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Infirmiers en "pratique avancée" - Question de Jérôme Lambert
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PS - Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté
Jeudi 17 octobre 2019, c'était la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté.
Nous avons interrogé Yannick Vaugrenard, sénateur, spécialiste des questions de lutte contre la pauvreté. -
Libé - Municipales : à gauche, oui ou non à l’union ?
Des socialistes moins hégémoniques depuis 2017, des insoumis moins sûrs d’eux après la claque des européennes, des écologistes qui cognent un peu moins sur leurs concurrents… Mais toujours des egos, des rancœurs et des ambitions. La gauche peut-elle s’entendre pour rebondir aux élections de mars ?
Une sorte de marronnier. La question se pose inlassablement à chaque fois qu’une élection pointe son nez : la gauche va-t-elle s’unir ? Les municipales approchent et la réponse reste en suspens. Les tractations se multiplient entre les chefs de famille et les concernés dans les grandes et petites villes. Chaque patelin a sa vérité. Parfois, la gauche se parle et s’allie. D’autres fois, elle s’affronte et s’abîme. Premier constat à cinq mois du scrutin : la dynamique n’est pas folle.
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PS : Le Zap'Pol | 18 octobre 2019
La fin des étiquettes dans les petites communes pour les élections municipales, le rejet de la candidature de Sylvie Goulard et les agressions envers les couples homosexuels : trois sujets qui ont fait l'actualité cette semaine que Kenza, salarié du Parti socialiste, décrypte pour vous dans le #ZapPol de ce vendredi 18 octobre.
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Olivier Faure : LCP 17.10 - Retour sur la polémique du voile
Une mère de famille qui accompagnait des élèves de CM2 lors d’une sortie scolaire au conseil régional à Dijon a été prise à partie verbalement vendredi 11 octobre 2019 par un élu du rassemblement national.
Olivier Faure, invité de LCP, revient sur cette polémique.
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Colère des pompiers - Question d'Alain David
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Passons à l'action pour protéger les Kurdes - Question de Boris Vallaud
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Olivier Faure sur Europe 1 le 16 octobre
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L'actualité des socialistes du 4 au 10 octobre
PS
Libé - Hervé Saulignac (PS) : «J’aimerais faire un jour 100% aux élections»
Ils font partie des nouveaux visages de la politique française mais demeurent méconnus du grand public. Chez Pol part à leur rencontre. Aujourd’hui, le député PS de l'Ardèche, Hervé Saulignac.
ITALIE
Fondation Jean Jaurès - L’Italie et son Parlement
Le constitutionnaliste Jean-Philippe Derosier, professeur de droit public à l’université de Lille, auteur du blog La Constitution décodée, consacre sa troisième contribution d’une série réalisée en partenariat avec L’Hétairie à la révision constitutionnelle, en Italie, tendant à réduire le nombre de parlementaires. Un débat qui trouve un écho de l’autre côté des Alpes.
Le 8 octobre 2019, la Chambre des députés italienne vote définitivement une révision constitutionnelle tendant à réduire le nombre de parlementaires.
Les articles 56 et 57 de la Constitution prévoient respectivement 630 députés et 315 sénateurs (à ces derniers s’ajoutant les anciens présidents de la République, membres de droit, ainsi qu’un maximum de cinq sénateurs nommés à vie par le président de la République, pour avoir « distingué la patrie de leurs très hauts mérites dans le secteur social, scientifique, artistique et littéraire ». La révision prévoit d’en réduire les effectifs à 400 députés et 200 sénateurs (auxquels s’ajouteront encore les sénateurs à vie), soit une réduction de 36,5 %.
C’est un débat que l’on connaît également en France, où une réforme initiale proposait de réduire de 30 % le nombre de parlementaires, tandis qu’un projet de loi organique est actuellement sur le bureau de l’Assemblée nationale, prévoyant d’abaisser ce nombre de 25 %.
Ce léger changement ne modifie en rien la position que l’on a déjà exprimée sur le sujet : une telle réduction asphyxierait la représentation parlementaire française et mènerait notre démocratie parlementaire à l’embolie.
ETATS UNIS
Le Vent se lève - La guerre larvée au sein du Parti démocrate
À l’image des divisions politiques et stratégiques qui traversent le parti démocrate, un nombre record de candidats briguent l’investiture pour la présidentielle de 2020. De vingt-quatre en avril, ils sont encore une douzaine à faire campagne à cinq mois du premier scrutin. Trois candidats font la course en tête : le centriste Joe Biden, la sociale-démocrate Elizabeth Warren et le socialiste Bernie Sanders. Par Politicoboy.
Pour comprendre les difficultés du Parti démocrate et les particularités de cette primaire, il faut revenir quatre ans en arrière.
En 2016, Hillary Clinton mobilise ses réseaux d’influence pour s’assurer du soutien de la machine démocrate. Barack Obama, les cadres du parti, la presse libérale et l’appareil financier font bloc derrière sa candidature. Ses principaux adversaires jettent rapidement l’éponge. Joe Biden est vivement encouragé à rester sur la touche – « Vous ne réalisez pas ce dont ils sont capables, les Clinton essayeront de me détruire » confira-t-il en off. À gauche, Elizabeth Warren renonce à se présenter et apporte son soutien à Hillary Clinton.
GRETA
Pour Danièle Langloys, présidente de l’association Autisme France, ces critiques sont emblématiques d’une méconnaissance de ce trouble.
La jeune militante écologiste Greta Thunberg est la cible d’attaques régulières. Au-delà de ses positions politiques, de son physique, de son sexe, ou de son jeune âge, son handicap aussi est ciblé. Greta Thunberg est atteinte du syndrome d’Asperger, une forme légère de trouble autistique qui rend, notamment, les interactions sociales plus difficiles.
Certains de ses détracteurs la qualifient ainsi « d’enfant illuminée » qui serait « au bord de l’effondrement psychiatrique », à l’instar du médecin urologue et essayiste Laurent Alexandre. D’autres l’accusent d’être froide et distante ou même d’être incapable d’émotions, comme le journal Causeur qui la compare à un « automate ».
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PS - Trois questions à Frédéric Dabi, directeur adjoint de l'Ifop
Nous avons posé trois questions à Frédéric Dabi, directeur adjoint de l'Ifop, sur la crise démocratique dans laquelle nous sommes, de ses raisons et de la disparition, ou pas, du clivage gauche-droite dans l'électorat.
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Un Ministre face à la terreur - C à Vous - 09/10/2019