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Actualités socialistes - Page 1185

  • L'Édito de Jean-Christophe Cambadélis - Episode 11


    L'Édito de Jean-Christophe Cambadélis - Episode 11 par PartiSocialiste

  • Conférence de presse d'Olivier Faure - 12 septembre 2016


    Conférence de presse d'Olivier Faure - 12... par PartiSocialiste

  • Bernard Cazeneuve : Migrants, terrorisme, hâlte aux contre vérités


    Bernard Cazeneuve : Migrants, terrorisme, hâlte... par franceinter

  • Bernard Cazeneuve répond aux questions des auditeurs


    Bernard Cazeneuve répond aux questions des... par franceinter

  • Alstom : Arnaud Montebourg critique l'exécutif à Belfort


    Alstom : Arnaud Montebourg critique l'exécutif... par francetvinfo

  • L'actualité des socialistes du 2 au 8 septembre

    ANALYSES

    OFCE - Le quinquennat de François Hollande : enlisement ou rétablissement ?

    Le quinquennat de François Hollande a été marqué par des difficultés économiques profondes mais également par un début d’embellie cette dernière année de mandat. La France aura donc connu une croissance faible de 2012 à 2014, du fait notamment de la politique de consolidation budgétaire, puis une croissance modérée au-delà.

    L’ampleur du choc fiscal en début de quinquennat, dont l’impact négatif sur la croissance avait été sous-estimé par le gouvernement, n’était pas compatible avec une baisse du chômage au cours de la première moitié du mandat.

    L’effort d’assainissement des finances publiques aura conduit à un ajustement budgétaire conséquent, en repoussant cependant l’objectif de 3 % de déficit public à la fin du quinquennat. Selon les calculs de la Commission européenne, le solde structurel français (c’est-à-dire le solde corrigé des effets de la conjoncture) se serait amélioré de 2,5 points sur la période 2012-2016. Malgré tout, cet effort n’a pas empêché la dette publique d’atteindre un point haut historique, et de diverger sensiblement par rapport à celle de l’Allemagne.

    FRONDEURS

     
    Ils font leur rentrée ce week-end à La Rochelle, sans parvenir à se mettre d’accord sur une candidature unique pour la primaire de la gauche.
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    SONDAGE
     
     
    Une très nette désaffection. C'est la principale leçon de l'enquête réalisée par Luc Rouban, directeur de recherche au CNRS, pour le Cevipof et publiée cet été sur la relation entre les enseignants et le PS. Il observe « un affaissement important des intentions de vote en faveur de François Hollande entre janvier 2016 et mai 2016, passant de 30,7 % à 24,3 %. »
     
    HOLLANDE
     
     
    Le discours était très attendu. Et plus encore que le thème du colloque que François Hollande ouvre "la démocratie face au terrorisme", ce sont les petits cailloux semés par le chef de l'Etat en vue de 2017 qui étaient scrutés. Englué dans les bas-fonds des sondages, encadré par des candidatures dissidentes (Arnaud Montebourg sur sa gauche et Emmanuel Macron sur sa droite), le président de la République était pressé par une partie des siens d'envoyer un signal
     
     
    Il était temps. Même les plus fidèles partisans de François Hollande commençaient à douter de sa capacité à parler à la gauche et à incarner sa possible unité. Les voilà rassurés. Hollande sait encore y faire. Même si un discours, aussi bon soit-il, ne suffira pas pour corriger les manquements et les incohérences de son quinquennat.
     
     
    Tir nourri sur ses adversaires tous bords confondus, anaphores, intentions… Dans le discours le plus percutant de son quinquennat, jeudi à Paris, le chef de l’Etat a posé les premiers jalons de sa future campagne, sans pour autant se déclarer.
     
     
    François Hollande n’a pas fait de déclaration de candidature ou d’annonce surprise dans son discours, jeudi 8 septembre, à la Salle Wagram, à Paris. Il a en revanche défendu son action en allant au-delà du seul thème annoncé de la « démocratie face au terrorisme ». Constitution, cumul des mandats, créations de postes… Retour sur ses principales affirmations.
     
