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Présidentielle 2017 : "Arnaud Montebourg ne veut pas laisser s'installer l'idée qu'il improvise ...
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Arnaud Montebourg en route vers la présidentielle?
Arnaud Montebourg en route vers la présidentielle? par BFMTV -
Christian Paul: "Arnaud Montebourg figure parmi les alternatives" pour 2017
Christian Paul, invité de Jean-Jacques Bourdin ce jeudi sur BFMTV et RMC, a évoqué ses préférences concernant le candidat du Parti socialiste pour l'élection présidentielle de 2017. Pour le député de la Nièvre, la candidature de François Hollande "n'est pas celle qu'il privilégie". S'il refuse d'exprimer une préférence, il estime tout de même "qu'Arnaud Montebourg figure parmi ceux qui peuvent incarner une alternative à ce que nous vivons". Christian Paul en a également profité pour envoyer une pique au ministre de l'Economie Emmanuel Macron, qui "se consacre davantage à la présidentielle qu'à sa responsabilité ministérielle".
Christian Paul: "Arnaud Montebourg figure parmi... par BFMTV -
L'actualité des socialistes du 29 avril au 5 mai (revue de presse hebdomadaire)
A LA UNE : MONTEBOURG
Francetvinfo - 13h15 le dimanche. Que cherche Arnaud Montebourg ?
Ancien député de Saône-et-Loire (1997-2012), ex-ministre du Redressement productif (2012-2014) et de l'Economie (avril-août 2014), Arnaud Montebourg, 53 ans, est en retrait de la vie politique depuis son départ du gouvernement. Cet avocat de profession était arrivé en troisième position du premier tour de la primaire socialiste pour l'élection présidentielle de 2012, derrière François Hollande et Martine Aubry.
Libé - Montebourg prépare le terrain pour 2017
S’agit-il des premiers jalons d’un come-back ? L’ancien ministre de l’Economie Arnaud Montebourg a assuré ce dimanche sur France 2 que «s’il y a des responsabilités à prendre» en vue des échéances électorales de 2017, il les prendra, même si « le moment n’est pas venu ». Cette déclaration intervient à huit jours de sa traditionnelle ascension du mont Beuvray, en Bourgogne, pour le lundi de Pentecôte. Un rendez-vous pris en 2014 et qui lui permet de rassembler ses soutiens militants.
REFLEXIONS ET ANALYSES
OFCE - La question des minima sociaux , 28 avril 2016, par Henri Sterdyniak
Fin 2014, 4,1 millions de personnes recevaient en France un minimum social, ce qui représentait au total 7,1 millions de bénéficiaires en tenant compte des personnes à charge (enfants ou conjoints), soit près de 11 % de la population. En même temps, le taux de pauvreté reste élevé (13,3 % en 2014 selon Eurostat) et ne montre pas de tendance à la baisse. Pourtant, certains dénoncent le « cancer de l’assistanat », d’autres proposent de diminuer de façon importante le montant des prestations pour creuser l’écart avec les revenus d’activité. Le débat sur les minimas sociaux est donc important et on ne peut que se réjouir de la parution du rapport de Christophe Sirugue : « Repenser les minima sociaux, vers une couverture socle commune ». Celui-ci préconise la fusion à terme des minimas sociaux en une couverture socle commune, ouverte aux 18-25 ans. Nous voudrions ici discuter de cette proposition[1]. Par ailleurs, le rapport ne traite pas de la situation des enfants (qui connaissent pourtant des taux de pauvreté élevés) ; il ne discute ni le montant, ni les modalités d’indexation des prestations.
TAFTAGreenpeace Pays-Bas dévoile aujourd’hui environ les deux tiers du texte confidentiel [EN] des négociations du traité de libre-échange entre l’Europe et les États-Unis, confirmant les pires craintes sur ce qu’il recèle en termes de menace pour l’environnement et la santé et révélant la pression exercée par les négociateurs américains.Les 248 pages de documents de négociations du Tafta révélés lundi 2 mai par l'ONG Greenpeace donnent un accès inédit à l'état véritable des négociations entre Europe et Etats-Unis. La plupart des 16 documents de la fuite datent en effet de février ou de mars 2016, entre le douzième et le treizième cycle de négociations. Voici, pêle-mêle, ce qu'ils nous apprennent (attention, c'est parfois technique !).Au lendemain de la divulgation de documents révélant l’avancée des discussions sur le Tafta, le président, François Hollande, a déclaré, mardi 3 mai, que « la France, à ce stade » des négociations disait « non » au traité de libre-échange atlantique. « Nous ne sommes pas pour le libre-échange sans règle », a-t-il assuréLes Etats-Unis ont dénoncé lundi des interprétations "trompeuses" après la fuite de documents sur le traité de libre-échange négocié avec l'Union européenne (TTIP), assurant que cet accord "n'affaiblirait pas" les règles de protection sanitaires et environnementales. Côté français, le secrétaire d'Etat au Commerce extérieur Matthias Fekl pour sa part laissé plané le doute, mardi matin, sur l'avenir du TTIP, affirmant que l'arrêt des négociations semble désormais "l'option la plus probable".Le projet d’accord de libre-échange transatlantique entre l’Europe et les Etats-Unis, désigné par les acronymes Tafta et TTIP, est à un tournant de son histoire. Les discussions, entamées il y a près de trois ans, sont enkystées par la conjonction d’une opposition grandissante de l’opinion publique européenne et de désaccords patents entre Bruxelles et Washington sur quelques-uns des chapitres de négociation les plus fondamentaux. Un treizième « round » de négociations s’ouvre lundi 25 avril à New York.La quatrième conférence environnementale, qui s’est tenue lundi 25 et mardi 26 avril, devait être l’occasion pour le gouvernement de « rendre des comptes » sur son bilan en matière d’écologie. Depuis le début de son mandat, en 2012, la politique environnementale de François Hollande a été émaillée de grands rendez-vous, tout en suscitant une déception croissante. Tour d’horizon des principales avancées… et des promesses non tenues.EUROPE
Il y a quelque chose de pourri en Europe. Un vent fétide. Un souffle de mauvais augure. Dimanche 24 avril, l’extrême droite du FPÖ est arrivée en tête au premier tour de l’élection présidentielle autrichienne, avec 36,4 % des suffrages. Le mouvement n’avait pas enregistré un tel score depuis la seconde guerre mondiale. L’humiliation des partis traditionnels est totale. Norbert Hofer, le candidat du FPÖ, offre le visage amical d’une extrême droite décomplexée sur la forme. Sur le fond, elle reste âprement xénophobe, islamophobe, eurosceptique.HOLLANDEAlors que la droite l'accuse de faire des "cadeaux" à ses potentiels électeurs, le Parti socialiste a lancé ce lundi une campagne "Du progrès en plus".
François Hollande l’annonçait lors de son intervention télévisée sur France 2 le jeudi 14 avril lors de l’émission Dialogues Citoyens : "Ça va mieux". Le chef de l’État expliquait que la reprise était là et que les réformes du quinquennat commençaient enfin à porter leurs fruits.
MACRON
La Tribune - Comment Macron se prépare pour 2017
Une note sénatoriale confidentielle que La Tribune a pu consulter dresse la liste des soutiens probables au ministre de l'Economie au cas où celui-ci se présenterait à l'élection présidentielle.
LCP - Pour Carvounas (PS), "Macron veut être candidat à l'élection présidentielle"
Chez les soutiens de Manuel Valls, les intentions d'Emmanuel Macron ne font plus aucun doute. Invité vendredi dans Parlement hebdo, le sénateur du Val-de-Marne Luc Carvounas a jugé qu'une future candidature à l'élection présidentielle d'Emmanuel Macron ne faisait plus l'ombre d'un doute. Une histoire de "quelques semaines", selon lui.
GRECE
La Tribune - Grèce : l'impossible résistance d'Alexis Tsipras
La discussion entre la Grèce et ses créanciers n'en finit pas de s'étirer. La fin de la « première revue » du troisième mémorandum semble encore loin. Ce mardi 3 mai, les responsables des deux camps ont repris contact, après la pause de la pâque orthodoxe, pour tenter d'avancer. Mais, selon le quotidien grec Kathimerini, un accord est peu probable lors de la réunion de l'Eurogroupe du lundi 9 mai prochain. Il faudra donc encore attendre.
L'APPEL DES 100
Le JDD - "1er Mai, l’appel des 100" : à gauche du PS, on bouge encore
Encore une nouvelle initiative à gauche du PS. "1er mai, l'appel des 100" sortira dans les jours à venir et se veut le début d’une alternative au PS en vue de la présidentielle et des législatives de 2017. Il est signé par des syndicalistes, des associatifs et des politiques d'EELV, du PCF et du PS. "Sans le dire, cela signe aussi la fin de la primaire" et le non-adoubement de Mélenchon, confie l’un des signataires.
PS (communiqués)
Le Parti socialiste se félicite que le président de la République ait dit non en l’état au Tafta
Lors du colloque organisé par la Fondation Jean-Jaurès, Terra Nova et la Fondation européenne d’études progressistes, le président de la République a tenu à inscrire son action dans la conquête progressiste toujours portée par la gauche.
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Présidentielle : "S'il y a des responsabilités à prendre, je les prendrai", prévient Arnaud Montebourg
VIDEO. 13h15. Arnaud Montebourg : "S'il y a des responsabilités à prendre, je les prendrai" -
L'actualité des socialistes du 15 au 21 avril
A la une
LE PLUS. La situation se complique sérieusement pour François Hollande et le Parti socialiste. Échecs électoraux à répétition, sondages extrêmement défavorables, fédérations en mal d'adhérents et de cotisations, fractures idéologiques... Les difficultés sont nombreuses. Militante socialiste, Charlotte Picard adresse une lettre ouverte au Premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis.
Le Monde - L’élimination de Hollande au premier tour, en 2017, est « un risque majeur »
Il fut l’un des rares à avoir perçu le risque du 21 avril 2002. Analyste politique, proche du PS, Gérard Le Gall, qui dans la Revue politique et parlementaire a récemment décrit le scrutin régional de décembre comme des « élections de confirmation », décrypte l’opinion à
un an de la présidentielle.Kamel Daoud a reçu jeudi dernier le prix Jean-Luc Lagardère du journaliste de l’année pour ses chroniques parues dans le Point et dans le Quotidien d’Oran. Paradoxe : l’écrivain algérien a été distingué au moment même où il annonçait son retrait du journalisme. Affecté par les polémiques acerbes qui ont suivi la publication de son analyse des événements de la Saint-Sylvestre à Cologne, Kamel Daoud préfère désormais se consarer entièrement à la littérature. Traduit dans de nombreux pays, son roman Meursault Contre-Enquête a remporté plusieurs distinctions après avoir manqué » d’une voix le prix Goncourt.REFLEXIONS
Vincent Présumey - Voile islamique et lutte mondiale des classes.
Dans ce 3° article formant un ensemble avec les deux précédents, on revient sur la lutte des classes en France, dans le monde, et on finit par une défense de la laïcité et de l'autonomie individuelle.
Printemps 2016, France. Nous assistons à un nouveau « spasme à la française », comme écrivait autrefois Alain Minc. Plein de tradition nationale et d'atavisme républicain (atavisme, au bon sens du terme, non au sens de l'hérédité ! ), car depuis la victoire du 10 août 1792 la France connaît des poussées vers la « journée » où le mouvement général des exploités et opprimés, se groupant dans l'aspiration à la démocratie, cherche à affronter le pouvoir.
Slate - Le PS et les Républicains en voie de décomposition avancée
.... Le printemps républicain, c’est la laïcité et l’égalité homme-femme contre la menace islamiste. Ce qui est nouveau à gauche, tant les partis de gauche, à commencer par le PS, ont fui et continuent de fuir cette question, par électoralisme, ambiguïté ou tout simplement désarroi. C’est au fond le premier mouvement politique post-attentats, qui apporte une réponse idéologique –forcément discutable– mais une réponse, aux débats qui ont suivi le tragique mois de janvier 2015, quand les institutions politiques et partisanes se sont concentrés sur les réponses sécuritaires (loi renseignement ou état d’urgence).
Pour Marcel Gauchet, les Français n'acceptent qu'à reculons le modèle néolibéral, mondialisé, individualiste. Le seul moyen de sortir du « malheur français » serait de construire des institutions publiques performantes. Mais les responsables politiques actuels ne sont pas à la hauteur de l'enjeu...
The Conversation - Loi travail : précarité de l’emploi et précarité de l’entreprise
Il faut espérer que la contestation de la loi El Khomri permettra de renouveler en profondeur le débat sur le travail en France. On pourrait attendre ainsi que la sécurisation individuelle des parcours professionnels cède la place à une véritable sécurité sociale industrielle visant à développer les capacités collectives d’innovation que requiert l’urgence climatique, ou la montée de la dépendance liée au vieillissement de la population. En effet, le problème n’est pas de renforcer la négociation d’entreprise au détriment de la loi, il est d’élaborer les conditions légales d’une refondation de l’entreprise en intégrant l’expression de ses salariés. Dans cette démarche, il reste à imaginer des outils nouveaux qui, prolongeant l’action renforcée des comités d’entreprise, permettraient d’envisager la définition de collectivités de travail cohérentes en regard de leurs activités productives. Ce serait l’occasion de revoir les multiples formes prises par une sous-traitance qui marque moins la victoire de l’esprit d’entreprise, que le retour au marchandage du XIXe siècle.
PRIMAIRE
Libé - A gauche, une irresponsabilité primaire
«Unité !» qu’ils disaient… En l’espace d’un week-end, une partie des responsables politiques de gauche vient d’apporter la preuve de son irresponsabilité. C’est d’abord le Parti communiste qui explique être d’accord pour participer à une primaire, mais pas pour soutenir François Hollande s’il la gagne. C’est ensuite la direction du Parti socialiste, et en tête son premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, qui prend prétexte de cette position du voisin de la place du Colonel-Fabien pour affirmer que le PCF «prend la responsabilité de la division», alors que jamais il n’a accepté le principe d’un «socle» de propositions communes censé «rassembler» une famille de gauche aujourd’hui fâchée.
Le Figaro - Cambadélis : «La primaire de la gauche a du plomb dans l'aile»
«Là, je dois avouer que ce matin, la primaire a du plomb dans l'aile.» Sur le plateau de LCI, le patron du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a jeté lundi la première pelletée de terre socialiste sur le projet de primaire à gauche, réclamé par les déçus du hollandisme. Pourtant, le député de Paris l'assure, le PS - partisans du chef de l'Etat compris - a mis toute la bonne volonté du monde dans l'organisation de cette primaire: «On a commencé en disant: “C'est la primaire de toute la gauche”. Jean-Luc Mélenchon est parti, on nous a dit: “C'est pas grave, on va faire avec les autres.” On s'est dit: “Pourquoi pas, si ça permet de sélectionner un candidat”. (…)Tout le monde au Parti socialiste était d'accord, y compris les frondeurs, pour une fois nous avons voté une résolution à l'unanimité.»
Libé - Primaire à gauche : «C’est possible que ce soit impossible mais dites-le nous!»
