désaccords de la gauche.
PRIMAIRE DE LA GAUCHE
Le Lab - Pour Cambadélis, si Hollande ne va pas à la primaire, "le PS explose"
Jean-Christophe Cambadélis souhaite que François Hollande soit candidat à la primaire de la BAP. Le soutien du Premier secrétaire du PS au président de la République est connu. Mais ce dimanche 2 octobre, le député de Paris va plus loin et conditionne la survie de son parti à la candidature du chef de l’État.
Public Sénat - Primaire de la gauche : un front anti-Hollande peut-il l’emporter ?
Un sondage donne Arnaud Montebourg vainqueur face à François Hollande à la primaire de la gauche. Le rassemblement des frondeurs, autour notamment de Montebourg-Hamon-Lienemann, se prépare.
« Le scenario n’est pas écrit. A la présidentielle, ce n’est jamais le scénario prévu 6 mois avant qui se réalise ». Marie-Noëlle Lienemann est remontée comme une pendule. La candidate à la primaire de la gauche, dont les modalités viennent d’être arrêtées, y croit. La gauche du PS pourraient réussir à « battre la ligne Hollande-Valls pour redonner une chance à la gauche d’être au second tour de la présidentielle » espère la sénatrice de Paris.
Libé - Montebourg (bien) candidat à la primaire
L'ancien ministre a confirmé dimanche sa candidature à la primaire de la Belle Alliance Populaire, dont les modalités d'organisation ont été précisées par le PS. Ce lundi, un sondage le donne vainqueur du scrutin.
FEKL
Il entend réunir « des jeunes, des intellectuels, des élus de toutes les tendances du Parti socialiste (PS), des sympathisants », pour « alimenter le débat public ». Le secrétaire d’Etat au commerce extérieur, Matthias Fekl, va lancer son propre mouvement « pour la vie des idées et des alternatives », baptisé « Movida », a-t-il annoncé au magazine L’ExpressMatthias Fekl, secrétaire d'Etat au Commerce extérieur, a lancé ce mardi 4 octobre au soir son propre mouvement destiné à "alimenter le débat public" d'ici à la présidentielle. Le jeune ministre, "très critique du social-libéralisme" pourra servir d'atout à un François Hollande en pleine quête de légitimation à gauche.HOLLANDEBercy publie un rapport détaillant les hausses et les baisses d'impôts sur le quinquennat, en triant ce qui est imputable à l'administration actuelle, et ce qui l'est à celle de Nicolas Sarkozy.Un intime de François Hollande envoie aux secrétaires fédéraux du PS un message appelant à soutenir la candidature du chef de l'État à la présidentielle 2017.MACRONDans un débat avec Jean-François Kahn organisé par "Marianne", Emmanuel Macron se positionne sur le sujet de la laïcité, s'opposant vivement aux appels "à la discrétion" des musulmans de Jean-Pierre Chevènement et Manuel Valls. Il estime que la République est "ce lieu magique qui permet à des gens de vivre dans l'intensité de leur religion" et pense qu'un catholique pratiquant, par exemple, peut "considérer que les lois de la religion dépassent les lois de la République", "dans sa conscience profonde". Extrait.« L’État doit donner plus de souplesse au marché du travail », « Le libéralisme est une valeur de gauche », « Le statut de fonctionnaire est de moins en moins défendable », « Il y a la politique des artisans et la politique des fainéants »… Qui a dit cela ? Emmanuel Macron.
Temps de travail, indemnisation chômage, statut des fonctionnaires, modèle social… Les auteurs décryptent la vision de l’économie et de la société française du jeune ex-ministre (38 ans) et montrent que, derrière un discours qui s’affiche comme « moderne », se cache une vision de l’économie dépassée, héritière du libéralisme du XIXe siècle.
JEUNESSE
Marianne - La Cour des comptes dézingue les emplois aidés pour les jeunes
Ce cadre posé, l’explosif rapport de la Cour des comptes sur « L’accès des jeunes à l’emploi », rendu public ce mercredi 5 octobre, éclaire comment les pouvoirs publics ont en partie aggravé le sort de la jeunesse tricolore en dirigeant des bataillons de moins de 25 ans vers des contrats aidés (CUI-CIE, CUI-CAE de 20 heures puis des emplois d’avenir) dans les entreprises et plus encore dans les administrations - 160 000 bénéficiaires fin 2014 ! -, plutôt que vers des formations qualifiantes en alternance (apprentissage ou contrat de professionnalisation).
