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INA (1973) Monsieur François Mitterrand, premier secrétaire du Parti Socialiste
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INA (1969) Réunion comité exécutif du nouveau Parti Socialiste
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L'actualité des socialistes du 13 au 23 juillet (mise à jour)
Les vidéos de l'été se subsituent à cette revue de presse à partir du 24 juillet jusqu'au 24 août : les chansons de la gauche, un parcours dans l'histoire de la Gauche à travers les archives de l'INA mais aussi des réflexions et des analyses.
A la une
"Une primaire me paraît inéluctable", juge la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann, membre de l'aile gauche du PS, dans un entretien au "Figaro". "D'abord parce que cela donnera de la force au candidat de gauche. Ensuite parce que cela permettra aux Français de s'exprimer. La primaire doit être un moment de clarification avec le peuple de gauche."
21, 22 et 23 juillet
Le Figaro - Stéphane Le Foll se rendra finalement à Caen cet après-midi
La venue du ministre de l'Agriculture était une des conditions imposées par les éleveurs pour la levée des blocages. Un peu plus tôt, François Hollande annonçait la présentation d'un plan d'urgence mercredi en conseil des ministres.
Web-Agri - Eleveurs en colère « Tout le monde doit faire un effort » déclare la porte-parole du PS
Paris, 21 juil 2015 (AFP) - Consommateurs, distributeurs, industriels : « Tout le monde doit faire un effort » pour résoudre la crise qui secoue actuellement l'élevage en France, a déclaré mardi Juliette Méadel, porte-parole du PS.
France Inter, L'invité du week-end : Benoît Hamon ancien ministre, député PS des Yvelines
19 et 20 juillet
C'est triste mais c'est comme ça : cette année, vous ne verrez sans doute pas Benoît Hamon à la Fête de la Rose, déguster un verre de la Cuvée du Redressement – il paraît qu'il en reste plusieurs bouteilles – ni chanter en remuant les mains avec Arnaud Montebourg. A priori, l'ancien ministre de l'Éducation nationale ne sera pas à Frangy-en-Bresse à la fin du mois d'août.
JDD - SONDAGE. Hollande stagne, Valls gagne 5 points
Baromètre Ifop-JDD - François Hollande reste stable et Manuel Valls rattrape le terrain perdu lors de son escapade en jet à Berlin.
L'Obs - DSK à ses "amis allemands": "Les conditions de l'accord avec la Grèce sont effrayantes"
Dans une tribune en ligne, l'ancien directeur du FMI déplore que "le contexte dans lequel ce diktat a eu lieu crée un climat dévastateur" en Europe.
Côté Toulouse - Régionales 2015. Cambadélis à Toulouse pour accélerer l'accord entre le PS et le PRG
Le premier secrétaire du PS a participé à une réunion d'urgence, vendredi 17 juillet à Toulouse, pour « débloquer » la situation entre les socialistes et les radicaux de gauche.
Le Monde - Varoufakis, invité vedette de Montebourg à Frangy pour la rentrée politique
Décidément, la Fête de la rose de Frangy-en Bresse (Saône-et-Loire), qui marque chaque année la rentrée politique d’Arnaud Montebourg, réserve son lot de surprises. Cette année, c’est Yanis Varoufakis, le désormais ex-ministre des finances grec, qui sera l’invité d’honneur du traditionnel ban bourguignon, dimanche 23 août, qui précède l’université d’été des socialistes à La Rochelle. La nouvelle a été annoncée par un communiqué des amis d’Arnaud Montebourg, qui organisent l’événement.L'ancien ministre grec des Finances Yanis Varoufakis, qui a mené la vie dure aux créanciers de la Grèce avant de démissionner, sera l'invité d'honneur de la 43e Fête de la Rose, organisée chaque été autour d'Arnaud Montebourg à Frangy-en-Bresse (Saône-et-Loire).
17 et 18 juillet
Cambadelis - Lettre ouverte à un ami allemand
... C’est la solidarité de la France et de l’Europe qui permit dans le cadre des accords de Londres de 1953 de réduire considérablement la dette allemande. Berlin doit se souvenir de cette leçon de l’histoire au moment où elle fait la leçon budgétaire à Athènes. Notons d’ailleurs au passage que si nous avions annulé la dette grecque il y a trois ans et si nous avions laissé s’organiser un référendum, nous n’en serions sans doute pas là aujourd’hui.