Pour le dernier débat du Forum organisé par «Libération», la question désormais vitale de cette initiative de primaire a gauche a été posée : comment avancer si les partis politiques se sont engagés dans l’opération pour mieux la torpiller ?
LAICITE
Le Temps - «Pour une certaine gauche, les musulmans sont les nouveaux damnés de la terre»
L’extrême gauche genevoise se déchire sur l’islam et la laïcité? Un phénomène qui traverse l’ensemble de la gauche, explique le politologue français Laurent Bouvet
Professeur de théorie politique à l’Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, Laurent Bouvet est un des leaders de la Gauche populaire, un mouvement proche du Parti socialiste français, qui plaide pour la reconquête des couches populaires. Pour Le Temps, il analyse le divorce, à gauche, entre multiculturalistes et républicains laïcs.
Libé - Gilles Kepel: «Il faut écouter les prêches du vendredi»
La controverse qui m’oppose ainsi que bien d’autres chercheurs arabisants (1) à Olivier Roy et ses épigones n’est pas personnelle : elle interroge la validité épistémologique de la recherche, qui en retour détermine l’interprétation la plus exacte possible d’enjeux cruciaux pour notre société. Face à l’effondrement de la crédibilité de la caste médiatico-politicienne, à la papardelle d’experts instantanés qui envahissent les plateaux télé et aux gesticulations électoralistes dans la perspective des échéances de 2017, l’université redevient une référence car elle rationalise des questions anxiogènes, propices à tous les dérapages. Ce débat doit être mené publiquement, il en va de la responsabilité sociale des universitaires. L’invective («Kepel est un Rastignac»), outre que tout ce qui est excessif est insignifiant, et que le sexagénaire que je suis est flatté par pareille cure de jouvence balzacienne, ne fait que trivialiser les enjeux pour mieux les occulter.
Depuis des années, tout le monde parle du voile, de plus en plus de personnes portent le voile, pas seulement à Bamako ou au Caire, mais aussi à Londres, Paris ou New York. Symbole religieux ou signe religieux? Que signifie ce carré de tissus qui met la planète en émoi? Intrigué par autant de questions, j'ai décidé de consacrer quelques semaines de mes vacances à compulser les livres d'histoire religieuse pour remonter aux racines du signe, pour ne pas dire du mal.Et là, en remontant au plus loin des traces écrites des civilisations antiques, en fouillant dans les annales des histoires sumériennes, j'ai découvert avec stupéfaction que le voile découle à l'origine d'une illusion optique.
En effet, une croyance sémitique très ancienne attestée en Mésopotamie, considérait la chevelure de la femme comme le reflet de la toison pubienne!
SECRET DES AFFAIRES
.... Une directive très critiquée, notamment par les journalistes et les lanceurs d’alerte, qui y voient une menace sérieuse contre la liberté d’informer. Mais malgré une pétition signée par plus de 500 000 personnes, les députés européens ont voté à une très large majorité (77 %) le texte proposé par la Commission européenne.NUIT DEBOUT
La commission Démocratie s’est donné rendez-vous à 16 heures, place de la République à Paris, mercredi 20 avril. Sous un grand soleil, les militants se retrouvent pour discuter de la construction des « outils démocratiques » de Nuit debout. Et ce n’est pas tâche aisée : avant même de lancer la réunion, le rappel de l’ordre du jour provoque déjà des débats. Doit-on prendre le temps de tout réexpliquer aux « nouveaux » qui n’étaient pas là la veille ? « Cela me paraît très compliqué, cette discussion… », soupire déjà un participant.Libé - Nuit debout : à la Bourse du travail, l'étape d'après reste en suspens
Réunis mercredi soir dans le Xe arrondissement de Paris, les initiateurs de la contestation populaire ne sont pas parvenus à donner une perspective au mouvement.
Slate - En expulsant Finkielkraut, Nuit Debout tombe dans le piège du déjà vu
Quoiqu'on pense de ses prises de position, ce qui est arrivé au philosophe place de la République samedi soir rappelle la violence politique exercée par les maos après Mai 68.
Telos - Nuit debout, gouvernement couché? Monique Dagnaud Olivier Galland 13 avril 2016
Merci, François Ruffin, pour ce moment ! Que l’on soit sensible à la musique de l’extrême-gauche ou pas, le documentaire Merci, patron, de François Ruffin, fondateur en 1999 du journal alternatif Fakir, « le journal fâché avec tout le monde, l’oligarchie, la finance, les médias », restera dans les mémoires comme une performance, dans les deux sens.SONDAGEFrançois Hollande serait talonné par Jean-Luc Mélenchon au 1er tour de la présidentielle de 2017, selon un sondage TNS Sofres-OnePoint pour Le Figaro, LCI et RTL. Emmanuel Macron serait de son côté le candidat préféré des Français pour représenter le PS.ACTUALITESLe sort du premier secrétaire du PS est lié à celui de l'actuel locataire de l'Elysée. Une défaite de ce dernier en 2017 et la direction du parti serait quasi mécaniquement remise en cause.Le Monde - Emmanuel Macron dit ne pas être « l’obligé » du président
Le ministre de l’économie marque une nouvelle fois son émancipation vis-à-vis du gouvernement. Porté par des sondages flatteurs, Emmanuel Macron multiplie les initiatives médiatiques, alimentant les doutes quant à ses intentions pour 2017. Dernière sortie en date, dans une interview au Dauphiné libéré, à paraître vendredi 22 avril, Emmanuel Macron se dit « loyal sur le plan personnel » au président de la République, mais il estime que sa nomination par François Hollande n’en fait pas « son obligé ».Le nombre de militants au Parti socialiste ? "Encore une courbe que l'on n'est pas prêts d'inverser", souffle un élu socialiste dépité. La formation politique fait face à une véritable hémorragie des adhésions depuis le début du quinquennat de François Hollande. En 2014 pourtant, le premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, s'était fixé l'ambitieux objectif de multiplier leur nombre par trois pour atteindre les 500.000 militants en 2017.Le Monde - Nucléaire : François Hollande refuse de remettre en cause le projet Hinkley Point
L’Etat a du mal à régler le très délicat dossier EDF. La réunion interministérielle, mercredi 20 avril, à l’Elysée, sous la présidence de François Hollande, n’a pas permis de rendre les arbitrages attendus. Avant d’arrêter ses décisions sur l’avenir de la compagnie électrique publique, dont la situation financière est tendue, le président de la République a souhaité bénéficier d’éclairages complémentaires. « L’équation n’est pas encore résolue, on se donne un peu plus de temps que prévu », dit un proche du dossier à l’Elysée.Le président du mouvement des Jeunes Socialistes était, ce lundi 18 avril, l’invité de la matinale des Echos.Benjamin Lucas revient sur l'échange, la semaine dernière, entre le Président de la République et les citoyens sur France 2 concernant, notamment, la situation de la jeunesse en France.
Si Manuel Valls irrite une partie des parlementaires socialistes, il en va de même avec les eurodéputés du parti de la rue de Solférino. Le 12 avril, le Premier ministre s’est rendu au Parlement européen et est intervenu devant la délégation française du groupe socialiste. Une intervention restée en travers de la gorge de l’eurodéputée PS Pervenche Berès, également présidente de la délégation socialiste française à Strasbourg. -
L'actualité des socialistes du 29 février au 13 mars
A la une
La Croix - Pouria Amirshahi : « La rupture des jeunes avec la gauche est flagrante»
Pouria Amirshahi, député socialiste des Français de l’étranger, à l’initiative du courant contestataire des frondeurs, était l’invité de « Face aux Chrétiens » le jeudi 3 mars, en partenariat avec La Croix, KTO, Radio Notre-Dame et RCF. Principaux extraits.
Du 4 au 6 mars
Le figaro - Cambadélis lance un «appel des 40» pour «l'unité» de la gauche
Œuvrant depuis plusieurs mois à la mise en place d'une «Alliance populaire» afin de rassembler son camp, le premier secrétaire du PS a mis une première pierre à l'édifice qu'il entend construire.
L'Obs - Cambadélis lance un appel à l’unité du PS
Fidèle à sa mission de rassembleur, et soucieux de conforter une culture du "compromis" trop souvent inexistante à gauche, le Premier secrétaire du PS lance un "appel à l’unité" pour "apaiser le PS à l’intérieur" et le "dépasser à l’extérieur".
2 et 3 mars
TVmag - France 5 organise un «Duel» entre Martine Aubry et Ségolène Royal
Le combat des roses. Dans le cadre de sa série documentaire Duels, France 5 diffuse jeudi 10 mars Aubry-Royal, la guerre des roses.
Ce document de 52 minutes, dirigé par Annick Cojean, produit par Elephant Doc et réalisé par Maud Guillaumin, retrace le parcours de deux femmes du même âge, deux énarques qui se sont imposées dans un univers d'hommes pour se faire une place en politique. Elles auraient pu être amies ou alliées, affirment certains de leurs proches, qui interviennent dans le film, où les images d'archives semblent étrangemment contemporaines.
#SOLFERINOLOGIE - La majorité de Jean-Christophe Cambadélis n'est plus du tout assurée rue de Solférino. Avec le départ annoncé "des aubrystes de la majorité", ce sont des discussions plutôt houleuses qui s'annoncent. Et tout cela moins d'un an après le congrès de Poitiers et le sacre de Jean-Christophe Cambadélis.
Le JDD - Les proches de Martine Aubry vont quitter la direction du PS
C'est Martine Aubry qui l'annonce dimanche dans le JDD : "Nous allons sortir de la direction du PS, nous souhaitons en discuter avec Jean-Christophe Cambadélis."
29 février et 1er mars
L'Obs - Le Parti socialiste peut-il vraiment exploser ?
"Nous sommes face à plusieurs inconnues", commente Alain Bergounioux, historien et responsable socialiste. Il appelle François Hollande à "choisir une direction".
Le JDD - François Hollande, une semaine dans la solitude du pouvoir
François Hollande – que son camp veut contraindre à une primaire s’il entend être candidat en 2017 – exclut que la gauche, d’ici là, choisisse de "ne rien faire".
François Hollande, qui a retrouvé Paris au terme d'un déplacement de 46.000 km et de près d'une semaine à l'autre bout du monde, de Papeete à Montevideo, vit ces jours-ci la solitude, parfois écrasante, du pouvoir. Jamais, en effet, depuis son élection, il n'avait vu se lever en si peu de jours autant d'orages. Au terme de son quinquennat, le Président se souviendra de la semaine qu'il vient de vivre comme d'une période clé pour son avenir et celui du pays. Un de ces tournants où l'Histoire hésite encore.
Le JDD - Macron : "La loi travail parle au pays d'aujourd'hui"
INTERVIEW - Licenciements économiques, plafonnement des indemnités prud'homales... Dans un entretien accordé au JDD, Le ministre de l'Economie, Emmanuel Macron, défend la réforme du code du travail portée par Myriam El Khomri et revient sur les principaux points contestés.
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L'actualité des socialistes du 18 au 31 janvier (mise à jour)
A la une
Le Point - Présidentielle: l'aile gauche du PS veut une primaire des gauches
Les dirigeants de l'aile gauche du PS ont approuvé à l'unanimité samedi un texte appelant le parti à participer à l'organisation d'une primaire pour désigner le candidat de la gauche à la présidentielle de 2017, a affirmé à l'AFP leur chef de file Christian Paul.
Le Figaro - Primaire à gauche: les frondeurs montent au créneau
L'aile gauche du Parti socialiste se retrouve samedi pour appuyer l'idée d'une primaire pour désigner un candidat à la présidentielle de 2017. Une pierre dans le jardin de François Hollande.
Nouvelle offensive de l'aile gauche du PS, quelques jours après la démission fracassante de Christiane Taubira de son poste de garde des Sceaux, sur fond de «désaccord politique majeur» avec François Hollande et Manuel Valls à propos de la déchéance de nationalité. Ce samedi, à Paris, les frondeurs et l'aile gauche du PS se retrouvent à l'Assemblée nationale pour évoquer cette révision de la Constitution voulue par le chef de l'État et qui a mis le feu aux poudres à gauche. Et surtout pour appuyer l'organisation d'une primaire de la gauche et des écologistes en vue de désigner le candidat pour 2017.
LE CHANGEMENT, ON OUBLIE – Le changement promis par François Hollande en 2012, et qui devait être "maintenant", n’est jusqu’ici jamais venu pour toute une aile gauche du Parti socialiste. Des "frondeurs" qui bataillent depuis 2013 pour tenter d’obtenir une réorientation de la politique économique du gouvernement. En vain. Et plus encore depuis l’arrivée à Matignon de Manuel Valls.
29, 30 et 31 janvier
Le Monde - Le PS désavoué par ses électeurs
Le documentaire d’Henry Marquis et Jean-Baptiste Predali analyse les raisons d’une défiance qui n’a jamais été aussi forte
Toutes les enquêtes d’opinion montrent que les Français jugent leurs élus nationaux éloignés d’eux, formant une caste dont le souci n’est pas d’améliorer leur quotidien, mais de se faire élire. Jamais la défiance à l’encontre des représentants politiques n’a été aussi forte. Le Parti socialiste est le premier à pâtir de la crise que traverse notre culture démocratique, affirment Henry Marquis et Jean-Baptiste Predali, auteurs d’un documentaire incisif intitulé Profession socialiste.
POLITIQUE La tenue d’une primaire à gauche est de plus en plus nécessaire, estime la gauche du PS après la démission de Christiane Taubira…
« Le gouvernement se rétrécit encore avec le départ de Christiane Taubira, explique à 20 Minutes la sénatrice PS Marie-Noëlle Lienemann. « Après le départ de la gauche sociale du gouvernement, c’est désormais la fin de la gauche sociétale », précise l’ancienne ministre.
La déchéance de nationalité divisent les socialistes. Alors que l'examen de la révision constitutionnelle doit débuter le 5 février prochain, Naza Mokhtary, secrétaire de la section PS d’entreprise du Sénat, et d'autres collaborateurs parlementaires auprès de sénateurs socialistes, dénoncent dans une tribune le revirement d'une partie importante de leur famille politique sur ce sujet
27 et 28 janvier
Le Monde - La loi Claeys-Leonetti sur la fin de vie définitivement adoptée
Le Parlement a définitivement adopté mercredi 27 janvier une proposition de loi PS-LR accordant de nouveaux droits aux personnes en fin de vie, plus de dix ans après la loi Leonetti de 2005.
Adoptée à l’issue d’un long et houleux processus d’élaboration entamé en 2012, elle ne constitue ni l’avancée décisive espérée par les partisans d’un « droit à mourir » ni le statu quo défendu par les pro-vie.