    MACRON
     
     
    En décidant finalement de quitter le gouvernement, Emmanuel Macron a pris un risque calculé. Son pari est que François Hollande ne se représentera pas à l’élection présidentielle et que dans ces conditions il ne doit plus tarder à montrer clairement ses ambitions et à se préparer pour 2017. Ce pari est risqué dans la mesure où, s’il se trompe, il se trouvera dans une situation particulièrement inconfortable. En effet, son départ du gouvernement à lui seul ne lui permettra pas de se présenter contre le président sortant si, déjouant ses calculs, celui-ci se représente. L’image de Brutus serait alors trop prégnante. Il aurait fallu que Macron quitte beaucoup plus tôt le gouvernement et sur une rupture radicale pour pouvoir légitimement se présenter contre François Hollande. Ce ne fut pas le cas. Si le président se représente, il devra donc faire exploser sa fusée porteuse à peine lancée. Fâcheux. Tout repose donc sur le calcul du retrait probable de ce dernier. Ce calcul est-il juste ?

    Challenges -Pourquoi Macron est obligé d’être candidat socialiste, malgré lui

    Un sondage TNS SOFRES pour Le Figaro montre que Macron est surtout perçu par les électeurs de gauche comme un candidat socialiste avant tout tandis que son succès dans l’électorat de droite est faible. A lui d’en tirer les leçons en renonçant à son credo ni gauche, ni droite

    MONTEBOURG

    Le JDD - SONDAGE. Primaire du PS : le match Hollande-Montebourg

    Selon notre sondage Ifop-JDD, la primaire organisée par le PS s'annonce serrée. S'il devance un peu Arnaud Montebourg au premier tour, François Hollande pourrait être confronté à un second tour très compliqué.

    HAMON

    L'Express - Primaire à gauche: Benoît Hamon crée son micro-parti, baptisé "Elpis"

    Le candidat de l'aile gauche du PS vient de créer son parti de poche pour recevoir des dons en vue de financer sa campagne pour la primaire à gauche.

    KIMELFELD

    Lyon Première - "J'ai très envie d'être maire de Lyon" David Kimelfeld (PS)

    David Kimelfeld, maire du 4ème arrondissement et premier fédéral du PS du Rhône, a été désigné par Gérard Collomb comme son dauphin pour les élections de 2020.

    JACQUEMAIN

    L'Humanité - Dans les entrailles du hollandisme

    Un ex-conseiller de Myriam El Khomri lève le voile sur la genèse de la loi travail. Un voyage hallucinant où l’on découvre qui détient le vrai pouvoir.

    On ne ressort pas indemne du « petit bout de chemin » dans les entrailles du pouvoir de la présidence Hollande que ­raconte Pierre Jacquemain. Ex-conseiller « stratégie » de la ministre du Travail, Myriam El Khomri, il a démissionné en février de ses fonctions, précisément en raison de son opposition à la loi qui porte désormais le nom de son ancienne patronne. L’auteur d’Ils ont tué la gauche (Fayard, 198 pages, 16 euros) lève aujourd’hui « le voile sur la fabrique de la politique » du quinquennat finissant, depuis cet observatoire ô combien privilégié.

    CAROLINE FOUREST

    Menteuse, vous avez dit menteuse ?

    La Cour d’appel de Paris vient de confirmer ce que je disais sur le plateau d’On n’est pas couché en mai 2015. Elle a constaté que depuis janvier 2015, soit plusieurs mois avant l’enregistrement de cette émission, la plainte que me reprochait Aymeric Caron était bien prescrite. J’ai donc bien gagné le procès intenté par Madame Rabia Bentot, condamnée à me verser 4000 euros pour frais de procédure.

    IDEES

    Le Monde - Une révolution conservatrice qui avance à visage découvert, Par Daniel Lindenberg

    « Déchéance de nationalité », « constitutionnalisation de l’état d’urgence », « expliquer le terrorisme, c’est déjà l’excuser », « tous pouvoirs à la police »… Que ces mots et ces déclarations d’intention soient à présent ceux d’un gouvernement de gauche devrait stupéfier. C’est tout de même le cas pour certains. Mais même ceux-là savent-ils vraiment comment « en un plomb vil l’or pur s’est-il changé » ? Que Jean Racine nous pardonne, mais l’Olympe n’a rien à voir dans cet affaissement des principes républicains les plus basiques.