Le Monde - Pour soutenir les Grecs, Cambadélis rappelle l’Allemagne à son histoire
Après l’économiste Thomas Piketty, c’est au tour de Jean-Christophe Cambadélis de vouloir mettre l’Allemagne d’Angela Merkel face à son histoire. Quatre jours après l’accord permettant à la Grèce de rester dans la zone euro, le premier secrétaire du PS a posté sur son blog une « lettre ouverte à un ami allemand » dont le message, outre l’allusion aux articles publiés sous ce titre par Albert Camus dans Combat en 1945, est clair : la Grèce est l’Allemagne d’hier.Nommé en juin secrétaire national à l'alliance populaire, Julien Dray a la dure mission de rassembler la gauche en vue de 2017. Il espère isoler Jean-Luc Mélenchon pour éviter l'émergence d'un Syriza à la Française.L'Obs - #Grèce Les "frondeurs" du PS vont majoritairement voter en faveur de l'accord avec la Grèce ce mercredi après-midi, même si certains s'abstiendrontC'est ce qu'a indiqué à l’AFP, en milieu de journée, le député de la Nièvre Christian Paul, l'un des animateurs du courant. "C’est un accord incontournable, ça n’en fait pas un bon accord", a-t-il résumé, jugeant que "tout reste à faire" notamment sur la question de la dette.
15 et 16 juillet
Le Monde - Hollande profite du 14-Juillet pour s’afficher en protecteur de la nation
Le contexte diplomatique eût pu être désastreux, il s’est révélé en réalité particulièrement porteur. Fort de deux accords majeurs conclus, en moins de quarante-huit heures, sur le maintien de la Grèce dans la zone euro et le nucléaire iranien, François Hollande a pu pousser à des hauteurs inespérées, mardi sur TF1 et France 2 lors de ses quarante-cinq minutes d’intervention télévisée à l’occasion du 14-Juillet, la posture qu’il ambitionnait d’endosser depuis plusieurs semaines en vue de ce rendez-vous : celle d’un président protecteur.La scénographie et les acteurs demeurent, mais la pièce sera d’un tout autre genre. C’est dans un contexte national, européen et international particulièrement anxiogène, entre risque terroriste et menace du « Grexit », que François Hollande aborde l’exercice de la traditionnelle prise de parole à l’occasion de la fête nationale.
13 et 14 juillet
Libé - Hollande salue le «courage» de Tsípras
Après l'accord signé ce lundi à Bruxelles, le président français, qui a défendu Athènes lors des négociations, se félicite de l'issue trouvée.
Atlantico - Benoît Hamon : “La primaire à gauche n’est pas taboue”
Deux jours avant la grande interview présidentielle du 14 juillet, l’ancien ministre de l’Education Benoît Hamon a accordé à Atlantico un entretien fleuve au cours duquel il analyse les erreurs commises par François Hollande au cours de ses trois ans de mandat. Il lui demande de clarifier le projet européen de la France et annonce, pour la rentrée, la mise en place d’un mouvement destiné à être représenté lors des primaires de la gauche qu’il appelle de ses vœux.
Le Monde - Le SPD allemand pris dans la tourmente grecque
Quelle que soit l’issue de la crise grecque, celle-ci a déjà fait une victime en Allemagne : le parti social-démocrate. Coincé entre la solidarité gouvernementale et une gauche européenne plutôt encline à soutenir les Grecs, le SPD n’a plus de boussole, et son président, Sigmar Gabriel, multiplie les sorties de route.Le Parisien - Grèce: le SPD soutient la position de Hollande, assure Cambadélis
Le Parti social-démocrate allemand (SPD), dont le président Sigmar Gabriel est le vice-chancelier allemand, soutient la position de François Hollande dans le dossier grec, a assuré dimanche soir le Premier secrétaire du Parti socialiste français, Jean-Christophe Cambadélis.
Boursier.com - Le PS invite le SPD à cesser la "surenchère" sur la Grèce
PARIS (Reuters) - Le premier secrétaire du Parti socialiste français, Jean-Christophe Cambadélis, a exhorté dimanche son parti frère en Allemagne à faire pression sur Angela Merkel pour qu'elle mette fin à la "surenchère allemande" sur le dossier grec.
Stop au "Saintignon bashing". Longtemps, le nom de Marine Aubry fut mis en avant comme le seul moyen pour la gauche de remporter les régionales en Nord-Pas-de-Calais - Picardie, notamment face à Marine Le Pen. Mais la maire de Lille n'en avait aucune envie. Elle a donc poussé la candidature de Pierre de Saintignon, son premier adjoint à l'hôtel de ville. Car elle jugeait (et juge encore) que le meilleur candidat pour le PS dans la région, c'est lui.