Le Monde - Avec le départ de Christiane Taubira, la ligne Valls se renforce
La démission de Christiane Taubira a été tant de fois prédite, et démentie par les faits, depuis le début du quinquennat de François Hollande que son annonce officielle, mercredi 27 janvier dans la matinée, constitue une véritable surprise. La ministre de la justice a donc décidé de jeter l’éponge alors que la réforme constitutionnelle qui prévoit l’introduction dans la loi fondamentale de la déchéance de nationalité arrive en commission des lois ce même jour, à l’Assemblée nationale
Le JDD - Taubira-Urvoas : les coulisses d'un remaniement express
En cinq jours, de samedi à mercredi, François Hollande et Manuel Valls ont opéré à un remaniement express qui a vu Christiane Taubira quitter la Place Vendôme. Son remplaçant, Jean-Jacques Urvoas, n'a eu confirmation de sa nomination dix minutes seulement avant la publication du communiqué de l'Elysée.
Francetvinfo - Christiane Taubira "absolument sûre" de ne pas être candidate à une primaire à gauche
La ministre de la Justice a remis sa démission, acceptée par l'Elysée, mercredi. Elle est remplacée par Jean-Jacques Urvoas, président de la commission des lois à l'Assemblée nationale.
Europe 1 - Urvoas à des députés PS : "Excusez-moi les gars, je suis garde des Sceaux"
Le nouveau ministre de la Justice a appris sa nomination devant des députés PS qui ont rapporté la scène.
Le nouveau ministre de la Justice Jean-Jacques Urvoas a eu confirmation de sa nomination mercredi matin, alors qu'il présidait une réunion entre députés PS de la commission des Lois avant la venue de Manuel Valls, a relaté Patrick Menucci.
Le JDD - Coup de tonnerre politique : Christiane Taubira démissionne
L'Elysée a annoncé mercredi matin par communiqué la démission de la ministre de la Justice, Christiane Taubira. François Hollande a convenu avec elle "de la nécessité de mettre fin à ses fonctions au moment où le débat sur la révision constitutionnelle s’ouvre à l’Assemblée nationale", mercredi, précise le texte. La garde des Sceaux, opposée à la déchéance de nationalité, est remplacée par le président de la commission des Lois, Jean-Jacques Urvoas.
Le député PS du Finistère a longtemps rêvé du ministère de l'Intérieur. Mais c'est à la justice qu'il a été nommé, mercredi, après la démission de Christiane Taubira
Le Lab - L’avis de la Haute autorité du PS qui condamne la déchéance de nationalité
La déchéance de nationalité n’a pas fini de creuser un fossé entre François Hollande et Manuel Valls d’un côté, et le Parti socialiste de l’autre. Il est de notoriété publique que Jean-Christophe Cambadélis n’y est pas farouchement favorable, comme une majorité des militants socialistes. Ils sont désormais confortés dans leur positionnement par la Haute autorité d’éthique du Parti socialiste.
Le Parisien - Anne Hidalgo, la frondeuse de l'Hôtel de Ville
Anne Hidalgo, qui présente aujourd'hui ses vœux à la presse, n'hésite pas à tenir la dragée haute à François Hollande et Manuel Valls.
"Objet : demande de déchéance de la nationalité française." Le courrier, que s'est notamment procuré L'Express, s'adresse à "Mr (sic) le président de la République française" : "Nous autres, Français de hasard, ne voulons plus être français tant que vous incarnerez cette idée de la France", peut-on y lire.
Le Parisien - Anonymous s'attaque au site du PS pour protester contre l'état d'urgence
Ils ont trouvé une nouvelle cible. Le site internet du PS était perturbé mardi en raison d'une «attaque par déni de service» revendiquée par le groupe de pirates informatiques Anonymous, qui entend protester contre les «abus» de l'état d'urgence.
L'Obs - Des amendements PS, écolos et LR pour supprimer la déchéance de nationalité
Le projet de révision constitutionnelle fait l'objet de 60 amendements qui seront examinés en commission mercredi et jeudi à l'Assemblée, des députés socialistes, écologistes et Les Républicains proposant notamment de supprimer la mesure controversée de déchéance de nationalité.
25 et 26 janvier
La réforme constitutionnelle décidée par François Hollande après les attentats de novembre ne devrait finalement pas comporter de "référence" à "la question de la binationalité", a déclaré lundi Bruno Le Roux, président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale.
"Je pense qu'il n'y aura pas de référence, dans la constitution, à la question de la binationalité", a déclaré M. Le Roux sur Europe 1.
Boursorama - Cambadélis appelle l'Europe à sortir de "l'ordolibéralisme doctrinal"
Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis appelle vendredi dans une tribune publiée sur le site du Monde à "sortir l'Europe de l'ordolibéralisme doctrinal" et à "repolitiser sa politique économique" pour lutter contre les nationalismes qui la minent.
Le Monde - Sauvons l’Europe en repensant son projet Par Jean-Christophe Cambadélis
L’Union européenne est devenue l’homme malade de l’Europe. Cette construction inédite se délite sous nos yeux. Pas seulement parce que la Pologne dérive à droite et dans le temps, ou parce que l’Espagne n’a toujours pas de gouvernement, ou encore parce que les Britanniques agitent la menace d’une sortie de l’Union. L’Europe est malade. Elle est atteinte de crises multiples non résolues dont la liste donne le tournis, et les conséquences la nausée. L’Europe peut disparaître.
22, 23 et 24 janvierInvité de France 24, le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, est revenu sur les différents terrains de guerre sur lesquels la France est engagée, notamment celui de la lutte contre l'organisation État islamique.Le JDD - Révision constitutionnelle : le PS veut la suppression du mot "race" de la Constitution
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis sera reçu par François Hollande vendredi après-midi. Selon plusieurs médias, il devrait en profiter pour rappeler au Président sa promesse de supprimer le mot "race" de la Constitution.
L'Obs - Carvounas (PS) favorable à une entrée d'EELV au gouvernement
Le sénateur PS Luc Carvounas, proche de Manuel Valls, s'est prononcé jeudi auprès de l'AFP pour une entrée d'EELV au gouvernement, dans le cadre d'un "accord de gouvernement" et d'un "pacte législatif".
L'Express - Galut (PS): Macron est "en partie déconnecté de la France"
Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron est "en partie déconnecté de la France" quand il veut réformer l'indemnisation du chômage, ou quand il juge que "la vie d'un entrepreneur est souvent plus dure que celle d'un salarié", selon le député PS Yann Galut.
20 et 21 janvier
Ce sont deux conceptions de la laïcité qui s’opposent. D’un côté, le premier ministre, Manuel Valls. De l’autre, Jean-Louis Bianco, le président de l’Observatoire de la laïcité. Et cette opposition est en train de virer à l’affrontement. Lundi 18 janvier, au cours d’une conférence-débat des Amis du Conseil représentatif des institutions juives de France, à Paris, M. Valls a déclaré que « l’Observatoire de la laïcité, qui est placé sous [sa] responsabilité […] ne peut pas être quelque chose qui dénature la réalité de cette laïcité ».Que renferme le concept de laïcité ? Le premier ministre, Manuel Valls, a sévèrement critiqué, lundi 18 janvier, lors d’une conférence des Amis du Conseil représentatif des institutions juives de France, les responsables de l’Observatoire de la laïcité – organisme rattaché à Matignon –, estimant que cette instance « ne peut dénaturer » les principes qu’elle doit défendre. Le rapporteur général de cet observatoire, Nicolas Cadène, s’en était pris à la philosophe Elisabeth Badinter, qui avait affirmé sur France Inter début janvier qu’il ne fallait pas avoir peur de se faire taxer d’islamophobe pour défendre la laïcité :Le Parisien - Pour le PS, la candidature de Hollande en 2017 n'est plus liée à la baisse du chômage
Invité dimanche de BFM Politique, Julien Dray, conseiller régional d' Ile-de-France, a estimé que les Français auront à juger de l'action de François Hollande dans son «ensemble». Si, bien entendu, «le chômage est un élément central», l'élection se jouera sur la capacité de François Hollande à donner une nouvelle «impulsion » au pays, à déclencher une «dynamique de confiance».
Libé - Laïcité : Manuel Valls crucifie la «ligne Bianco»
En critiquant vivement le président de l’Observatoire de la laïcité, qu’il juge trop conciliant avec les risques de dérives communautaires, le Premier ministre a relancé lundi un débat qui enflamme l’opinion publique, notamment vis-à-vis de l’islam.
Une victoire de la gauche est-elle conditionnée à une baisse du chômage en 2016 ?
Les Français ne jugeront pas la politique gouvernementale sur un aspect mais dans sa globalité : chômage, réduction des inégalités, refondation de l’école, sécurité et lutte contre le terrorisme. Je n’ai personnellement jamais conditionné une réélection aux résultats sur le chômage car on ne peut oublier le contexte : une croissance “molle” même si elle est de retour, l’automatisation de la production industrielle, et une démographie inégale par rapport à d’autres pays, c’est-à-dire une France qui voit plus de jeunes arriver sur le marché du travail. Le pari du Président n’est pas facile, mais je souhaite bien sûr qu’il réussisse.
Huffington Post- Quelles sont les trois portes de sortie du PS sur la déchéance de nationalité?
L'équation paraît insoluble. Comment le Parti socialiste peut-il sortir du guêpier de la réforme constitutionnelle en restant fidèle à ses valeurs sans entrer en contradiction avec les engagements du président de la République. Le premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis a lui-même convenu que l'extension de la déchéance de nationalité aux binationaux nés français n'est pas "une mesure de gauche".
Marianne - Laïcité : devant le Crif, Valls choisit la gauche Badinter
Alors que l'Observatoire de la laïcité se déchire après les propos d'Elisabeth Badinter, Manuel Valls a fait son choix : ce sera Badinter contre Bianco. Et il l'a exprimé à l'occasion d'une rencontre-débat organisée par le Crif lundi soir.
18 et 19 janvier
Libé - Hollande s'attaque aux 35 heures
Les mesures proposées ce lundi par le président de la République ouvrent la voie à un contournement supplémentaire de la durée légale du travail.
Libé - Déchéance : le PS envoie Urvoas et Cambadélis parler à Hollande
Ils rencontreront vendredi le chef de l’Etat, en même temps que les présidents des groupes socialistes de l’Assemblée et du Sénat.
Le Parisien - Déchéance de nationalité : le PS décide...de ne rien décider
Les débats qui ont eu lieu lundi soir rue de Solferino illustrent le casse-tête juridique et politique pour trouver une solution acceptable par le plus grand nombre. La direction du PS s’est bien gardée de proposer un texte clé en main. « On nous a proposé un exercice assez virtuel », commente un membre du BN. A défaut, l’aile gauche emmenée par le député Christian Paul tente d’obtenir un vote contre la déchéance. En vain. Hostile lui aussi au projet, Jean-Marc Ayrault appelle à ne pas faire de concession sur le fond, pour ne pas fracturer la cohésion nationale, mais penche pour la déchéance de… citoyenneté.
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a dit "oui à une primaire de la gauche pour un candidat unique de toute la gauche", lundi sur iTELE, soulignant que François Hollande est "le candidat naturel des socialistes". "Si on veut gagner les élections présidentielles, il faut que la gauche soit rassemblée. La gauche de gouvernement, seule, elle perd", a déclaré M. Cambadélis.
France Info - Montebourg prépare son retour
L’ancien ministre de l'Economie cherche le meilleur moyen de revenir en politique. Il sera à Paris le mardi 19 janvier pour remettre un trophée à des jeunes entrepreneurs.
Yanis Varoufakis a parlé un peu vite, Arnaud Montebourg ne sera pas à Berlin avec lui le 9 février prochain pour le lancement de son parti européen. L’ancien ministre de l’Economie a démenti, il n’est pas prêt à s’afficher sous la bannière du mouvement "anti-austérité" de l’ancien ministre grec des Finances. "C’est, dit-il, prématuré, je n’ai pas donné mon accord".
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L'actualité des socialistes du 30 novembre au 13 décembre (mise à jour)
Prochaine mise à jour dimanche soir
A la une
Lyon Mag - Le PS et la stratégie du scorpion
Meeting de fin de campagne pour Queyranne.
9 décembre. Ninkasi Gerland. 20h30. Cécile Cukierman, sénatrice du Parti Communiste est à la tribune pour dire qu’elle aurait voulu faire dès le départ l’union avec Queyranne. Jean-Charles Kholhaas vient ensuite, qui sous-entend qu’il aurait bien voulu ne pas la faire du tout, cette union. Mais c’est le moment de l’unité. Il y Najat Vallaud-Belkacem aussi. Calme et souriante. Elle a 5 minutes. Elle est arrivée pile à temps dans la voiture de Didier Vullierme, le numéro 7 sur la liste de Queyranne et secrétaire de section du PS de Villeurbanne. Je passe là-dessus.
11, 12 et 13 décembre
L'Obs - Le PS en Nord-Pas-de-Calais, une chute aux sources anciennes
Lille (AFP) - Une nouvelle fois lourdement défaite dimanche dernier, la gauche dans le Nord-Pas-de-Calais paie le prix de ses errements locaux mais surtout l'addition de la crise industrielle qu'elle a prise de plein fouet, selon des analystes et militants de la région.
Libé - Cambadélis sort sa plume pour câliner les socialistes retirés (ou pas)
Dans un courrier dont Libération a obtenu copie, le patron du PS s'adresse aux militants socialistes qui n'auront pas d'élus régionaux. Et fait comme si, dans l'Est, ils avaient suivi la consigne
Il est « en deuil », abattu. Quatre jours après le premier tour des élections régionales, qui a vu le Front national (FN) remporter 40,6 % des voix en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, Emmanuel Cau est venu signer un dernier papier, « vider » son ordinateur, dire au revoir à ceux qui sont encore là. La décision du PS de retirer ses listes dans cette région pour faire barrage au FN a scellé son sortLe JDD - Régionales : les derniers sondages avant le second tour
La droite face au FN dans le Nord et en Paca, le duel Pécresse-Bartolone en Ile-de-France, la triangulaire dans le Grand Est... Voici les principaux points chauds du second tour des élections régionales dimanche.
Elections régionales en France: un second tour extrêmement serré
Le second tour des élections régionales approche en France et la campagne électorale se termine ce vendredi 11 décembre. Après ses résultats imposants du premier tour, le FN est évidemment au coeur de toutes les discussions. Dans de nombreuses régions, des triangulaires verront s'affronter les candidats de la droite, de la gauche et du FN
Boursorama - Claude Bartolone maintient ses propos contre Valérie Pécresse
PARIS (Reuters) - Claude Bartolone, candidat socialiste aux élections régionales en Ile-de-France, a déclaré vendredi qu'il ne retirait "rien" de ses attaques contre son adversaire de droite Valérie Pécresse, qualifiée d'avocate de "la race blanche".
La chef de file des listes Les Républicains-UDI-MoDem entend porter plainte pour "injure aggravée" après que le président de l'Assemblée l'a accusée dans L'Obs de tenir les "mêmes propos que le FN".
Francetvinfo - Régionales : la polémique Bartolone, Pécresse et "race blanche" en six actes
Le candidat PS en Ile-de-France accuse son adversaire de faire la "danse du ventre aux électeurs du FN". Valérie Pécresse envisage de porter plainte pour "injure aggravée".
