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macron - Page 23

  • BFMTV - Législatives: entre recyclés et recalés, quelle part du PS chez En Marche?

    Si plusieurs membres du Parti Socialiste ont émis le souhait de rejoindre les rangs d'Emmanuel Macron, peu ont finalement franchi le pas. Selon des sources à En Marche et au PS, entre 70 et 100 députés PS sortants ont sollicité l'étiquette du parti d'Emmanuel Macron, mais seule une pincée à été acceptée.

    En Marche, usine à "recycler" du PS comme l'en accusent ses adversaires? Le parti d'Emmanuel Macron a certes investi plus d'une vingtaine de députés sortants de gauche, mais il fait valoir que beaucoup de postulants socialistes ont été recalés.

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  • France Culture, Répliques : La gauche en morceaux

    Emmanuel Macron serait-il en passe de gagner son pari de substituer aux clivages dépassés, fatigués, moribonds de la droite et de la gauche, l'opposition toute pimpante des progressistes et des conservateurs ?

    Il y a bientôt deux mois, lorsque j'ai lancé mon invitation à Laurent Bouvet et André Burguière qui viennent respectivement de publier La gauche zombie et La gauche va-t-elle disparaître ? je pressentais justement que la gauche allait souffrir mais je ne m'imaginais pas à quel point. Après sa déroute électorale, le parti socialiste vole en éclat et les chances de la France insoumise d’accéder au pouvoir semblent aussi minces que celles du Parti Travailliste britannique sous la direction de Jeremy Corbyn.

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  • Huffington Post - Législatives 2017: Mélenchon étrille les "crevards" du PS et la "tambouille de recyclage" du "président Macron"

    Lors de la convention législative de son mouvement, le chef de file de la France insoumise s'est posé en adversaire numéro un du président.

    "Méluche" repart à l'attaque. Ayant laissé passer le temps du deuil d'une victoire présidentielle qu'il croyait à portée de main, Jean-Luc Mélenchon a livré un brûlant discours de remobilisation ce samedi 13 mai devant ses candidats aux législatives réunis en convention à Villejuif, en région parisienne. Défendant le "gouvernement des braves gens" qu'il espère imposer au "président Macron" s'il parvient à remporter les prochaines élections, le chef de file de la France insoumise a tiré à boulets rouges contre les couacs des investitures En Marche! et le double-jeu de certains socialistes tentés par un ralliement à la majorité présidentielle.

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  • L'actualite des socialistes du 5 au 11 mai (revue de presse hebdomadaire)

    A LA UNE

    Paul Alliès - Macron et la question démocratique: surprises?

    Emmanuel Macron a consacré une bonne part de ses ultimes propos sur Mediapart vendredi soir, à la question démocratique. Cela vaut qu’on y revienne tant il était resté quasi muet sur le sujet durant sa campagne.
     
    Face à l’insistance et à la précision des questions, le nouveau président de la République a déroulé une série de propositions qui ne manquent pas d’intérêt: garantir la moralité des candidats aux législatives (exigence d’un casier judiciaire vierge); instaurer « avant la fin de l’année » la proportionnelle pour l’Assemblée Nationale (en tout ou partie ?); réduire le nombre de parlementaires pour qu’ils exercent un mandat unique (et contrôlent mieux le gouvernement); « muscler » les commissions permanentes pour améliorer le travail législatif; transformer le Conseil Economique, Social et Environnemental en chambre de représentation de la vie associative et civile. Cette ouverture parlementaire des institutions de la V° République trouverait son débouché dans une réforme des institutions européennes qui devrait commencer par la parlementarisation de la zone Euro.
     

    Dimanche 7 mai 2017, 20h. Le visage d’Emmanuel Macron s’affiche sur les écrans de millions de foyers français. 66,1% des électeurs viennent d’en faire le huitième président de la Cinquième République. Dénouement d’une élection aux allures de feuilleton. A 39 ans, Emmanuel Macron vient de relever un défi : devenir le plus jeune président de la République française. Celui que Laurent Fabius, nommé en 1984 Premier ministre à l’âge de 37 ans, renvoyait dans les cordes de ses ambitions affichées il y a encore quelques mois, peut désormais s’enorgueillir de ce premier fait d’arme.

    Le coup d’envoi du quinquennat 2017-2022, dont nous connaissons désormais le meneur de jeu, vient d’être donné. Reste à savoir si la feuille de match sera à la hauteur des promesses de renouvellement faites par le leader d’En Marche.

