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presidentielle - Page 9

  • Les décodeurs du Monde : Qui sont les trente proches d’Emmanuel Macron qui comptent au sein d’En marche ! ?

    Politiques, technocrates ou membres de la société civile : « Le Monde » passe en revue la garde rapprochée du candidat à la présidentielle.
     
    Sans jamais avoir été candidat ou élu à une quelconque élection, Emmanuel Macron s’est hissé le 23 avril en tête du premier tour de l’élection présidentielle. En un an, l’ancien conseiller de François Hollande a construit un mouvement politique à son service, s’entourant d’une équipe de fidèles qui ont, pour beaucoup, adopté son credo « ni de droite ni de gauche ».
     
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  • Slate - Macron vole les mots de Le Pen, et c’est une excellente stratégie

    L’heure de la riposte idéologique a-t-elle sonné?

    «Le Front national ce n'est pas le parti des patriotes, c'est le parti des nationalistes! Et le nationalisme, c'est la guerre!», a lancé Emmanuel Macron, mercredi, en meeting à Arras.

    Ce n'est pas la première fois qu’Emmanuel Macron utilise le terme de patriote. «Je souhaite dans 15 jours devenir votre président, le président de tout le peuple de France, le président des patriotes, face à la menace des nationalistes», a-t-il déclaré lors de son discours après le 1er tour des élections présidentielles, dimanche 23 avril. Il avait aussi tweeté à ce sujet le 1er avril.

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  • L'Obs, Frédéric Sawiki - "On aurait tort d'enterrer trop vite le Parti socialiste"

    Fragilisé par l'échec de Benoît Hamon au premier tour du scrutin, le PS, en proie à une crise d'identité, n'a pas encore signé son acte de décès, estime l'universitaire Frédéric Sawicki.

    Au lendemain d'une claque électorale historique - Benoît Hamon n'ayant recueilli que 6.3% des voix au premier tour - l'avenir du Parti socialiste semble plus compromis que jamais. Certains ténors du PS, à l'image de Stéphane Le Foll ou encore Jean-Christophe Cambadélis vont même jusqu'à envisager la mort du parti. Une position que soutient résolument l'ancien Premier ministre Manuel Valls qui assurait mardi au micro d'Europe 1, que l'échec du premier tour du scrutin présidentiel signait "la fin d'une histoire". Celle d'Epinay et de "l'union de la gauche" qui s'était imposée avant la prise du parti par François Mitterrand en 1971.

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  • Europe 1 - Macron : Goulard (MoDem), Bertrand (LR) et Delanoë (PS) "ont vocation à m'accompagner"

    Emmanuel Macron a annoncé jeudi dans un entretien à CNews qu'il comptait s'entourer, s'il est élu président, de trois personnalités politiques du MoDem, LR et PS.

    Emmanuel Macron a estimé jeudi que la députée européenne MoDem Sylvie Goulard, le président de la région Hauts-de-France Xavier Bertrand (LR) et l'ancien maire de Paris Bertrand Delanoë (PS) "ont vocation" à l'accompagner s'il est élu président. "Les trois ont des qualités très différentes, et ils ont tous trois vocation, je l'espère, à accompagner dans les prochaines années ce que je compte faire si je suis élu", a dit Emmanuel Macron, qui était interrogé sur ces trois personnalités sur CNews.

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  • Atlantico - Macron président ? Le rude casse-tête de la composition d’un gouvernement En Marche pour aller aux législatives

    Élu président de la République, le premier défi d'Emmanuel Macron sera de nommer un Premier ministre à la fois capable d'incarner le renouveau, tout en ayant de l'expérience, et qui soit apte de faire campagne jusqu'aux législatives.

    Candidat particulier cherche parlementaire particulier

    Atlantico : Candidats au second tour des élections présidentielles, Emmanuel Macron est en tête des sondages pour remporter les présidentielles. Dans l'optique de former une majorité à l'Assemblée, quelles sont les difficultés que pourraient rencontrer l'ancien ministre de l'Economie ?