Les Inrocks - Pourquoi le FN a franchi un cap grâce aux élections régionales
Au lendemain du premier tour des élections régionales, cinq politologues tenaient une conférence sur les “Radicalités politiques” de la Fondation Jean-Jaurès. Ils ont livré à un parterre de journalistes leurs analyses sur l’installation durable du FN dans le paysage politique français.
10 décembre
France 3 - Christian Paul, le chef de file des frondeurs PS, demande un "nouvel agenda politique"
Christian Paul, député de la Nièvre et chef de file des députés frondeurs du PS, a appelé à "réunir la gauche" et à définir après les régionales "un nouvel agenda politique qui rende ce rassemblement possible".
Le Figaro - Régionales : le «barrage républicain» laisse les frondeurs du PS sceptiques
Le «barrage républicain» passe mal à la gauche du Parti socialiste. Prôné au soir des résultats par Jean-Christophe Cambadélis, puis par Manuel Valls lundi soir, le désistement de la liste socialiste au profit de la droite pour contrer le FN en Paca, Nord-Pas-de-Calais-Picardie et Grand-Est, créé un malaise chez les frondeurs. «Il ne faut pas confondre résistance et capitulation», estime Jean-Pierre Blazy, député-maire socialiste de Gonesse (Val-d'Oise). Parfois classé frondeur, le député appelle à soutenir Jean-Pierre Masseret qui a refusé de se retirer dans l'Est, ouvrant la voie à une victoire du frontiste Florian Philippot dimanche prochain. «Pour faire barrage au FN, il faut opposer une résistance de gauche perceptible par les électeurs dans les actes», préconise Blazy. Il appele plutôt à «résister» en tenant «les engagements de campagne de 2012 du candidat François Hollande» et en obtenant «un arrêt des politiques d'austérité en Europe qui fabriquent du chômage».
Europe 1 - Le retour des frondeurs
Manuel Valls qui croyait s’être débarrassé des frondeurs va devoir de nouveau compter avec eux.
Le retour des frondeurs c’est maintenant puisqu’ils vont se réunir dimanche après-midi et interviendront dans le débat dès dimanche soir à l’occasion des résultats des régionales pour réclamer un changement dans la politique gouvernementale.
9 décembre
Gérard Filoche estime que battre le FN ne peut pas passer par une alliance entre la gauche et la droite. "Seule une gauche qui croit en la gauche, et fait une politique de gauche, peut nous sauver du désastre", martèle-
Challenges - Comment les choix du PS contribuent à faire monter le FN
Le PS actuel n'a-t-il pas sa part de responsabilité dans la montée du vote FN et de ses idées dans la société? Le politologue Fabien Escalona, spécialiste des gauches européennes à Sciences Po Grenoble, répond par l'affirmative.
Les Inrocks - “Le PS est dans une logique d’auto-destruction”
Au lendemain des élections régionales, le chercheur Rémi Lefebvre dépeint un Parti socialiste qui ne séduit plus les milieux populaires, enfermé dans des “luttes stériles” et un “entre-soi groupusculaire”.
Le Monde - Elections régionales : comment en est-on arrivé là ?
Editorial du « Monde ». Après sa percée aux élections européennes de 2014 (25 % des voix), confirmée aux départementales de mars 2015, le Front national poursuit donc sa marche en avant. Au premier tour des régionales, dimanche 6 décembre, le parti d’extrême droite a réalisé une performance totalement inédite. Non seulement il a recueilli 27,83 % des suffrages sur le plan national et devancé à la fois l’union des droites Républicains-UDI-MoDem (27,33 %) et les listes socialistes (23,26 %), mais il arrive en tête dans six des treize grandes régions métropolitaines et se trouve en position de force pour l’emporter en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, en Provence-Alpes-Côte d’Azur, voire en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine.7 et 8 décembre
Francetvinfo - Régionales : quelle stratégie pour le PS, région par région ?
Au lendemain du premier tour, certains accords sont déjà scellés et des candidatures enterrées. Mais les partis ont jusqu'à mardi 18 heures pour déposer leurs listes définitives.
ELECTIONS Jusque-là, la fédération départementale du PS n'avait jamais apporté son soutien au président socialiste de Rhône-Alpes, en raison de divisions internes...
POLITIQUE Certains militants du PS et sympathisants de gauche ont du mal à comprendre le désistement de Pierre de Saintignon…
Le Monde - Elections régionales : un résultat médiocre pour le PS au premier tour
Avec 22 % à 23 % des voix selon les instituts de sondages, le Parti socialiste se place en troisième position du premier tour des élections régionales, derrière le FN et Les Républicains. Un résultat médiocre, qui confirme, voire amplifie les estimations de votes dans les derniers jours de la campagne. Largement décrochée face à l’extrême droite dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie et en PACA, les socialistes se retrouvent dans une situation politiquement compliquée alors qu’au même moment, électoralement, le PS est en situation de se maintenir et peut-être de l’emporter au second tour dans plusieurs autres régions.Europe 1 - Régionales : Cambadélis annonce le retrait des listes PS en Paca et dans le Nord
Le député de Paris a annoncé que le PS allait tout faire pour faire barrage au FN dans ces deux régions.
Marine Le Pen et Marion Maréchal – Le Pen sont dans une position idéale pour s’imposer dans le Nord-Pas-de-Calais et en Paca, après leurs très bons scores au premier tour des régionales. Mais Jean-Christophe Cambadélis entend tout faire pour faire barrage au FN.
20 Minutes - Régionales 2015: 34% des jeunes ont voté Front national
EXCLUSIF C 'est 4 points de plus que la moyenne nationale, selon un sondage Harris Interactive pour «20 Minutes»..
Le FN est le grand vainqueur du premier tour des régionales. Le parti de Marine Le Pen a séduit près de 30 % des électeurs au niveau national. Chez les jeunes, le score est encore plus impressionnant. Selon une enquête exclusive* de Harris Interactive pour 20 Minutes, 34 % des 18-30 ans ont voté pour le Front national au premier tour. Le Parti socialiste (et alliés) arrive loin derrière à 22 %, la droite et le centre (LR-UDI-MoDem) à 19 %, et les listes Front de Gauche-EELV à 12 %.
Challenges - Régionales: entre défaite et espoir de victoire(s), le paradoxe du PS
La gauche sort du premier tour dans une situation paradoxale. Malgré un faible score de 36% des voix, elle peut cependant espérer gagner entre 3 et 6 régions au second tour. Un phénomène dû au score du FN et au mode de scrutin.
Un Front national en tête, mais dans des proportions plus importantes qu’escompté par les instituts de sondage, des Républicains dont la victoire annoncée sera forcément ternie par cette poussée de l’extrême droite et des socialistes en chute libre : le premier tour des élections régionales, dimanche 6 décembre, semble avoir confirmé, mais également amplifié les estimations réalisées par les instituts de sondage dans les derniers jours de la campagne.Le Figaro - Face au FN, le PS choisit le «barrage républicain» contre l'avis de ses candidats
Dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie, en Paca et dans le Grand Est, le Front national est en tête, les socialistes en troisième position. La direction du PS a demandé aux candidats de se retirer.
Francetvinfo - Elections régionales : sans surprise, le PS en difficulté à l'issue du premier tour
La gauche, qui avait remporté la quasi-totalité des régions en 2010, s'est effondrée, dimanche. Elle devrait toutefois conserver certains bastions.
Le JDD - Régionales : le PS en bonne position en Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes
REGIONALES 2015 - La grande région du Sud-Ouest rassemblant l'Aquitaine, le Limousin et Poitou-Charentes est l'une des deux seules avec la Bretagne où le PS termine en tête du premier tour. Avec 31,5% des voix, la liste d'Alain Rousset devance nettement la droite de Virgine Calmels (25,9%) et le FN (22,8%).
Boursorama - Le candidat du PS en PACA écarte tout désistement face au FN
PARIS (Reuters) - Le candidat du PS en Provence-Alpes-Côte-d'Azur, Christophe Castaner, a écarté dimanche tout désistement au profit de la droite face au Front national dont la liste menée par Marion Maréchal-Le Pen a obtenu plus de 41% des voix au premier tour des élections régionales
Impôt sur le revenu et CSG : le Sénat rejette l'amendement Ayrault
Cet amendement propose de baisser la CSG sur les bas revenus.
Le Sénat a rejeté vendredi l'amendement au projet de loi de finances 2016 de l'ex-Premier ministre Jean-Marc Ayrault adopté par les députés. Cet amendement amorce une progressivité de la CSG. Il pourrait toutefois être à nouveau introduit en nouvelle lecture à l'Assemblée nationale où il avait suscité en première lecture de profondes critiques d'une partie des socialistes et de fortes réserves du gouvernement.
6 décembre
Boursorama - Régionales: le PS maintient le mystère sur ses intentions pour le second tour
Le PS, en mauvaise posture dans la plupart des régions, entretient soigneusement le mystère sur ses intentions pour le deuxième tour des régionales, réservant sa réponse pour dimanche soir, et assurant toutefois qu'il fera tout pour faire barrage au Front national.
A quelques jours du scrutin, le Front national est en tête des intentions de vote au premier tour des élections régionales des 6 et 13 décembre, dans le total agrégé au plan national ainsi que dans six régions sur douze (hors Corse et outre-mer).
De quelque façon que l’on prenne ce très vaste sondage, le poids de l’extrême droite et sa progression sont les principaux enseignements de la première vague de l’enquête Ipsos/Sopra Steria pour le Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) et Le Monde, réalisée par Internet du 20 au 29 novembre auprès d’un échantillon de 23 061 personnes.
4 et 5 décembreLe Figaro - Déchéance de nationalité : les réticences de Martine Aubry
L'inscription dans la Constitution de la déchéance de nationalité pour les djihadistes binationaux nés en France fait débat au Parti socialiste. Annoncée par le président de la République lors de son discours devant le Congrès de Versailles, la mesure irrite la majorité. Dernier exemple en date, la sortie ce jeudi de Martine Aubry sur BFM-TV et RMC. «Je ne suis pas sûre que ce soit très efficace. On ne modifie pas des textes aussi importants pour faire bien ou pour faire plaisir ou donner l'impression que l'on va plus loin», a déclaré la maire PS de Lille.
Le Monde - Refusons l’extension de la déchéance de la nationalité ! Par Patrick Weil et Jules LepoutreAprès que François Hollande a déclaré au Congrès du 16 novembre vouloir « pouvoir déchoir de sa nationalité française un individu condamné pour une atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation ou un acte de terrorisme, même s’il est né français, je dis bien “même s’il est né français” dès lors qu’il bénéficie d’une autre nationalité », voilà que le gouvernement demande au Conseil d’Etat s’il n’est pas nécessaire de modifier la Constitution pour mettre en œuvre la proposition du président. La réponse est doublement : Non ! Non, juridiquement, et non politiquement au sens le plus noble du terme.
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a lancé jeudi un appel à une "participation massive" des Français, avant le premier tour des régionales dimanche.
"L'enjeu du premier tour, ce n'est pas le score du FN mais la participation (...) Dimanche, allez voter! (...) Transformez la journée de dimanche en une manifestation civique puisque nous ne pouvons manifester", a souligné le responsable PS dans une déclaration lue devant la presse.
Francetvinfo - Régionales : Valls invoque le "patriotisme" pour appeler au vote PS
Le Premier ministre faisait jeudi son seul et unique meeting, pour soutenir la candidature de Claude Bartolone à Paris.
Le Parisien - Lanceurs d’alerte : un député PS veut une agence nationale de l'alerte
Yann Galut, député (PS) du Cher spécialiste de la lutte contre la fraude fiscale, dépose ce matin à l’Assemblée nationale une proposition de loi relative à la protection des lanceurs d’alerte. Il a été le rapporteur de la loi de lutte contre la fraude fiscale et la grande délinquance économique et financière de 2013.
2 et 3 décembre
Metro - Déchéance de nationalité : gros cas de conscience au PS
TROUBLE - Au lendemain des attentats, François Hollande a annoncé une mesure visant à déchoir de leur nationalité des individus liés au terrorisme dans le cas où ils seraient binationaux, y compris s'ils sont nés en France. Le projet, soumis à l'expertise du Conseil d'Etat, crée de sérieux remous à gauche. Et un peu aussi à droite. Voici pourquoi.
Boursorama - Régionales: maintien ou pas ? Le PS fera connaître sa décision dimanche soir
Le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis fera connaître la position du parti sur l'éventuel maintien de ses listes au second tour des régionales dès dimanche soir, a-t-on appris auprès de plusieurs sources au PS mercredi.
"Le Bureau national se réunira à 21H30 (dimanche), Jean-Christophe Cambadélis s'exprimera à l'issue. Il fixera la ligne", a indiqué un cadre du PS. "Un vote du BN" devrait "asseoir sa position", a-t-il ajouté.
Boursorama - Régionales: le PS n'envisage ni retrait ni fusion au 2e tour dans le Grand Est
Le candidat socialiste dans le Grand Est Jean-Pierre Masseret n'envisage "ni retrait, ni fusion" avec la droite au second tour des élections régionales, a-t-il déclaré mercredi lors d'un débat avec les autres têtes de liste de la région.
Boursorama - Régionales : En Bourgogne-Franche-Comté, Montebourg mouille le maillot pour la liste PS
Bien qu'en réserve de la vie publique, l'ancien ministre de l'Économie effectue ce mercredi un déplacement de campagne dans le Jura et le Doubs pour soutenir la tête de liste du PS en Bourgogne-Franche-Comté, Marie-Guite Dufay.
Bond de popularité pour le président de la République. La cote de François Hollande a augmenté de 22 points en un mois pour atteindre 50 % d’opinions positives, son meilleur score depuis juillet 2012, selon le tableau de bord IFOP/Fiducial pour Paris Match et Sud Radio réalisé après les attentats du 13 novembre et publié mardi 1er décembre.Europe 1 - Régionales : l’impossible équation du PS face au FN
Dans les régions où le Front national peut l’emporter, le Parti socialiste est déchiré entre fusion avec la droite, retrait pur et simple ou maintien de sa liste. Et aucune solution n’est satisfaisante.
La Tribune - Régionales Île-de-France : en retard, le PS jette ses dernières forces dans la bataille.
Les lieutenants de campagne de Claude Bartolone dénoncent la « dérive droitière » de la candidate LR-UDI-MoDem, Valérie Pécresse, et tentent de la mettre face à ses contradictions.
L'Obs - Régionales: Cambadélis qualifie de "fait majeur" la prise de position de la Voix du Nord
Le Premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a salué lundi soir la prise de position de la Voix du Nord contre Marine Le Pen aux régionales dans le Nord-pas-de-Calais/Picardie, la qualifiant de "fait majeur".
30 novembre et 1er décembre
France 3 - Sondage. Match serré entre Wauquiez et Queyranne
Un sondage sorti ce dimanche 29 novembre confirme "un match extrêmement serré", dixit BVA, entre le Président de la Région Rhône-Alpes sortant, Jean-Jack Queyranne, et son opposant Laurent Wauquiez.
Boursorama - Régionales: pour Cambadélis (PS), le FN est "surcoté"
Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, a jugé dimanche que le Front national était "surcoté" dans les sondages, qui ne mesurent pas le vote frontiste mais la "peur" des Français à l'approche des élections régionales des 6 et 13 décembre.