    LEGISLATIVES

    PS : La plate-forme pour les législatives

    Le Monde - Personnalités publiques, députés… Qui sont les candidats investis par La République en marche ?

    Dans la liste des 428 candidats pour les législatives figurent Gaspard Gantzer, chargé de la communication de Hollande, les députés Pompili et Castaner ou encore le mathématicien Cédric Villani.

    En présentant une liste de 428 candidats aux élections législatives de juin, jeudi 11 mai, Richard Ferrand, secrétaire général de La République en marche (LRM), a mis en avant le fait que 52 % des personnes investies étaient issues de la société civile et que 95 % d’entre elles n’étaient pas des députés sortants. Parmi elles figurent toutefois des personnalités, issues, ou non, du monde de la politique.
     
     
    L'actuel député socialiste de la 4e circonscription des Bouches-du-Rhône affrontera le 11 juin prochain Jean-Luc Mélenchon au premier tour des législatives. Interview.
     

    .... On remarquera donc qu'à gauche, parmi les membres du gouvernement, ni Stéphane Le Foll, ni Jean-Marie Le Guen, ni Marisol Touraine, ni Myriam El Khomri, ni Axelle Lemaire ne connaissent pour l'heure l'identité de leur adversaire La République en marche. 

    L'Obs - Revenu universel, nucléaire... Ces propositions de Hamon que le PS a enterrées

    Le programme du candidat socialiste a fait long feu. La plateforme en vue des législatives, adoptée ce mardi en Bureau national par le PS, abandonne ses mesures-phares et met un net coup de barre vers le macronisme.

    L'Obs - Législatives : au PS, une synthèse timide pour "sauver 50 députés"

    Enterrés par Manuel Valls mardi matin, les socialistes ont accouché dans l'après-midi d'une plateforme commune pour les législatives. Une dernière synthèse pour la route ?

    Walking dead saison 8 ? Le mardi 9 mai des socialistes en ferait un bon trailer, avec Manuel Valls en scénariste honni, prononçant dès l'aurore "la mort" du Parti à la rose, et des ténors socialistes passés en mode survie politique... Il fallait voir leur mines renfrognées défiler ce mardi après-midi à la Mutualité, cette salle parisienne où le premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis avait convié pour une réunion à huis-clos tous les candidats que Solférino présentera aux prochaines législatives.

    Kantar - Les Français et les élections législatives 2017

    Alors qu’Emmanuel Macron vient d’être élu à la Présidence de la République, la question de la majorité parlementaire dont il pourrait disposer à l’issue des élections législatives de juin se pose avec acuité.

    Notre enquête Kantar Sofres-onepoint réalisée les 4 et 5 mai 2017 – soit avant le 2ndtour de la présidentielle – montre que, pour les Français, ces élections législatives ne donneront pas nécessairement à Emmanuel Macron une majorité claire pour gouverner. Dans le contexte d’entre-deux-tours et sans que soit connu le nom du Premier ministre, ni l’ampleur de la victoire d’Emmanuel Macron, une partie conséquente de l’électorat semble en effet tenté de faire de ces élection législatives les 3e et 4e tours de l’élection présidentielle et ainsi d’infléchir la politique conduite par le nouveau Président.

     
    Le prétendant à l'Elysée est revenu ce vendredi sur ce qui était jusque-là une exigence, notamment pour les candidats socialistes.

    Emmanuel Macron fait marche arrière. S'il accède à l'Elysée, les candidats investis sous l'étiquette "majorité présidentielle" n'auront pas forcément à quitter leur parti d'origine. Le candidat d'En Marche! revient ainsi sur ce qui était jusque-là une exigence, notamment pour les socialistes.

    DES DEMAIN

    France Info - Anne Hidalgo, Christiane Taubira et Martine Aubry lancent un mouvement politique, "Dès demain"

    "Ce n'est pas un parti", assure l'entourage de la maire de Paris au sujet de cette initiative aux contours encore flous, lancée via une tribune dans "Le Monde".

    Ils s'adressent à "tous les humanistes qui croient encore en l'action". Des figures politiques comme les maires PS de Paris et Lille, Anne Hidalgo et Martine Aubry, et l'ex-ministre de la justice Christiane Taubira, ainsi que des intellectuels et des artistes, parmi lesquels Yann Arthus-Bertrand ou Jacques Higelin, cosignent une tribune publiée dans Le Monde, mercredi 10 mai. Ils y annoncent le lancement d'un mouvement politique baptisé Dès demain.