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  • L'actualité des socialistes du 21 au 27 avril (revue de presse hebdomadaire)

    A LA UNE

    La Vie des Idées - La politique en mal d’amour

    À propos de : Emiliano Grossman, Nicolas Sauger, Pourquoi détestons-nous autant nos politiques ? Presses de Sciences Po

    Les Français ne sont pas satisfaits de leur démocratie. Et même s’ils se prennent souvent de passion pour l’élection présidentielle, ils n’ont globalement pas confiance dans leurs représentants. Sont-ils donc ingouvernables ? Notre classe politique est-elle si décevante ? E. Grossman et N. Sauger s’interrogent.

    Recensé : Emiliano Grossman, Nicolas Sauger, Pourquoi détestons-nous autant nos politiques ? Paris, Presses de Sciences Po, 2017, 172 p., 13 €.

    L’ouvrage d’Emiliano Grossman et Nicolas Sauger recherche les causes de la désaffection dont souffrent les politiques français. Afin de les identifier, les auteurs entreprennent d’étudier sociologiquement les différentes dimensions du rapport subjectif – confronté à l’occasion à des données objectives –, que les Français entretiennent avec leurs politiques. En d’autres termes, c’est le lien représentatif lui-même que l’étude entreprend de sonder directement, sur la base de données quantitatives. L’enseignement attendu de cette enquête est la compréhension de la « crise de la représentation » sous les modalités spécifiques qui sont les siennes en France aujourd’hui.

    Slate - Que dirait le philosophe Paul Ricœur de son ancien assistant éditorial Emmanuel Macron?

    PS

    Boursier - Le PS en plein brouillard avant les législatives

    par Elizabeth Pineau et Emile Picy

    PARIS (Reuters) - Sonné par la débâcle de Benoît Hamon au premier tour de l'élection présidentielle, les députés socialistes envisagent avec inquiétude les législatives de juin pour lesquelles une plate-forme programmatique sera dévoilée la semaine prochaine.

    Une incertitude mêlée de crainte étreint les candidats des deux grands partis défaits au premier tour, déjà en campagne pour nombre d'entre eux.

    Marianne - Après la défaite du premier tour, la guerre des mouvements a commencé au PS

    Au lendemain du premier tour, hollandais, vallsistes et hamonistes préparent déjà la suite au Parti socialiste. Les législatives, les alliances avec En Marche ou la prise du parti.

    Les résultats du premier tour à peine digérés, les caciques du Parti socialiste se sont tous remis comme un seul homme à leur passe-temps favori : la partie d'échecs à la sauce Solférino. Chacun pousse donc ses pions pour essayer de prendre l'avantage. Une partie à trois entre les hollandais, les vallsistes et les hamonistes, qui vise tout aussi bien à court-circuiter les petits camarades qu'à forcer la main au futur président de la République désigné par les sondages, Emmanuel Macron. Et dans cette première manche, l'objectif est de montrer ses muscles.

    BFMTV - Au Parti socialiste, la guerre des gauches a commencé

    Après une humiliante élimination au premier tour de l'élection présidentielle, le Parti socialiste est plus que jamais au bord de l'implosion entre "gauche de gouvernement" et "gauche critique".

    Le Point - Après le naufrage de Hamon, le PS se cherche un avenir

    VIDÉOS. Pour le PS, la parenthèse Hamon se referme. Au grand soulagement des sociaux-démocrates qui espèrent limiter la casse et retrouver leurs électeurs perdus…