Les Républicains (LR) et le Front National (FN) font jeu égal au premier tour des élections régionales du 6 décembre avec chacun 28% des intentions de vote, loin devant le Parti socialiste (22%), selon un sondage Ifop publié par le Journal du Dimanche ce 29 novembre. "Il n'y a pas d'effet électoral post-attentat", souligne l'hebdomadaire.
Le JDD - Notre sondage avant les régionales : la droite et le FN au coude à coude
46% des électeurs ont l’intention de voter aux élections des 6 et 13 décembre. Le FN progresse. A gauche, il n’y a pas d’effet électoral post-attentats.
Libé - Contre le FN, la droite lorgne les voix PS
Dans leurs régions respectives, Xavier Bertrand et Christian Estrosi tablent sur un désistement des socialistes avant le second tour.
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L'actualité des socialistes du 3 au 15 novembre (mise à jour)
A la une
RTL - Attentats à Paris : "La France pleure ses morts", dit Jean-Christophe Cambadélis
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a réagi samedi 14 novembre à l'attaque terroriste qui a touché Paris et Saint-Denis, vendredi soir.
14 et 15 novemrbe
A l'issue de près de deux heures de débat intense dans un hémicycle inhabituellement garni pour un débat budgétaire, les députés ont donné leur feu vert, 35 voix contre 21, à l'amendement de Jean-Marc Ayrault et de Pierre-Alain Muet (PS), présenté dans le cadre du projet de budget de l'Etat pour 2016.
La Tribune - Amendement Ayrault-Muet : vers une CSG progressive ?
La CSG va-t-elle devenir progressive ? Sans doute pas, mais une petite brèche a été ouverte avec le vote de l'amendement au projet de loi de finances 2016, défendu par les deux députés PS, Jean-Marc Ayrault et Pierre-Alain Muet, était adopté. Il faut dire que cet amendement a reçu un accueil favorable de 161 députés socialistes - soit plus de la moitié du groupe - mais aussi des députés écologistes et d'une partie des radicaux de gauche. Aussi, à son corps défendant Manuel Valls a dû accepter la présentation de cet amendement.
Le Figaro - CSG : Ayrault passe en force contre le gouvernement
Le gouvernement ne voulait pas de cet amendement. Mais cent soixante députés socialistes l'avaient paraphé. Jeudi après-midi, l'examen à l'Assemblée nationale de l'amendement de Jean-Marc Ayrault et Pierre-Alain Muet qui amorce une progressivité de la CSG a provoqué une bataille feutrée entre l'exécutif et la majorité. Il a été adopté avec 35 voix pour et 21 contre sur 56 votants. Sans passion et sans que le ministre des Finances s'y oppose.L'ex-Premier ministre propose de remplacer une part de la future prime d’activité par une baisse de la CSG. L'Assemblée l'a suivi malgré les réserves du gouvernement.Sur l’amendement Ayrault-Muet, le gouvernement était contre mais a dû plier devant la mobilisation de sa majorité, donnant à nouveau un sentiment de confusion sur un sujet, il est vrai, très technique.12 et 13 novembre
Public Sénat - Régionales: Jean-Christophe Cambadélis (PS) appelle Valls à la « cohérence »
Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, a appelé jeudi « tous les socialistes », y compris Manuel Valls, à la « cohérence » et à "se concentrer sur le premier tour" des élections régionales, alors que le Premier ministre a évoqué l'hypothèse d'une fusion des listes avec la droite face au FN.
Pierre de Saintignon, tête de liste PS aux régionales en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, a demandé jeudi à Manuel Valls de "cesser ces petites phrases qui nuisent à notre campagne", alors que le Premier ministre a évoqué l'hypothèse d'une fusion des listes gauche-droite face au FN.
Public Sénat - Fusion des listes PS/LR : Le dernier « tabou » de Manuel Valls en passe d’être levé
A trois semaines des régionales, Manuel Valls a réaffirmé cet après midi la possibilité d’une fusion entre les deux tours des listes PS et les Républicains dans les régions où le FN est en tête des sondages. Un plan anti-FN rejeté par la droite mais qui fait son chemin à gauche.
Slate - Montebourg 2017, la possibilité d'une candidature
Les événements inciteraient irrésistiblement Montebourg à se porter candidat à la primaire socialiste de 2016.
Quelque part en France, un homme fougueux se débat avec une vie un tantinet compliquée. Papa d’un bébé né bien avant terme, il ne saurait négliger sa vie de famille. Entrepreneur néophyte, le voici confronté à des responsabilités inédites pour lui. Et, comme si tout cela ne suffisait pas, Arnaud Montebourg guette, dans la «marche vers le désastre» conduite vaillamment par François Hollande, l’opportunité de revenir au centre de la vie publique.
Europe 1 - Fusion des listes aux régionales : Aubry s'oppose à Valls
La maire de Lille n'apprécie pas du tout l'idée de Matignon de fusionner les listes de gauche avec celle des Républicains pour barrer la route au FN.
INFO EUROPE 1 - Comme l'a révélé Europe 1, le Premier ministre Manuel Valls plaide pour une fusion des listes de gauche avec celle des Républicains dans l'hypothèse où le FN arriverait largement en tête au deuxième tour des régionales dans la grande région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, où Marine Le Pen est donnée favorite. Et cela ne plaît pas du tout à Martine Aubry.
Le Point - CSG : le gouvernement se prépare à soutenir l'amendement Ayrault
EXCLUSIF. L'amendement de l'ancien Premier ministre devrait être adopté. Matignon confirme son soutien sous réserve de lever les derniers obstacles techniques.
Boursorama - CSG : objectifs et obstacles de "l'impôt citoyen" de Jean-Marc Ayrault
Dans un amendement, Jean-Marc Ayrault, propose de réunir la CSG et l'impôt sur le revenu. Grâce à un report d'une partie de la prime d'activité, la CSG serait également réduite pour les bas revenus (moins de 1,3 smic). L'ancien premier ministre aurait réuni près de 190 députés autour de sa proposition, dont 161 socialistes. Le gouvernement de Manuel Valls pourrait être contraint de suivre.
10 et 11 novembre
L’ancien Premier ministre est venu défendre à Matignon son amendement, soutenu par plus de 160 députés PS, amorçant le rapprochement entre l’impôt sur le revenu et la CSG. Manuel Valls a évoqué la perspective d'un «accord», à condition de lever «toutes les difficultés techniques, juridiques». Le texte doit être débattu jeudi à l’Assemblée.Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron a exprimé mardi ses réserves sur l'amendement de l'ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault visant à amorcer le rapprochement entre l'impôt sur le revenu et la CSG, estimant que cette dernière avait des "vertus".C'est un pavé dans la mare de François Hollande et Manuel Valls. L'ancien Premier ministre et député PS Jean-Marc Ayrault a déposé un amendement détonnant au projet de loi de finances 2016. Ce texte amorce une fusion de l'impôt sur le revenu et de la CSG.Le Front de gauche ne soutiendra pas l'amendement Ayrault-Muet visant à amorcer un rapprochement entre impôt sur le revenu et CSG, car il refuse une évolution de cette contribution en "levier de fiscalité", a indiqué mardi son chef de file à l'Assemblée, André Chassaigne.Le Point - Amendement CSG : Ayrault sera reçu par Valls
Les deux hommes discuteront mardi matin de la proposition de rendre la CSG progressive qui avait obtenu le soutien d'un centaine de députés PS.
Le JDD - Impôts : quand Ayrault convainc Hollande
L’exécutif cherche un compromis avec l’ancien Premier ministre sur une réforme de la CSG, jusqu’ici repoussée, qui s’appliquerait en 2017. La mesure est largement soutenue à gauche.
Un ex-Premier ministre qui convainc son président de lancer une réforme fiscale jusque-là repoussée, c'est l'étonnante histoire en passe de se dérouler cette semaine. Les députés doivent examiner jeudi un amendement de Jean-Marc Ayrault signé par 160 socialistes dont plusieurs anciens ministres (Kader Arif, Michèle Delaunay, Frédéric Cuvillier…). Son but est de réduire la CSG des salariés modestes directement sur leur feuille de paie, par imputation de la nouvelle prime d'activité (ex-RSA). Une forme de rapprochement de la CSG avec l'impôt sur le revenu, qui sera prélevé à la source en 2018. Une façon de tenir cette promesse, jamais appliquée, du candidat Hollande. "Cet amendement correspond au souhait d'une majorité du groupe de poursuivre le chantier des réformes et de donner des signaux à la gauche sans compliquer la tâche de l'exécutif", argumente Jean-Marc Ayrault.
Le Figaro - Pour Valls, «les Français sont à cran vis-à-vis de l'impôt»
Il y a un mois, Michel Sapin avait trouvé l'idée «intéressante» mais «complexe». Ce dimanche, Manuel Valls a employé la même méthode pour commenter la proposition de son prédécesseur Jean-Marc Ayrault de remplacer l'impôt sur le revenu et la CSG par un impôt citoyen sur le revenu. «C'est une belle idée, mais je ne suis pas sûr que les Français lient automatiquement l'impôt et la citoyenneté», a-t-il déclaré sur i-Télé et Europe 1. Refuser, mais sans froisser. C'est pourquoi l'amendement sera «examiné de la manière la plus précise possible» dans le débat sur le budget 2016 à partir de jeudi à l'Assemblée nationale.
ON VA PAS PINAILLER - Le matin, la porte-parole du PS est d'humeur badine. Sur le plateau de LCP, lundi 9 novembre, Juliette Méadel a balayé d'un revers de main les critiques des écologistes sur l'annonce par le gouvernement de la reprise des travaux de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, en Loire-Atlantique. Interrogée sur les difficultés que ce débat pourrait ajouter à l'union de la gauche pour le second tour, la jeune socialiste a livré une explication pour le moins inattendue.
Francetvinfo - Régionales : le FN provoque un dilemme au PS
La percée du FN pour les élections régionales place le PS en position délicate. Dans certaines régions, la gauche n'arriverait qu'en 3e position et se retrouverait face à un dilemme : se maintenir avec le risque de voir gagner le FN ou se retirer et disparaître.
La Tribune - Pourquoi la nouvelle coalition au Portugal est une chance pour l'Europe
Le gouvernement portugais de droite devrait chuter mardi 10 novembre, renversé par une alliance de gauche. Ce nouveau gouvernement représente une nouvelle chance pour la zone euro. Saura-t-elle la saisir?
A gauche, "Mouvement commun" se veut un "Podemos" à la française
Le "Mouvement commun", issu d'une initiative du député PS frondeur Pouria Amirshahi, a été lancé dimanche. Réunissant notamment Cécile Duflot, ou encore Pierre Laurent, il ambitionne "une autre façon d'agir" en politique, à gauche.
9 novembre
Le député PS Pouria Amirshahi lance, avec Noël Mamère et Marie-Noëlle Lienemann notamment, une initiative politico-citoyenne visant à rapprocher les élus de la société civile et à nourrir le débat idéologique à gauche.Dimanche après-midi, Pouria Amirshahi lancera à Montreuil le "Mouvement commun". L’idée est de créer une sorte de "lobby citoyen" menant des campagnes d’opinion. Dans une gauche en décomposition, cette initiative, qui n’est pas la première du genre, parviendra-t-elle à durer et à peser? Les avis sont déjà partagés.
Libé - Pouria Amirshahi lance son Mouvement commun
Un nouveau-né. Ce dimanche, le député socialiste Pouria Amirshahi ouvre la porte du Mouvement commun, «un lobby citoyen», «un grand mouvement qui prépare la France». L'inauguration aura lieu à la maison de l'arbre, à Montreuil (Seine-Saint-Denis). Les organisateurs espèrent attirer «plus de 500 personnes». Au programme : ateliers, rencontres, plénières et lancement d'une Web TV. Sur Internet, le Mouvement commun compte près de 1 500 signataires. Pas mal pour un début. Parmi les participants, on retrouve des politiques, classés à gauche, de premier rang. Ils représentent près de 15 % des signataires. Mais la force est ailleurs. La majorité des âmes est issue de la société civile : sans emplois, étudiants, enseignants, agriculteurs, profs ou artistes.
Basta Mag - Vers un « mouvement commun » ouvert aux citoyens pour refonder la gauche ?
Un énième appel à refonder la gauche ? Pas si sûr. Le « mouvement commun » sera lancé ce 8 novembre à Montreuil, en Seine-Saint-Denis. Initié par le député socialiste Pouria Amirshahi, l’appel affiche de grandes « audaces démocratiques, sociales et écologiques ». Il ambitionne de « construire la France et l’Europe de demain » en inventant « un espoir commun, dans la délibération collective, plutôt que dans l’aventure personnelle ». Pas question, pour le député, de se lancer dans une vaine recomposition d’appareils politiques en déliquescence. « Ce n’est pas un parti de plus, mais un mouvement politique », assure à Basta ! Pouria Amirshahi. « Aller sur le terrain de la compétition électorale est à mon avis contre-productif. » Et ce, quels que soient les résultats des élections régionales et la configuration des scrutins présidentiels en 2017. Le député frondeur veut au contraire « prendre du temps ». Malgré les débâcles annoncées.
Libé - Pierre de Saintignon, l’inconnu socialiste qui se révèle âpre débatteur
Chez Jean-Jacques Bourdin, chez Léa Salamé, en débat face à Marine Le Pen et Xavier Bertrand sur i-Télé : l’inconnu socialiste Pierre de Saintignon s’est retrouvé partout, et on l’a vu se battre. Comme un boxeur, le souffle court. Moins expérimenté que ses deux adversaires, il a une longueur d’avance comme vice-président à la région Nord Pas-de-Calais depuis dix-sept ans, à la fois proche des milieux patronaux, et à l’aise avec les syndicats.
Le Parti socialiste est en ordre de bataille pour les élections régionales, les 6 et 13 décembre prochains. C’est ce qu’affirment les socialistes, disciples de la méthode Coué, alors que la quasi-totalité des sondages annoncent de grandes pertes à gauche.
Challenges - Valls sonne la mobilisation générale contre le Front National et se paie Sarkozy
Le Premier ministre a déclaré qu'il faudra "tout faire" pour éviter que des régions soient gagnées par le FN, et réitéré des propos sous-entendant que le PS serait prêt à pratiquer un "front républicain" avec la droite.
8 novembre
Valls sur Facebook - L’autorité : une exigence, une éthique, des actes.
Dans un monde en perpétuelle effervescence, des images et des faits ont, ces dernières semaines, interpellé nos concitoyens : les violences à Air France ; les scènes d’émeutes de Moirans ; une fusillade mortelle à Marseille ; un violent règlement de compte en marge d’une fête foraine, à Clermont-Ferrand…Tous ces faits sont distincts et indépendants. Ils n’ont ni le même poids, ni la même portée. Pourtant, un débat s’est ouvert. Un débat qui n’a rien de nouveau, mais qui nécessite, une fois encore, des réponses approfondies.
Le Monde - Le PS a-t-il renoncé au front républicain ?