    HAMON

    Libé - Futur désirable : Pourquoi Benoît Hamon veut-il lancer un «nouveau mouvement» ?
     
    L'ex-candidat socialiste à la présidentielle a annoncé ce mercredi matin qu'il souhaitait «reconstruire une gauche inventive» avec la création d'une nouvelle formation le 1er juillet, soit après les législatives. Un pas de côté avec le PS donc, mais en prenant son temps.
     
    Le Lab - Législatives : Hamon regrette que des dirigeants PS qui n’ont "sans doute pas voté" pour lui enterrent son programme
     
    C’est un autre coup dur à encaisser pour Benoît Hamon, après sa déculottée (6,2%) à la présidentielle : le PS a enterré plusieurs propositions phares de son programme en vue des législatives. Exit donc le revenu universel, la taxation des robots, la sortie du diesel et du nucléaire. "Et le 49.3 citoyen", ajoute le député des Yvelines à l’énumération de ces abandons, mercredi 10 mai sur France Inter. Amer mais lucide, le cinquième homme de cette présidentielle n’est pas si surpris que ça de l’attitude des dirigeants de son parti qui, pour certains d’entre eux, "n’ont ni fait [sa] campagne, ni sans doute voté pour [lui]".
     
    VALLS
     
    Libé - Récap' vidéo : La semaine où... Manuel Valls a coupé les ponts avec le Parti socialiste
     
    En affirmant vouloir rejoindre La République en marche pour les prochaines législatives, l'ancien Premier ministre s'est définitivement mis à dos le PS. Sans pour autant parvenir à se faire adouber par le mouvement d'Emmanuel Macron.
  • Balle au centre, Agathe Cagé - Le coup de sifflet démocratique

    Publié le

    Dimanche 7 mai 2017, 20h. Le visage d’Emmanuel Macron s’affiche sur les écrans de millions de foyers français. 66,1% des électeurs viennent d’en faire le huitième président de la Cinquième République. Dénouement d’une élection aux allures de feuilleton. A 39 ans, Emmanuel Macron vient de relever un défi : devenir le plus jeune président de la République française. Celui que Laurent Fabius, nommé en 1984 Premier ministre à l’âge de 37 ans, renvoyait dans les cordes de ses ambitions affichées il y a encore quelques mois, peut désormais s’enorgueillir de ce premier fait d’arme.

    Le coup d’envoi du quinquennat 2017-2022, dont nous connaissons désormais le meneur de jeu, vient d’être donné. Reste à savoir si la feuille de match sera à la hauteur des promesses de renouvellement faites par le leader d’En Marche.

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  • L'actualite des socialistes du 5 au 11 mai (revue de presse hebdomadaire)

    A LA UNE

    Paul Alliès - Macron et la question démocratique: surprises?

    Emmanuel Macron a consacré une bonne part de ses ultimes propos sur Mediapart vendredi soir, à la question démocratique. Cela vaut qu’on y revienne tant il était resté quasi muet sur le sujet durant sa campagne.
     
    Face à l’insistance et à la précision des questions, le nouveau président de la République a déroulé une série de propositions qui ne manquent pas d’intérêt: garantir la moralité des candidats aux législatives (exigence d’un casier judiciaire vierge); instaurer « avant la fin de l’année » la proportionnelle pour l’Assemblée Nationale (en tout ou partie ?); réduire le nombre de parlementaires pour qu’ils exercent un mandat unique (et contrôlent mieux le gouvernement); « muscler » les commissions permanentes pour améliorer le travail législatif; transformer le Conseil Economique, Social et Environnemental en chambre de représentation de la vie associative et civile. Cette ouverture parlementaire des institutions de la V° République trouverait son débouché dans une réforme des institutions européennes qui devrait commencer par la parlementarisation de la zone Euro.
     

    Dimanche 7 mai 2017, 20h. Le visage d’Emmanuel Macron s’affiche sur les écrans de millions de foyers français. 66,1% des électeurs viennent d’en faire le huitième président de la Cinquième République. Dénouement d’une élection aux allures de feuilleton. A 39 ans, Emmanuel Macron vient de relever un défi : devenir le plus jeune président de la République française. Celui que Laurent Fabius, nommé en 1984 Premier ministre à l’âge de 37 ans, renvoyait dans les cordes de ses ambitions affichées il y a encore quelques mois, peut désormais s’enorgueillir de ce premier fait d’arme.