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Laurent Fabius : "La France est parmi ceux qui travaillent le plus contre le dérèglement climatique"
Laurent Fabius : "La France est parmi ceux qui... par franceinter -
Laurent Fabius : "L'Iran n'aura pas la bombe atomique"
Laurent Fabius : "L'Iran n'aura pas la bombe... par franceinter -
INA (1995) Lionel JOSPIN - J. LACOUTURE, M-C, MENDES-FRANCE, J. LE GOFF, P. MAUROY
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Thierry Mandon : "L'université française est confrontée au choc démographique"
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INA (1977) François MITTERRAND à propos de l'histoire du Parti socialiste et du socialisme
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Communiqué de presse de A Gauche pour Gagner – Suite au vote du Parlement
Le 15 juillet, 2015
Mais nous savons qu’exiger de la Grèce un tel prix pour rester dans l’Euro change radicalement le contenu du projet européen : mise sous tutelle d’un parlement souverain par des instances non élues, maintien de la peine d’endettement perpétuel sans qu’une perspective de restructuration de la dette ne soit sérieusement envisagée …
Ces derniers jours, c’est un camp qui a voulu en vaincre un autre sur le terrain essentiel de la démocratie et du respect dû à chaque peuple. La brutalité des créanciers restera longtemps dans les mémoires…
Nous sommes solidaires de la démarche politique engagée par le gouvernement grec, et nous avons bien conscience que nous ne pouvons nous substituer aux Grecs eux-mêmes.
Nous savons aussi que la « feuille de route » imposée à Alexis Tzipras, en dépit de ses propositions et de sa démarche de réhabilitation de l’Etat, contient un ultimatum commandé par l’Eurogroupe aux grecs, et qu’il est faux de nommer accord. Le premier ministre grec lui-même d’ailleurs le qualifie de mauvais, reflète un rapport de force très inégal et de soutiens insuffisants, ces derniers jours ayant montré à la face du monde combien la France manquait d’appuis dans les discussions en cours.
Nous ne saurions entraver le courage des grecs et de son gouvernement et donc ne rejetterons pas ce qu’il a lui-même accepté, même contraint.
Mais nous ne saurions valider une pédagogie de la force, anti-démocratique et anti-européenne. Nous ne pouvons entériner le fait que le projet européen se résumerait désormais à l’équation suivante : sortir de l’euro ou accepter des logiques d’austérité économique et de violation démocratique qui sont, on le sait, en réalité mortifères pour l’Europe.
Si les positions au sein de l’Union européenne n’ont pas rendu possible aujourd’hui une autre issue pour la Grèce, il nous faut œuvrer à ce que d’autres chemins puissent se dessiner demain pour qu’à l’avenir, les positions défendues ces derniers jours par la France trouvent d’autres appuis.
C’est le sens de notre vote aujourd’hui sur l' »accord », que nous l’ayons approuvé ou non : signifier que les conditions imposées par l’Eurogroupe n’entraînent pas la fin de la tentative démocratique portée par Alexis Tzipras, mais bien le commencement d’un autre rapport de force européen ; constituer un utile relais à toutes celles et ceux qui, dans de nombreux pays, au-delà de l’Espagne et de la Grèce, aspirent à une autre perspective.
Enfin, à travers l’accord sur la Grèce, c’est clairement la question de la réorientation européenne qui est aujourd’hui posée. Si les peuples n’ont pas d’autres perpectives que des politiques punitives, nous devons nous reposer la question du sens et des objectifs de l’engagement européen. Une remise à plat est indispensable. C’’est elle qu’il faut exiger désormais.
Que reste-t-il de notre ambition d’une Europe démocratique, sociale et indépendante ?
Notre Europe n’est pas celle que nous voyons voir venir demander l’impossible remboursement d’une dette qui étouffe, après des années passées à sacrifier les emplois et l’industrie.
Notre Europe n’est pas celle des égoïsmes intransigeants de quelques-uns. Notre Europe n’est pas celle qui favorise la montée du Front National en France ou de l’Aube dorée en Grèce, par la poursuite d’une politique d’austérité absurde.
Le Président de la République a esquissé une piste : celle de la consolidation et de la démocratisation de la gouvernance de la zone euro. Nous sommes disponibles, toujours constructifs, pour contribuer à cette réorientation. Elle signifie un nouveau modèle de développement économique, une ambition écologique véritable et la reformulation de son projet politique aujourd’hui vampirisé par des dogmes et des traités injustes, hors de réel cadre démocratique.
C’est vers cet avenir pour l’Europe que nous devons aujourd’hui nous tourner.
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INA (1982) Manuel Valls, jeune militant socialiste
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INA (1990) - PS : de Metz à Rennes