Les élections régionales auront lieu les 6 et 13 décembre. L’idée d’un désistement du Parti socialiste au second tour pour faire obstacle à une victoire du Front national ne fait plus consensus chez les militants.
Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, explique que « l’unité de la gauche maintenant acquise », le PS prendra ses responsabilités pour gagner au second tour. « Sachant que la droite refusera le Front républicain et qu’il ne lui en sera jamais fait grief ».
4, 5, 6 et 7 novembreLe premier ministre Manuel Valls a défendu jeudi 5 novembre son action constante pour défendre l’autorité, face aux accusations de laxisme du Front national et d’une partie de la droite, qu’il accuse à son tour de « singer l’autorité », dans une tribune publiée sur Internet.Alors que Laurent Wauquiez a participé lundi à une réunion organisé par les militants de la Manif pour Tous, le candidat républicain est accusé de "braconner sur les terres du Front National" par le Parti Socialiste.
Libé - Ile-de France : Bartolone, à gauche toute
.... Aide personnalisée au logement rabotée pour les étudiants, demi-part des veufs, don du sang autorisé aux homosexuels abstinents depuis un an... Le cafouillage sur l’allocation handicapés lui inspire cette réflexion : «A Bercy, dans un bureau, il y a un mec qui a pensé : "Pas de bras, pas d’alloc" et on laisse faire ça...» Entre les patinages de la semaine et la sortie de Manuel Valls sur le droit de vote des étrangers définitivement enterré, ce militant tente quand même de se rassurer : «Je sais que Claude a cette distance avec l’exécutif». Sous-entendu, qui le protège. «Je pensais que nous allions totalement décrocher, ajoute-t-il. Et puis non».
Mais si le secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement en attribuait la responsabilité à l'ancienne majorité de droite, Jean-Marie Le Guen prétendait alors que le gouvernement n'avait pas vu venir ces augmentations: "Sur la question de la fiscalité des petites retraites, il y avait du mécontentent et on n'avait pas beaucoup d'arguments pour dire que c'était une mesure juste, puisqu'en fait, elle nous avait échappée" reconnaissait-il sur LCP.
Le JDD - Cambadélis défie Valls sur le droit de vote des étrangers
Jean-Christophe Cambadélis s’oppose à Manuel Valls sur le droit de vote des étrangers. Le Premier ministre veut enterrer la réforme. Le patron du PS tient à concrétiser le programme de François Hollande.
RTL- Droit de vote des étrangers : le Parti socialiste se divise
Manuel Valls a mis les socialistes dans l'embarras en annonçant que le droit de vote des étrangers n'était plus à l'agenda du gouvernement et du parti socialiste lors d'un débat avec les étudiants de Sciences Po mardi 2 novembre.
Libé - Pourquoi le dossier Notre-Dame-des-Landes revient-il en piste ?
Vendredi soir, un communiqué de la préfecture de Loire-Atlantique remet le feu à Notre-Dame-des-Landes. Voilà qu’après le rejet, par le tribunal administratif de Nantes en juillet, des recours déposés par les opposants au projet de nouvel aéroport du Grand-Ouest, des appels d’offres ont été lancés pour que débutent les travaux en 2016. Drôle de timing, à cinq semaines des régionales et moins d’un mois de la COP21.
Boursier - Code du travail : Manuel Valls veut "révolutionner" sans toucher aux 35H
La réforme du Code du Travail, présentée mardi, s'étalera sur deux ans, en commençant par le temps de travail. Le Premier ministre a confié à Robert Badinter une mission pour fixer un socle de droits garantis à tous.
RTL - Un choc fiscal pour huit Français sur dix
REPLAY - REPLAY / INVITÉ RTL - Christophe Caresche, député socialiste de Paris et membre de la commission des finances à l'Assemblée renvient sur le "Portrait social" publié par l'Insee.
PS - « Vous avez dit Front républicain ? »
Dans le tricampisme, le PS et ses alliés assument leur combat au premier tour pour des régions solidaires et écologiques. Nous nous battrons pour créer la surprise dès le premier tour. Puis nous analyserons la situation. L’unité de la gauche maintenant acquise, nous prendrons nos responsabilités pour gagner au second tour. Sachant que la droite refusera le Front républicain et qu’il ne lui en sera jamais fait grief.
Libé, L'édito - François Hollande et l’excellence écologique ? La bonne blague !
En matière d’écologie, on savait l’exécutif champion du grand écart entre le discours et les actes. Alors que François Hollande jurait en 2012 vouloir «faire de la France la nation de l’excellence environnementale», il n’a cessé, depuis, de faire preuve d’incohérence et d’agir exactement dans le sens opposé. Abandon de l’écotaxe poids lourds, choix du tout-routier au détriment de modes de transport plus écologiques, innombrables gages accordés à l’agriculture industrielle, visite présidentielle en Alberta (Canada), là où est extrait des sables bitumineux le pétrole le plus sale du monde, atermoiements sans fin pour cesser les aides à l’exportation des centrales à charbon ou les avantages fiscaux accordés au diesel, coupes incessantes dans les budgets du ministère de l’Ecologie… La liste est loin d’être exhaustive. On avait presque fini par s’y faire. Et même par en rire jaune - c’est meilleur pour la santé et ça permet de ne pas se ruiner en mouchoirs.
Devant l’unanimité des critiques, le gouvernenent a revu sa copie sur la réforme du calcul de l’allocation aux adultes handicapés (AAH). Mardi 3 novembre au soir, la secrétaire d’Etat aux personnes handicapées, Ségolène Neuville, a annoncé le retrait de cette disposition du projet de budget 2016.A près d’un mois des régionales et quelques jours après le zigzag sur les impôts des retraités modestes, Manuel Valls a annoncé mardi le report d’un an de l’entrée en vigueur de la réforme controversée des dotations aux collectivités territoriales.
L'Obs - Pouria Amirshahi (PS) lance un "Mouvement commun" réunissant politiques et société civile
Le député PS Pouria Amirshahi lance le week-end prochain un "Mouvement commun" voulant associer de façon "innovante" politiques et société civile, mais sans être un "parti politique ou une écurie présidentielle".
"On veut créer un lobby citoyen, (un) grand mouvement qui prépare la France d'après", a expliqué lundi sur RFI le député des Français de l'étranger.
Il voulait créer un Podemos à la française. Voilà donc sa naissance. Comme le révèle Le Monde le 31 octobre, le député PS Pouria Amirshahi va lancer le 8 novembre prochain son "Mouvement commun".
L’idée est simple : créer un mouvement social issu de la société civile pour apporter des propositions concrètes au monde politique. À l'heure où nous écrivons ces lignes, un peu plus de 850 personnes ont signé l'appel.
L'Humanité - Pouria Amirshahi lance un "Mouvement commun" réunissant politiques et société civile
Le député PS Pouria Amirshahi lance le week-end prochain un "Mouvement commun" voulant associer de façon "innovante" politiques et société civile, mais sans être un "parti politique ou une écurie présidentielle".
2 et 3 novembre
29 parlementaires de gauche, socialistes, communistes et écologistes interpellent d'une même voix le Gouvernement pour réclamer le rétablissement de la demi-part fiscale pour les personnes veuves. Ils expliquent les raisons qui les poussent à agir dans une tribune que nous publions.
Libé - Retraités et impôts locaux: une promesse, beaucoup de flou
Payer sa taxe d’habitation? Ne pas payer? Etre remboursé? Comment? Qui est concerné? Pour quel coût budgétaire? Les promesses faites à certains retraités dont les impôts locaux s’envolent, posent bien des questions, loin de l’apaisement fiscal prôné par l’exécutif.
Libé - Dur, dur, la com du gouvernement sur les baisses d'impôts
Son message phare de l'automne a été percuté par le succès d'un amendement sur la CSG progressive, la décision surprise d’augmenter la taxation du diesel et, désormais, par la contestation à propos des impôts locaux payés par les retraités modestes.
Blog Le Monde - Hollande chez « Lucette », une étape dans une stratégie de quadrillage médiatique
La rentrée de François Hollande a été médiatique. Comme le racontait Le Monde le 20 octobre, le chef de l'Etat a choisi de multiplier les visites et les apparitions publiques, "comme si, en cet automne, pas un lieu, pas une thématique, pas une part de marché médiatique et pas une catégorie sociologique ne devait échapper à François Hollande".
Public Sénat - Régionales: le PS, de nouveau accusé de "faire le jeu" du FN, s'en défend
Le PS fait-il le jeu du Front national, à l'approche des élections régionales? L'accusation, maintes fois adressée à un Parti socialiste soupçonné d'y trouver son compte électoral, refait surface alors que l'exécutif a fait du FN sa cible prioritaire. Les ténors du parti s'en défendent, renvoyant chacun à sa responsabilité.
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L'actualité des socialistes du 22 au 30 août (mise à jour)
A la une
«Libération» en direct de La Rochelle
Alors que les Verts implosent et qu'au PS, les frondeurs et les réformateurs se divisent, retrouvez nos trois reporters, ainsi que notre photographe en direct de l'université d'été du PS, qui se tient jusqu'à dimanche à La Rochelle.
Le Figaro - L'université d'été du PS en direct
LE SCAN POLITIQUE/EN DIRECT - Suivez en direct la rentrée des socialistes à La Rochelle.
30 août
Manuel Valls a mouillé la chemise, au propre comme au figuré. Le premier ministre, une heure durant et la chemise blanche trempée de sueur, a livré dimanche 30 août un discours de clôture de l’université d’été du PS à La Rochelle dont la nouveauté n’était pas dans des annonces particulières – il n’y en a eu aucune – mais dans sa tonalité.Le JDD - Réforme fiscale : Jean-Marc Ayrault veut faire "bouger les lignes"
Depuis l'université d'été du PS à La Rochelle, Jean-Marc Ayrault a appelé samedi le gouvernement à mettre en place une vraie réforme fiscale, allant plus loin que le simple prélèvement à la source. L’ancien Premier ministre a écrit à ce sujet un livre avec le député socialiste Pierre-Alain Muet.
Le Monde - A La Rochelle, Manuel Valls appelle à l’union avec les écologistes pour les régionales
Manuel Valls a opté pour un discours énergique à l’occasion de la clôture de l’université du PS, dimanche 30 août à La Rochelle, sous un soleil de plomb. Un discours plutôt réussi dans la forme, mais sur le fond, aucune annonce ni nouveauté. Le premier ministre s’est appliqué à défendre le cap de sa politique, a appelé à l’union des gauches pour les élections régionales et est revenu sur la crise migratoire à laquelle doit faire face l’Europe.Le Premier ministre a livré un discours habité en clôture de l'université d'été de la Rochelle, portant sur les migrants, le droit du travail, la politique économique, les régionales et la cohésion au sein du PS.
L'Express - Manuel Valls à La Rochelle: la réforme pour le code du travail, pas pour les 35h
En une heure de discours, Manuel Valls a balayé en clôture de l'université du PS tous les sujets du moment, de la polémique Macron au drame des migrants, du FN aux régionales.Boursorama - La Rochelle : Valls appelle au «volontarisme» et à la «constance»
«Il y a un, pour la première fois comme Premier ministre, je concluais cette université dans cette ville où nous nous retrouvons toujours avec plaisir.» C'est par les sentiments que Manuel Valls a attaqué ce dimanche son discours de clôture du traditionnel rendez-vous des socialistes à La Rochelle (Charente-Maritime). L'an dernier en effet, malgré des coups d'éclats pendant le week-end, le chef du gouvernement avait réussi à séduire les militants et se faire généreusement applaudir. Cette fois encore, Manuel Valls, chemise largement trempée de sueur, a misé sur l'assurance que le gouvernement respectait les valeurs traditionnelles du Parti socialiste et recherchait la «constance» et «l'humanité» dans son action, contrairement à «l'opposition» prête à «adopter tous les points de vue» car «pressée de revenir au pouvoir
Libé - Valls : «le code du travail est si complexe qu’il est devenu inefficace»
Lors du discours de clôture de l'université d'été du PS à La Rochelle, le Premier ministre a ouvert la voie à une réforme du code du travail.
Libé - Non, Manuel Valls n'a pas giflé un militant socialiste hier soir à La Rochelle
Une rumeur courait samedi sur le vieux port, selon laquelle le Premier ministre, agacé par les sifflets des jeunes socialistes lors du dîner de clôture, en aurait agressé un physiquement.
LCP - EN DIRECT LA ROCHELLE, DERNIÈRE JOURNÉE- Cambadélis et l’unité la gauche : "Quand on est confronté au FN, on ne plaisante pas avec ça !"Le Point - Migrants : "Nous ne resterons pas indifférents", promet Cambadélis
Face à la crise migratoire, le premier secrétaire du Parti socialiste appelle à une grande conférence mondiale pour "traiter le problème".
Le Parisien - Sondage : les sympathisants PS préfèrent Macron à Cambadélis
.... L'image «désastreuse» du PS. D'après notre sondage Odoxa, 76% des Français ont une mauvais image du Parti socialiste. 86% d'entre eux ne le trouvent pas «innovant», ni adapté aux évolutions du monde (74%), ni rassembleur (84%). Ils estiment que ce parti n’est pas utile à la vie politique française (63%), n’incarne pas bien les idées de la gauche (61%), ne défend pas bien les classes populaires (72%), ni les classes moyennes (80%) et, plus globalement n’est pas proche des gens (78%).
Dans ce sondage Odoxa pour "Le Parisien", le gouvernement prend aussi une claque. 69% des sondés le jugent "inefficace économiquement".
REPORTAGE / REPLAY - À La Rochelle, des jeunes militants et des dirigeants du PS en sont presque venus aux mains lors d'un dîner en marge de l'université d'été du parti.
La Tribune - La Rochelle : Valls tente de rassembler un PS en quête d'union
Sifflé par certains jeunes militants socialistes qui ont crié "Macron, démission !" et "Taubira à Matignon" lors du dîner samedi soir, Manuel Valls conclut ce dimanche les travaux de l'université d'été du PS, marquées, à trois mois de la dernière consultation électorale du quinquennat, par les efforts du parti pour faire oublier les "fragmentations" de la gauche.
France Info - 35h : Manuel Valls sifflé par de jeunes socialistes à La Rochelle
C'est le Premier ministre qui clôturera ce dimanche à la mi-journée l'université d'été du PS à La Rochelle. Ce samedi, le Premier ministre a occupé le terrain et tout allait très bien jusqu'au banquet des militants au cours duquel des jeunes socialistes ont bruyamment critiqué Emmanuel Macron et l'ont sifflé.
Le Parisien - Les jeunes socialistes chahutent Valls et huent Macron
Attendu ce dimanche pour conclure l'université d'été du PS à La Rochelle (Charente-Maritime), Manuel Valls va tenter d'apaiser le parti, divisé sur la politique menée par le gouvernement. Samedi soir, certains jeunes socialistes n'ont pas hésité à huer le Premier ministre à l'occasion du dîner de clôture de ces trois journées de travaux. Selon le récit fait par l'envoyé spécial de France Info, un jeune militant s'est notamment levé pour crier «Les 35h on s’est battu pour les avoir on se battra pour les garder», 48 heures après la sortie controversée d'Emmanuel Macron sur le sujet. Puis très vite, plusieurs tables se mettent à crier : «Macron démission», «Taubira présidente», irritant le Premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis et Manuel Valls.