Cour des comptes - L’accès des jeunes à l’emploi : construire des parcours, adapter les aides
La structure du marché du travail en France pénalise tout particulièrement les jeunes. Leur durée d’accès à un emploi stable s’est allongée ; ils sont plus confrontés à la précarité dans l’emploi et au temps partiel subi ; leur taux de pauvreté est élevé. Depuis plusieurs décennies, de très nombreuses aides, mises en œuvre par des opérateurs multiples, ont été déployées pour corriger cette situation. Ce système d’aides publiques présente un coût élevé (10,5 Md€ en 2015) et croissant, mais les résultats obtenus du point de vue de l’accès à un emploi durable ne sont à la mesure ni des objectifs affichés, ni des moyens mobilisés.
Les juridictions financières préconisent de concentrer davantage les aides publiques sur les jeunes les plus éloignés de l’emploi et de privilégier les réponses rapides et les dispositifs intensifs. Leur rapport comprend sept cahiers territoriaux : Est-Ensemble, Le Creusot – Montceau-Les-Mines, Limoux, Saint-Étienne, Seine-Eure / Haute-Normandie, Thiers et Toulouse.ISLAMLe professeur de philosophie avait vivement critiqué dans une tribune le lycée musulman Averroès, à Lille.Le parquet a requis mardi la relaxe d'un ex-enseignant d'un lycée musulman de Lille poursuivi pour avoir publié plusieurs articles qui faisaient état de dérives islamistes au sein de l'établissement. La décision du tribunal correctionnel de Nanterre, devant lequel l'affaire était plaidée, a été mise en délibéré.
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Policiers blessés à Viry-Châtillon : Pour Benoît Hamon, il faut légaliser le cannabis la "vraie gangrène" des quartiers
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François Dubet répond aux questions d'Ali Baddou
François Dubet répond aux questions d'Ali Baddou par franceinter -
La politique étrangère du Front national : la conclusion de Pervenche Berès
Le débat co-organisé par la Délégation socialiste française au Parlement européen et l’Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès le 18 juillet 2016 s’est conclu par une allocution de Pervenche Berès, députée européenne et présidente de la Délégation, qui a remis en perspective les propositions du Front national en matière de politique étrangère et les liens tissés par ce parti à l’international.
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Benoît Hamon donne de sa personne lors de vendanges bio
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Slate - Comment Cambadélis est devenu la machine à punchlines du quinquennat
Depuis toujours, l'ancien trotskiste est en roue libre et régale journalistes et politiques de ses bons mots. Pour le meilleur, et parfois pour le pire.
Ce qu'il aime avant tout, Jean-Christophe Cambadélis, ce sont les métaphores. Évoquant la gauche et le risque de division, le premier secrétaire du Parti socialiste exhortait ainsi ses camarades, le 23 septembre: «Il ne s'agit pas de jouer perso, sinon on termine comme Ben Arfa.» Transféré cet été au PSG, le footballeur connu pour ses dribbles chaloupés a été écarté du groupe par son entraîneur... Motif: il ne travaille pas assez!
Puis évoquant la droite, qui occupe tous les radars médiatiques de ce début de primaire, avec Nicolas Sarkozy en guest star, Jean-Christophe Cambadélis osait carrément: «Les quatre Dalton de la droite –et je ne vous dirais pas qui est Joe– sont dans la surenchère.» Tout le monde aura reconnu l'allusion à l'ancien chef de l'Etat, connu pour lancer une polémique par jour: Gaulois, Gabon, migrants, tout y passe... Face au cador médiatique, Cambadélis fait ce qu'il sait faire: régaler la galerie pour allumer des contre-feux.
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Intervention de Najat Vallaud-Belkacem à l'Université de l'Engagement de Lyon
Intervention de Najat Vallaud-Belkacem à l... par PartiSocialiste -
Intervention de David Kimelfeld à l'Université de l'engagement de Lyon
Intervention de David Kimelfeld à l'Université... par PartiSocialiste -
Mediapart - Les électorats disparus du Parti socialiste