    Après une présidentielle cauchemardesque, Jean-Christophe Cambadélis, patron du PS, n'est pas mécontent d'en finir avec la parenthèse Hamon. Ce qui lui permet de minimiser les dégâts : «  Le Parti socialiste n'a pas été représenté durant cette présidentielle atypique. Mais il n'est pas mort. Il est en crise, ce qui est différent.  » En effet, dans l'esprit du courant majoritaire du parti, Benoît Hamon n'a jamais été le «  vrai  » candidat du PS. Frondeur il fut, frondeur il est resté. «  Pour être crédible, il eût fallu que Benoît Hamon amenât à lui les éléphants du PS », râle « Camba ». « Or, à l'exception de Martine Aubry, il les a boudés pour ne s'afficher qu'avec Yannick Jadot et discuter avec Jean-Luc Mélenchon…  »

    Slate - Le PS ruiné par son ex et par son meilleur coup d'un soir

    Pendant cinquante ans, le «parti d'Épinay» a connu une relation orageuse avec la gauche radicale. Pendant trente ans, il a hésité à demander en mariage les centristes. Dimanche soir, les deux l'ont pris en étau et l'ont ramené à un de ses plus bas niveaux sous la Ve République.

    Ouest France - Présidentielle. "L'électorat de François Hollande a éclaté"

    La campagne présidentielle a permis une double émergence. Celle de mouvements hors partis traditionnels et d’un clivage idéologique fort prenant le pas sur le classique droite-gauche. Pascal Perrineau, politologue, professeur des Universités à Sciences Po, en décrypte les ressorts.

    Quel regard portez-vous sur la campagne qui s’achève ?

    C’est une campagne comme on n’en avait jamais connu. Les Français, défiants vis-à-vis de la vie politique, expriment en même temps un intérêt pour la présidentielle. On ne sait pas ce qui va l’importer entre le rejet et l’attrait. Cela peut se terminer par une poussée de l’abstention. Les gens utilisent aussi la protestation, le Front national ou Mélenchon, pour exprimer cette tension. Ou, au contraire, y aura-t-il la tentation de revenir vers des poids lourds ?Par ailleurs, le débat n’a jamais réussi à se nouer autour d’un thème. En 2012, c’était la finance ; en 2007 le « travailler plus pour gagner plus ». Cette fois, à cause de l’agenda judiciaire, ce ne fut pas le cas. Cela a créé un sentiment de perte de repères : près d’un quart des Français n’ont pas encore fait leur choix.

    L'EUROPE

    La Vie des Idées - L’Europe sans l’austérité

    À propos de : Bruno Tinel, Dette publique : sortir du catastrophisme, Raisons d’agir

    Dépenses et dettes publiques sont au centre des débats politiques, les uns insistant sur la nécessité de les réduire quand d’autres plaident pour plus de souplesse. Bruno Tinel explique d’où vient la dette et dénonce les politiques qui, après avoir contribué à l’augmenter en Europe, exigent aujourd’hui sa réduction.

    Recensé : Bruno Tinel, Dette publique : sortir du catastrophisme, Paris, Raisons d’agir, 2016, 240 p., 8 €.

    La parution du nouvel opus sur la dépense publique de l’Institut de l’entreprise, intitulé Dépense publique : l’état d’alerte et dirigé par Michel Pébereau, trouve un contrepoint utile dans l’ouvrage de Bruno Tinel paru en 2016. Loin de stigmatiser les dépenses publiques de façon systématique, Bruno Tinel cherche d’abord à relativiser l’évolution des finances publiques françaises. Dans un second temps, il s’attache à dénoncer une sorte de coterie autour de la gestion des dépenses et de la dette publiques – non seulement français mais aussi européen –, et y voit une nouvelle forme de lutte des classes préjudiciable aux plus démunis et aux classes moyennes. Moins documentée que la première, la seconde partie de l’ouvrage m’a semblé moins convaincante, quoiqu’elle reste utile pour contrecarrer l’obsession de la baisse des dépenses publiques [1].