Libé - La Rochelle : Taubira entre ovations, ferveur, et espérance
A l'université d'été des socialistes, la ministre de la Justice était invitée à parler République et liberté. Son discours, résolument de gauche, a été longuement applaudi.
Le Monde - Entre le PS et EELV, le débat tourne au vinaigre à La Rochelle
Pour mesurer la largeur du gouffre qui sépare aujourd’hui écologistes et socialistes, il fallait assister, samedi 29 août à La Rochelle, au débat organisé dans le cadre de l’Université d’été du PS sur le bilan de l’accord électoral de 2012 entre le PS et EELV. Le thème sentait le soufre, l’affiche aussi. D’un côté Jean-Marie Le Guen, le ministre des relations avec le Parlement, classé à la droite du PS et pourfendeur régulier des écologistes. De l’autre David Cormand, le numéro 2 d’EELV, défenseur de la stratégie d’autonomie électorale et ardent contempteur de la politique socialiste. Dans le rôle d’arbitre des élégances, mais qui ne le resteront pas longtemps, Olivier Faure et Eva Sas, respectivement députés PS et EELV. Le casting semblait trié sur le volet pour que la situation dérape.À près de trois mois des élections régionales, la question des migrants est un sujet délicat pour les socialistes, réunis en université d’été jusqu’à dimanche 30 août.L'Express - Manuel Valls à La Rochelle: "Il faut savoir où l'on va" et "gouverner ferme"
Manuel Valls n'a pas hésité à manier le symbole sur le trois-mâts L'Hermione, dont il a tenu "ferme" le gouvernail le temps d'une visite et de quelques phrases sur le PS, la France et le gouvernement.
Selon le président de l'Assemblée nationale, le remaniement gouvernemental dû au départ de François Rebsamen interviendra "au plus tard le 14 septembre".29 août
La Croix- Le PS face au défi d’une nouvelle alliance majoritaire
Les questions de ligne politique et d’alliances perturbent des débats prévus sur les enjeux climatiques, les crises européennes et « la République ».
L’université d’été du Parti socialiste a ouvert ses portes à La Rochelle vendredi 28 juin, peu avant 15 heures, pour trois jours de débats placés sous tension, une nouvelle fois.
Boursorama - Macron: "iconoclaste" ou "poisson-pilote de Valls" pour la presse
La mise en cause des 35 heures par le ministre de l'Economie devant le Medef jeudi a pimenté l'ouverture de l'université d'été du PS vendredi à La Rochelle, pour les éditorialistes Emmanuel Macron est soit "iconoclaste" soit "poisson-pilote de Valls".
La Charente Libre - La Rochelle: le PS perdu dans ses propres courants
L’université d’été du Parti Socialistea débuté ce vendredi à La Rochelle. Reportage au cœur d’un parti divisé sur le bilan de François Hollande. Et à la recherche d’un souffle nouveau dans l’optique de 2017.
L'Express - Université d'été du PS: les élections régionales en ligne de mire
La grande rentrée politique du PS a lieu ce week-end à La Rochelle avec comme objectif de recoller les morceaux d'un parti fragmenté en prévision d'élections régionales qui s'annoncent compliquées.France Inter Un jour en France de Bruno Duvic : Wanted: Recherche militant socialiste!
Ne pas « tomber dans tous les pièges et les provocations ». Jean-Christophe Cambadélis a balayé, vendredi 28 août, les déclarations d’Emmanuel Macron sur les 35 heures qui ont volé la vedette au Parti socialiste pour l’ouverture de son université d’été.Jean-Christophe Cambadélis a évoqué vendredi une « piste » pour trouver un « compromis » avec le gouvernement sur les aides encore à venir aux entreprises par le Pacte de responsabilité, objet de frictions entre le PS et Matignon, en proposant de les orienter vers les entreprises qui embauchent.
Boursorama - 35 heures : Cambadélis aura une "franche et amicale" explication avec Macron
Soucieux de ne pas alimenter la polémique sur les propos d'Emmanuel Macron, le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a appelé les socialistes à rester "calmes, sereins" et à ne pas tomber "dans tous les pièges". Mais il aura une "amicale et franche" discussion avec le ministre de l'Économie.
Les Inrocks - L’université d’été du PS s’ouvre dans une véritable cacophonie politique
Entre les propos d’Emmanuel Macron sur les 35 heures et la crise se profilant chez les Verts, la traditionnelle université d’été du PS à La Rochelle s’ouvre ce vendredi dans une agitation certaine.
Le Monde - Alliances et écologie au menu de l’université d’été du Parti socialiste
L’université d’été du PS s’ouvre vendredi 28 août à La Rochelle sur le thème « agir en commun ». Une vingtaine de ministres et secrétaires d’Etat, une large partie de la direction du parti et près de quatre mille militants seront réunis pour trois jours de débats, au lendemain des rentrées politiques des frondeurs (aile gauche) et des réformateurs (aile droite) du parti. Ils auront pour toile de fond les difficiles alliances aux régionales de décembre avec les partenaires de gauche.Le Monde publie ce jour une interview de Jean-Christophe Cambadélis que vous pouvez retrouver en cliquant ici ou lire ci-dessous: - See more at: http://www.cambadelis.net/2015/08/28/il-est-temps-de-redonner-a-la-gauche-son-supplement-dame-entretien-au-monde/#sthash.HatmUyYc.dpufINTERVIEW - A la veille de l’ouverture des universités d’été du Parti socialiste à La Rochelle, les "frondeurs" se sont réunis jeudi à Marennes (Charente-Maritime), à quelques kilomètres de là. Le député Christian Paul, chef de file de la motion B lors du dernier congrès, revient sur l’objectif de ces journées en cette "rentrée de la dernière chance".
Libé - Collomb au secours de Macron sur les 35 heures
Membre des réformateurs, l’aile droite du Parti socialiste, le maire de Lyon a tenté vendredi matin sur France 2 de défendre le ministre de l’Economie après ses propos sur les 35 heures. «Ce qu’il dit, en fait, c’est que pendant toute une période, on a cru que pour pouvoir résoudre le problème du chômage, il fallait partager le travail. Or on s’aperçoit que ça ne marche pas.» Le sénateur du Rhône s’appuie sur les chiffres du chômage pour justifier son propos et affirme qu’il faut «faire en sorte que beaucoup plus de gens puissent travailler».
France 3 - Et si G. Collomb remplaçait le ministre du travail ?
Gérard Collomb a ardemment défendu ce matin sur France 2 la politique actuelle du gouvernement et les réformes engagées par le ministre de l'Economie. Il s'est par ailleurs affiché à Bordeaux aux côtés d'Emmanuel Macron. Serait -il candidat au poste laissé vacant par le ministre du travail ?
Charente Libre - À Marennes, les frondeurs du PS ne la ferment pas
«Nous pensions réunir 250 à 300militants, nous sommes bien davantage.»
Constat de Suzanne Tallard, députée socialiste de la circonscription de Rochefort et locale de l’étape à Marennes où se tient jusqu’à ce vendredi midi un rassemblement à l’initiative des frondeurs du PS.
France Info - La Rochelle : quelle ligne politique pour le Parti socialiste ?
C’est un PS fort divisé qui se retrouve à La Rochelle cette année pour ses universités d’été, de vendredi à dimanche. Les "frondeurs" se sont imposés depuis plusieurs mois à la gauche du PS, tandis que les "réformateurs" à droite du parti haussent le ton. Deux ailes d’un même parti, deux visions différentes de l’action à mener. Comment le PS en est-il arrivé là, sous ce quinquennat ?
20 minutes - La Rochelle: Cinq choses à savoir sur l’université d’été du Parti socialiste
Réunion de famille à La Rochelle. Les socialistes se réunissent de vendredi à dimanche pour leur traditionnelle université d’été. Près de 4.000 militants, une vingtaine de ministres et les cadres du parti se retrouvent dans la cité rochelaise dans un contexte délicat. Le cap « social-libéral » maintenu par le gouvernement continue de crisper l’aile gauche du parti. 20 Minutes vous dit tout sur ce rassemblement.
L'Expansion - Polémique sur les 35 heures: Manuel Valls recadre Emmanuel Macron
Devant les patrons, le ministre de l'Economie s'est fendu d'une phrase assassine sur les 35 heures, fustigeant la gauche "qui a cru que la France pourrait aller mieux en travaillant moins". Manuel Valls lui a répondu en fermant la porte à toute réforme sur le sujet.28 août
Le Parisien - 35 heures : recadré par Valls, Macron tente de corriger le tir
Un rétropédalage en règle. Emmanuel Macron a transmis une courte déclaration à l'AFP pour préciser sa pensée : il ne visait pas les 35 heures lorsqu'il a parlé des « fausses idées » de la gauche devant des chefs d'entreprise réunis à l'université d'été du Medef. « Je ne parlais pas des 35 heures mais du rapport au travail. Il en faut plus, pas moins. C'est le plus beau combat de la gauche, car le travail, c'est le moteur de l'émancipation individuelle », écrit-il.
Le Monde - Jean-Marc Ayrault : « Le temps de la réforme fiscale est venu »
A la veille de l’université d’été du PS à La Rochelle, l’ancien premier ministre Jean-Marc Ayrault et le député socialiste Pierre-Alain Muet, ancien conseiller économique de Lionel Jospin, publient un livre intitulé Pour un impôt juste, prélevé à la source (Editions Jean-Jaurès, 70 p., 6 €). Ils regrettent que les annonces de baisses d’impôt du gouvernement de Manuel Valls ne s’inscrivent pas dans un projet cohérent de la fiscalité. « Il faut remettre toutes les mesures conjoncturelles en cohérence avec une vision de long terme », expliquent-ils.
Le Monde - Les « frondeurs » du PS dénoncent « la petite musique libérale » du gouvernement
... Les « frondeurs » grondent, mais comme à leur habitude, ne rompent pas. Leurs camarades de Podemos ou de Syriza peuvent bien vanter les mérites de la « recomposition » politique, pas question pour eux de quitter le PS pour tenter de construire une nouvelle force alternative avec les écologistes ou le Front de gauche. « Le temps d’une recomposition politique à gauche n’est pas venu, même si je ne peux pas dire de quoi sera faite la gauche des trois prochaines années », répond Christian Paul. Pas de rupture, mais la poursuite d’un bras de fer avec le gouvernement. « Je n’attends pas la défaite et la grande claque qui réveille parce qu’il est possible que la claque vous tue », explique Benoît Hamon.À la veille de l’Université d’été du PS de La Rochelle, l’ex motion B, qui avait obtenu 30 % lors du congrès PS de Poitiers, se réunit à Marennes pour les journées de rentrée. Une étape importante dans la construction d’un projet politique.
L’ex motion B du Congrès de Potiers fait sa rentrée aujourd’hui et demain, à Marennes. À quelques kilomètres de La Rochelle et à quelques heures de l’Université d’été du PS, qui s’y tiendra ce week-end. Un moment de retrouvailles. Un moment, aussi, pour construire un projet alternatif à gauche. Entretien avec le député de la Nièvre, Christian Paul, premier signataire de la motion B.
Charente Libre - La Rochelle: la grand-messe du PS débute vendredi entre alliances et tensions
La famille socialiste se réunit de vendredi à dimanche à La Rochelle, dans un contexte délicat avec les partenaires de gauche avant les régionales et alors que le maintien du cap économique par le gouvernement continue de susciter des remous dans les rangs du parti.
Le Figaro - Boudant La Rochelle, les courants du PS font bande à part
Le traditionnel campus d'été du Parti socialiste se tiendra comme chaque année à La Rochelle, à partir de vendredi. Mais les courants minoritaires organisent, dès aujourd'hui, leurs propres rentrées politiques.
France Bleu - La Rochelle : le PS fait travailler des salariés low-cost pour son université d'été
C'est une information révélée par France Bleu La Rochelle ce jeudi. Des travailleurs détachés venus de Roumanie ont été employés par le Parti socialiste pour son université d'été cette année. Ils sont moins chers que des salariés français. Pas de quoi polémiquer dit le Parti Socialiste, car tout est légal. Le Parti socialiste a exigé la rupture du contrat.
27 août
Le Figaro - Le PS ouvre sa porte à François de Rugy
À peine claquée la porte d'Europe-Ecologie-Les Verts, voilà que celle du Parti socialiste s'ouvre pour François de Rugy. C'est le secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement, Jean-Marie Le Guen qui a été le premier à draguer l'ex-écologiste. «Je serais heureux qu'il puisse bientôt nous rejoindre, c'est un homme de talent», a proposé le socialiste sur RMC.
Le Figaro - Les bras de fer internes en vue des régionales minent l'unité du PS
Deux mois après un congrès sous tension, le Parti socialiste affiche une unité fragile. Ces dernières semaines, les débats autour des listes régionales n'ont pas manqué de réveiller les animosités entre les différentes motions.
Le Monde - Emmanuel Macron, persona non grata à l’université d’été du PS ?
Emmanuel Macron n’assistera pas à l’université d’été du Parti socialiste, qui se tient à compter du vendredi 28 août à La Rochelle. Selon RTL, qui révèle l’information, son cabinet avance que le ministre de l’économie n’a pas été convié à l’événement. Il ne dispose plus de carte d’adhérent à la formation politique depuis 2009, avance-t-on au PS pour justifier son absence.Francis Gérard, prof d’histoire, nouveau “ patron ” du PS d’Indre-et-Loire, a comme devoir de remettre ses petits camarades au boulot, dans l’unité.
Francis Gérard n'est pas un joyeux drille. Pas là pour amuser la galerie ni renverser la table. Mais, il est structuré. Très bien organisé. Son côté prof, sans doute. A peine élu par surprise à la tête du PS pour succéder à Mickaël Cortot, il a déjà sous le coude son agenda départemental jusqu'à décembre. Dont, l'université de rentrée le 12 septembre à La Riche, la Fête de la rose, qui revient et c'est bon signe, le 4 octobre à Chambray. En attendant bien sûr, il sera sous le chapiteau PS de La Rochelle ce week-end, lui, le nouveau premier secrétaire départemental d'Indre-et-Loire, au milieu des grands fauves du parti.
Francetvinfo - Une députée PS automatiquement remplacée à l'Assemblée par sa belle-fille
La députée de Seine-Maritime Sandrine Hurel a vu sa mission temporaire, sur la politique vaccinale française, prolongée par le gouvernement. Elle est remplacée par Marie Le Vern.