    ISLAM

    Slate - Il faut accepter le lien de la majorité des musulmans de France avec l'islam de l'Algérie ou du Maroc

    Quelle instance représentative pour les musulmans de France? Comment financer les lieux de culte? Comment former les imams? Alors que les interrogations se multiplient dans un pays en proie à la violence djihadiste, notre spécialiste religion Henri Tincq et l'islamologue Rachid Benzine font le point.

  • Fondation Jean Jaurès - La démocratie face au terrorisme : l’introduction de Gilles Finchelstein

  • Non Fiction - Le bien-être sans la croissance

    Résumé : La croissance est désormais un sujet de débats : et si nous devions apprendre à nous en passer ?

    Dans Faut-il attendre la croissance ?, l’économiste Florence Jany-Catrice et la sociologue Dominique Méda posent successivement trois questions : Comment la croissance économique est-elle devenue l’une des préoccupations fondamentales de nos gouvernements ? A quelles limites la croissance est-elle désormais confrontée ? Et finalement, que disent les débats de ce que pourrait être un monde de progrès mais sans croissance ? Contraintes par le format de la collection Doc En Poche de passer rapidement sur certains points, elles parviennent à donner des réponses plutôt très satisfaisantes à ces trois questions, de sorte que le livre constitue une excellente introduction sur le sujet de l’avenir de la croissance, même si les pistes qu’il suggère pour finir peuvent laisser le lecteur sur sa faim.

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  • Observatoire des inégalités - Un million de pauvres de plus en dix ans

    6 septembre 2016 - La France compte entre 5 et 8,8 millions de pauvres selon la définition adoptée. Entre 2004 et 2014, le nombre de personnes concernées a augmenté d’un million au seuil à 50 % du revenu médian comme au seuil de 60 %, principalement sous l’effet de la progression du chômage.


    La France compte 5 millions de pauvres au seuil à 50 % du revenu médian [1] et 8,8 millions à celui de 60 %, selon les données 2014 de l’Insee (dernière année disponible). Dans le premier cas, le taux de pauvreté est de 8,1 %, dans le second de 14,1 %. Quelque soit le seuil retenu, le taux de pauvreté s’élève de 1,2 point. Au cours des dix dernières années (2004-2014), le nombre de pauvres a augmenté de 950 000 au seuil à 50 % et de 1,2 million au seuil à 60 %.

    La pauvreté a fortement progressé à partir de 2008, avec l’accentuation des difficultés économiques liées à la crise financière. Entre 2008 et 2012, le nombre de pauvres, au seuil à 50 % comme à 60 %, a augmenté de 800 000. Le taux de pauvreté à 50 % s’est élevé de 7 à 8 %, celui à 60 % de 13 à 14 %. Depuis 2012, le taux et le nombre de pauvres stagnent selon l’Insee.

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  • Le #17h - Épisode 44 avec Marie-Laure Fages


    Le #17h - Épisode 44 avec Marie-Laure Fages par PartiSocialiste

  • "Négationnisme économique" : ce pamphlet est ignoble. C'est un appel direct à l'épuration Par Henri Sterdyniak Économistes atterrés

    LE PLUS. "Négationnisme économique. Et comment s'en débarrasser". C'est le titre musclé du livre que viennent de publier les économistes Pierre Cahuc et André Zylberberg. Un brûlot dans lequel ils s'attaquent aux économistes dits "hétérodoxes", et notamment aux Économistes atterrés. Co-animateur de ce collectif, Henri Sterdyniak leur répond.

    Deux économistes, Pierre Cahuc et  André Zylberberg, viennent de commettre un pamphlet ignoble, contre tous les économistes critiques, contre ceux qui proposent aux citoyens des pistes de réflexion pour sortir de l’impasse du néo-libéralisme. Pour eux, une pensée unique doit prévaloir en économie, à laquelle tous, économistes et citoyens, doivent se soumettre.

    Le titre – "Le négationnisme économique, et comment s'en débarrasser" – est abject, qui oublie que le négationnisme est un délit, la négation du génocide nazi, qui revient à absoudre Faurisson, Dieudonné et autres le Pen en les mettant sur le même pied que ceux qui ont montré que les 35 heures ont créé des emplois. Le sous-titre ("Comment s’en débarrasser") est un appel direct à l’épuration.

    Il ne s’agit donc pas d’engager un débat intellectuel, mais de demander l’élimination de toute pensée critique.

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