    CHOMAGE

    OFCE - Chômage : fin de quinquennat chahutée  26 avril 2017

    Département Analyse et Prévision (Equipe France)

    Les chiffres du chômage du mois de mars 2017, publiés par Pôle Emploi, font apparaître une hausse du nombre de demandeurs d’emploi en fin de mois (DEFM) en catégorie A (+43 700 personnes en France métropolitaine) qui fait suite à deux mois de relative stabilité. Si l’on ajoute aux inscrits en catégorie A[1] ceux ayant réalisé une activité réduite au cours du mois (catégories B et C), l’évolution mensuelle de mars indique une baisse de 11 400 personnes.

    Cette publication, la dernière avant le deuxième tour de l’élection présidentielle, permet de dresser un bilan quasi-exhaustif du quinquennat de François Hollande quant à l’évolution des demandeurs d’emploi depuis mai 2012.

    Sur l’ensemble du quinquennat, le nombre de DEFM a fortement augmenté : les inscriptions toutes catégories confondues ont progressé de 1,31 million, dont 606 000 pour la seule catégorie A, soit un rythme d’augmentation annuel moyen de respectivement 270 000 personnes toutes catégories confondues et 125 000 personnes en catégorie A (cf. Tableau).

    DECODEURS

    Le Monde - Présidentielle : Macron favori des centres-villes aisés ; Le Pen, des campagnes

    Les deux finalistes de l’élection présidentielle ont séduit deux France bien distinctes, celle des villes pour Emmanuel Macron et celle des campagnes pour Marine Le Pen.

  • Atlantico - Christophe Guilluy : "La posture anti-fasciste de supériorité morale de la France d'en haut permet en réalité de disqualifier tout diagnostic social"

    La qualification pour le second tour d'Emmanuel Macron et de Marine Le Pen a mis en exergue la défiance de plus en plus forte des Français vis-à-vis de la politique et des partis traditionnels. Pour éviter l’arrivée au pouvoir de partis populistes, les élites politiques, intellectuelles et médiatiques seraient bien inspirées de se reconnecter avec les classes populaires.

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  • Libé - Thomas Piketty : «Plus le score de Macron sera fort, plus il sera clair que ce n’est pas son programme que nous accréditons»

    L’économiste, qui a soutenu Hamon, appelle à voter en masse pour le leader d’En marche afin de montrer que c’est un choix contre le FN et non pour son libéralisme. Il estime que si l’ex-ministre de l’Economie est élu, il devra faire des gestes vers la gauche, notamment sur l’Europe, pour ne pas être contraint de donner des gages aux nationalistes.

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  • J-C Cambadélis (PS) : « Marine Le Pen ne gagnera pas, mais il faut la mettre le plus bas possible »


    J-C Cambadélis (PS) : « Marine Le Pen ne... par rfi

  • Le Monde - Gouverner par ordonnance, ça veut dire quoi ? Par Eléa Pommiers

    S’il est élu président de la République, Emmanuel Macron envisage de mettre en œuvre certaines de ses principales mesures par ordonnance. Explications.

    Emmanuel Macron promet d’aller vite. S’il est élu le 7 mai, il veut agir dès l’été pour mettre en œuvre l’un des points clés de son programme, la réforme du droit du travail. « Par ordonnances, pour procéder de manière rapide et efficace », a-t-il précisé le 9 avril dans un entretien au Journal du dimanche.

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  • Marianne - Législatives : le PS empêtré dans ses candidatures macronistes et socialistes

    A Solférino, on pense déjà aux élections législatives. Et on fait preuve d'une grande créativité pour éviter de se fâcher avec les équipes d'Emmanuel Macron et les socialistes tentés par l'aventure En Marche.

    Passé l'émoi suscité par la qualification de Marine Le Pen au second tour de l'élection présidentielle, le PS pense aux législatives. Etape simple si la candidate du FN est élue, véritable nœud gordien pour Solférino en cas d'élection d'Emmanuel Macron. "Si Le Pen gagne, la bulle Macron explose pour les législatives et le PS marche d'un seul pas pour être dans l'opposition. Par contre si c'est Macron… Aujourd'hui, on ne peut pas partir sur une stratégie précise", résume un cadre du parti.

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