Europe 1 - Comment le PS veut booster ses adhésions
ENQUETE EUROPE 1 - Le Parti socialiste fait sa rentrée ce week-end avec son université d'été à La Rochelle. A un an et demi de la présidentielle, il devra prendre à bras-le-corps une urgence : la baisse dramatique du nombre de ses adhérents. Les chiffres fluctuent selon les sources. La direction du PS revendique 130.000 membres, les plus pessimistes parlent de seulement 80.000. Quoi qu'il en soit, l'hémorragie est sévère : en décembre 2006, le PS comptait 280.000 adhérents… Le parti s'est donné un objectif ambitieux : atteindre les 500.000 militants fin 2016. Pour y parvenir, il met en place en ce moment plusieurs dispositifs qui seront tous opérationnels avant la fin de cette année.
Boursorama - Remaniement : "Ne surchargeons pas Macron" (Cambadélis)
Le successeur de François Rebsamen au ministère du Travail tarde à se faire connaître. Plusieurs noms sont avancés, notamment celui d'Emmanuel Macron qui élargirait ainsi son portefeuille ministériel. Mais pour Jean-Christophe Cambadélis, il ne faut pas "surcharger" le "talentueux" ministre de l'Économie.
Europe 1 - 2017 : Valls et Hollande seraient éliminés dès le premier tour
A moins de deux ans de la présidentielle, c'est un sondage peu réjouissant pour l'actuel couple exécutif et pour les socialistes en général. Si Manuel Valls serait un meilleur candidat pour le Parti socialiste que François Hollande à l'élection présidentielle de 2017, ils seraient tous les deux éliminés dès le premier tour, selon un sondage* Ifop pour Paris Match publié mardi.
Europe 1 - La rentrée divisée du Parti socialiste
Une fois n'est pas coutume, une rentrée sous haute tension s'annonce pour le PS. 4.000 militants sont attendus à partir de vendredi à La Rochelle pour la traditionnelle université d'été du parti. D'après le programme officiel, on parlera conférence climat, élections régionales et République. Mais en coulisses, les discussions devraient aussi tourner autour du budget 2016, qui sera discuté au Parlement cet automne. L'aile gauche du parti réclame toujours une inflexion de la politique économique du gouvernement, et notamment une réorientation des allègements de charges concédés aux entreprises vers les ménages et les collectivités locales. Pas de quoi entamer sereinement l'année.
L'Express - PS: Macron n'ira pas à La Rochelle, mais il a un plan B
Plutôt Jouy-en-Josas que La Rochelle. Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron ne se rendra pas à l'université d'été du PS qui se tient ce week-end dans la capitale charentaise, indique mardi matin RTL. Mais le locataire de Bercy participera bel et bien à la séance de clôture de l'université d'été du Medef jeudi après-midi. "Il en profitera pour rappeler aux patrons la nécessité de signer des accords dans le cadre du pacte de responsabilité", précise à L'Express son entourage.Les Echos - « Croissance, emploi, impôts : nous devons poursuivre les réformes »
Dans une tribune accordée aux Echos, le Premier ministre Manuel Valls décrit les quatre valeurs et les trois objectifs qui guident l'action du gouvernement.
Le Monde - A la veille de sa visite au Medef, Manuel Valls veut rassurer les patrons
A défaut de se produire une nouvelle fois sous le grand chapiteau de Jouy-en-Josas (Yvelines), où est organisé chaque année le campus patronal, c’est dansLes Echos du mardi 25 août que M. Valls délivre un message destiné à rassurer ceux qui s’inquiètent d’une éventuelle réorientation des 19 milliards d’euros d’aides promis aux entreprises pour 2016 et 2017. « A travers le pacte de responsabilité et de solidarité, l’ampleur du soutien aux entreprises ne sera pas remise en cause, écrit le premier ministre. Les entreprises ont besoin de cette visibilité pour investir et embaucher en confiance. »26 aoûtÀ Frangy, ce dimanche 23 août, sous une pluie qui n'aura pas fait fuir le peuple de gauche venu en nombre à l'invitation d'Arnaud Montebourg (plus de mille couverts auront été servis), eut lieu la 43eme fête de la Rose.
L'invité d'honneur était cette année, et c'est une première, un étranger : Yanis Varoufakis, l'ancien ministre grec de l'économie, qui a quitté le gouvernement Tzipras suite au dernier plan d'aide imposé par la Troïka.
Un bon poulet de Bresse et une bonne "cuvée de l'Europe " plus tard, les deux ex ministres de l'économie de France et de Grèce ont donc, devant un public attentif et malgré une météo capricieuse, expliqué à la tribune leurs positions en matière de politique européenne.Le Point - Cambadélis à Vidalies : "Le contrôle au faciès, certainement pas"
Sécurité intérieure, terrorisme, Russie, Syrie, mais aussi Grèce et zone euro : le premier secrétaire du Parti socialiste fait sa rentrée. Interview.
L'université d'été du PS, qui s'ouvre vendredi à la Rochelle en présence d'une vingtaine de ministres et de 4.000 militants, s'articulera autour de trois thèmes, la conférence de Paris sur le climat (COP21), les régionales et la République, a indiqué mardi David Assouline, secrétaire chargé de sa préparation.Libé - Christian Paul : «Nous avons perdu trop de temps, il faut changer l’intensité des réformes»
Le député de la Nièvre, chef de file des «frondeurs», appelle la gauche à mener une nouvelle politique et souhaite que soit organisée une conférence sur les dettes en Europe.
L’année dernière, ils avaient assisté à la Fête de la rose de Frangy (Saône-et-Loire). Cette année, ils n’iront pas en Bourgogne et se réuniront à Marennes (Charente-Maritime), deux jours avant l’université d’été de La Rochelle. Rencontre avec le «frondeur» Christian Paul.
24 août
Les Echos - Montebourg plaide pour une nouvelle Europe
Plaider avec force pour une autre Europe tout en n’oubliant pas d’envoyer des piques au gouvernement. A Frangy-en-Bresse, pour la 43e fête de la Rose – créée par Pierre Joxe en 1972 –, l’ancien ministre Arnaud Montebourg a lancé un vigoureux plaidoyer pour « mettre fin à l’euro oligarchique et construire l’euro démocratique » comme il l’a résumé. Mais l’ancien ministre n’a pas oublié de rappeler que c’est en ce même lieu qu’il y a un an il avait été débarqué du gouvernement pour avoir demandé une « cuvée du redressement » et une autre politique économique.L’ex-ministre de l’Economie Arnaud Montebourg a affirmé qu’il rêvait «que le parti socialiste soit bien différent», même s’il en est toujours membre, dimanche lors de la fête de la rose de Frangy-en-Bresse.
Le Monde - Montebourg-Varoufakis, deux révoltés de la politique européenne à « Frangy-en-Grèce »
Le groupe de musique répète sous le chapiteau installé en plein milieu du stade communal. Les deux vedettes politiques du jour ne sont pas encore arrivées, mais les musiciens donnent de la voix sur la chanson « Les écorchés vifs » de Noir Désir. Arnaud Montebourg et Yanis Varoufakis sont eux les deux révoltés de la politique européenne. L’ancien ministre des finances grec, nouvel héros des anti-libéraux en Europe, est accueilli sous les applaudissements peu après midi à Frangy-en-Bresse, rebaptisée pour l’occasion « Frangy-en-Grèce » par son hôteLe JDD - Yanis Varoufakis : "Hollande est fondamentalement coincé"INTERVIEW - L’ex-ministre des Finances grec, Yanis Varoufakis, est dimanche l’invité d’Arnaud Montebourg à la Fête de la Rose de Frangy-en-Bresse.
La Tribune - Pour Varoufakis, la démocratie a été perdue en Europe
L'ancien ministre grec des Finances considère dans un entretien au JDD que les réformes demandées à la Grèce pour adopter le troisième plan d'aide vont "faire sombrer" l'économie du pays et sont "une énorme claque infligée à la démocratie européenne".
23 aoûtLibé - A Frangy, Montebourg et Varoufakis accueillis comme des rock-stars
L'ex-ministre Arnaud Montebourg et l'ex-ministre des Finances grec Yanis Varoufakis sont arrivés, sur les coups de midi, à Frangy-en-Bresse, à l'occasion de la 43e Fête de la rose, sous le regard éberlué de curieux venus en nombre.
Le Parisien - Fête de la rose à Frangy : Montebourg partage la vedette avec Varoufakis
Enorme bousculade à Frangy-en-Bresse (Saône-et-Loire), ce dimanche matin, pour apercevoir les vedettes du jour ! Arnaud Montebourg faisait sa rentrée politique à la traditionnelle fête de la Rose, accompagné d'un invité d'honneur, l'ancien ministre des Finances grec, Yanis Varoufakis, héros des frondeurs français et de l'extrême-gauche grecque.
Le Figaro - Montebourg et Varoufakis, deux trublions en vedette à Frangy
Il y a un an, sa «Cuvée du redressement» qu'il voulait envoyer à François Hollande avait tourné au vinaigre, provoquant son éviction du gouvernement. Mais depuis son départ précipité, le trublion Arnaud Montebourg, désormais en retrait de la vie politique, n'a pas perdu son sens de la transgression. Dimanche, pour la 43e Fête de la rose organisée à Frangy-en-Bresse (Saône-et-Loire), l'ancien ministre de l'Économie a invité un autre ex-ministre des Finances, le Grec Yanis Varoufakis. Économiste au fort tempérament, le député de Syriza prônait une ligne dure face à la Banque centrale européenne. Après avoir mené la vie dure aux créanciers, il avait démissionné le 6 juillet du gouvernement du premier ministre grec Alexis Tsipras, au lendemain de la victoire du non au référendum.
Boursorama - Montebourg : "On ne va pas continuer comme ça quoi!"
Dans un entretien accordé ce mercredi à l'AFP, Arnaud Montebourg affirme que son diagnostic sur la crise économique française et européenne était le bon. Un an après son départ de Bercy, il demande une nouvelle fois un changement de politique au sein de l'UE.
22 août
Libé - Fête de la rose : Montebourg-Varoufákis, l'alliance anti-austérité
Dimanche, l'ancien ministre de l'Economie effectue sa rentrée politique à Frangy-en-Bresse. La présence du très médiatique ex-ministre grec des Finances risque d'animer la journée.
Officiellement, il est toujours retiré de la vie politique. Pourtant, il dégaine le premier. Dimanche, à l’occasion de la 43e Fête de la rose, Arnaud Montebourg fera comme chaque année sa rentrée dans son fief de Frangy-en-Bresse (Saône-et-Loire). L’édition 2014, pimentée par la Cuvée du Redressement adressée à François Hollande, avait tourné au vinaigre provoquant son éviction du gouvernement. Le millésime 2015 promet d’être tout aussi explosif. L’invité d’honneur n’est autre que Yánis Varoufákis, l’ancien ministre grec des Finances, qui a démissionné au lendemain du référendum.
La Croix - Arnaud Montebourg, toujours en résistance
Aux côtés d’Arnaud Montebourg, l’ancien ministre grec des finances Yanis Varoufakis sera l’invité d’honneur de la Fête de la rose, à Frangy-en-Bresse, dimanche 23 août 2015.
Le Dauphiné Libéré - Arnaud Montebourg (presque) prophète en son pays
La venue de Yanis Varoufakis à la Fête de la Rose de Frangy agace au PS. Mais, chez lui, Arnaud Montebourg peut compter sur de nombreux soutiens.
Lorsqu’Arnaud Montebourg a dévoilé la tête d’affiche de sa Fête de la Rose, plus d’un socialiste s’est étouffé. L’homme à la marinière agace déjà à Solférino, mais son invité d’honneur, le turbulent ex-ministre grec de l’Économie Yanis Varoufakis, donne, lui, des boutons à plus d’un membre de la majorité. Même en Saône-et-Loire, fief de Montebourg, quelques voix se sont élevées pour dire leur irritation. Christophe Sirugue, député PS fidèle au gouvernement, estime : « Ce n’est plus une fête socialiste, c’est la fête des amis d’Arnaud Montebourg. »
Libé - Varoufakis et Montebourg, deux bouillonnants ex-ministres à la Fête de la rose
La Fête de la Rose de Frangy-en-Bresse (Saône-et-Loire) accueille dimanche le bouillonnant Yanis Varoufakis, ex-ministre grec des Finances, qui viendra parler Europe et refus de l’austérité aux côtés du non moins détonnant Arnaud Montebourg, ancien ministre de l’Economie évincé il y a tout juste un an du gouvernement.
Le Figaro - Avant la Fête de la rose, Cambadélis «tend la main» à Montebourg
Pas rancunier. Même s'il adresse des critiques de plus en plus régulièrement au gouvernement auquel il a participé pendant deux ans, Arnaud Montebourg est toujours en odeur de sainteté au sein de la direction du PS. Alors que la rentrée politique s'annonce agitée, le responsable des socialistes, Jean-Christophe Cambadélis, voudrait bien voir le «turlupin de la gauche» laisser tomber sa verve contestataire et se ranger derrière les socialistes.
Un an après la fête de la rose de Frangy en Bresse au cours de laquelle Arnaud Montebourg avait pris des positions considérées comme virulentes par l'exécutif - et ayant entrainé son départ du gouvernement - qu'en est-il du rapport des Français aux "frondeurs"? On le sait, la situation de la France sur le front de l'emploi ne s'est pas véritablement améliorée, la perception d'inégalités sociales apparait toujours manifeste et le terme "de gauche" ne qualifie que rarement l'action du gouvernement et du Président de la République.
Rue 89 - Montebourg-Varoufakis : le jeu des sept ressemblances
Les tableaux qu’on veut faire entrer de force dans de nouveaux cadres font toujours mauvais effet. C’est en substance ce que répondent les proches d’Arnaud Montebourg lorsqu’on leur demande si la venue de Yanis Varoufakis dimanche à Frangy-en-Bresse (Saône-et-Loire) invite à l’analyse comparée.
« Ce sont deux beaux garçons », s’amuse la députée PS Cécile Untermaier. Mais elle ne manque pas de souligner que les deux anciens ministres ont « la même préoccupation » quant à « l’austérité ».
Les organisateurs de la Fête de la rose voulaient une stature européenne pour faire honneur à la « cuvée Europe ». Ils ont pensé à Cohn-Bendit. Puis ont contacté Varoufakis. De manière très « insistante » selon le Grec... Et à l’approche de l’évènement, ils s’autorisent eux-mêmes le parallèle osé. Le sénateur Jérôme Durain parle ainsi de « vraie convergence de réflexion ».
Le Figaro - La gauche alternative française se dispute Yanis Varoufakis
Il est l'idole de la gauche de la gauche française. Déjà applaudi quand il a claqué la porte du gouvernement Tsipras, en juillet, Yanis Varoufakis, le turbulent ex-ministre des Finances grec, est depuis sollicité de toutes parts. Il croule sous les invitations des leaders des partis et mouvements de la gauche alternative. S'il s'est pour l'instant réservé à Arnaud Montebourg et à sa fête de la Rose à Frangy-en-Bresse dimanche, le Parti de gauche travaille d'arrache pied pour le faire venir à la Fête de l'Humanité.
Le Point - Montebourg-Varoufakis : quand Narcisse rencontre Narcisse
L'ex-ministre grec sera l'invité d'honneur de Montebourg à la Fête de la rose de Frangy-en-Bresse. Deux pros de l'esbroufe qui ne pouvaient que s'entendre.