    Le coup d’envoi du quinquennat 2017-2022, dont nous connaissons désormais le meneur de jeu, vient d’être donné. Reste à savoir si la feuille de match sera à la hauteur des promesses de renouvellement faites par le leader d’En Marche.

    LEGISLATIVES

    PS : La plate-forme pour les législatives

    Le Monde - Personnalités publiques, députés… Qui sont les candidats investis par La République en marche ?

    Dans la liste des 428 candidats pour les législatives figurent Gaspard Gantzer, chargé de la communication de Hollande, les députés Pompili et Castaner ou encore le mathématicien Cédric Villani.

    En présentant une liste de 428 candidats aux élections législatives de juin, jeudi 11 mai, Richard Ferrand, secrétaire général de La République en marche (LRM), a mis en avant le fait que 52 % des personnes investies étaient issues de la société civile et que 95 % d’entre elles n’étaient pas des députés sortants. Parmi elles figurent toutefois des personnalités, issues, ou non, du monde de la politique.
     
     
    L'actuel député socialiste de la 4e circonscription des Bouches-du-Rhône affrontera le 11 juin prochain Jean-Luc Mélenchon au premier tour des législatives. Interview.
     

    .... On remarquera donc qu'à gauche, parmi les membres du gouvernement, ni Stéphane Le Foll, ni Jean-Marie Le Guen, ni Marisol Touraine, ni Myriam El Khomri, ni Axelle Lemaire ne connaissent pour l'heure l'identité de leur adversaire La République en marche. 

    L'Obs - Revenu universel, nucléaire... Ces propositions de Hamon que le PS a enterrées

    Le programme du candidat socialiste a fait long feu. La plateforme en vue des législatives, adoptée ce mardi en Bureau national par le PS, abandonne ses mesures-phares et met un net coup de barre vers le macronisme.

    L'Obs - Législatives : au PS, une synthèse timide pour "sauver 50 députés"

    Enterrés par Manuel Valls mardi matin, les socialistes ont accouché dans l'après-midi d'une plateforme commune pour les législatives. Une dernière synthèse pour la route ?

    Walking dead saison 8 ? Le mardi 9 mai des socialistes en ferait un bon trailer, avec Manuel Valls en scénariste honni, prononçant dès l'aurore "la mort" du Parti à la rose, et des ténors socialistes passés en mode survie politique... Il fallait voir leur mines renfrognées défiler ce mardi après-midi à la Mutualité, cette salle parisienne où le premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis avait convié pour une réunion à huis-clos tous les candidats que Solférino présentera aux prochaines législatives.

    Kantar - Les Français et les élections législatives 2017

    Alors qu’Emmanuel Macron vient d’être élu à la Présidence de la République, la question de la majorité parlementaire dont il pourrait disposer à l’issue des élections législatives de juin se pose avec acuité.

    Notre enquête Kantar Sofres-onepoint réalisée les 4 et 5 mai 2017 – soit avant le 2ndtour de la présidentielle – montre que, pour les Français, ces élections législatives ne donneront pas nécessairement à Emmanuel Macron une majorité claire pour gouverner. Dans le contexte d’entre-deux-tours et sans que soit connu le nom du Premier ministre, ni l’ampleur de la victoire d’Emmanuel Macron, une partie conséquente de l’électorat semble en effet tenté de faire de ces élection législatives les 3e et 4e tours de l’élection présidentielle et ainsi d’infléchir la politique conduite par le nouveau Président.

     
    Le prétendant à l'Elysée est revenu ce vendredi sur ce qui était jusque-là une exigence, notamment pour les candidats socialistes.

    Emmanuel Macron fait marche arrière. S'il accède à l'Elysée, les candidats investis sous l'étiquette "majorité présidentielle" n'auront pas forcément à quitter leur parti d'origine. Le candidat d'En Marche! revient ainsi sur ce qui était jusque-là une exigence, notamment pour les socialistes.

    DES DEMAIN

    France Info - Anne Hidalgo, Christiane Taubira et Martine Aubry lancent un mouvement politique, "Dès demain"

    "Ce n'est pas un parti", assure l'entourage de la maire de Paris au sujet de cette initiative aux contours encore flous, lancée via une tribune dans "Le Monde".

    Ils s'adressent à "tous les humanistes qui croient encore en l'action". Des figures politiques comme les maires PS de Paris et Lille, Anne Hidalgo et Martine Aubry, et l'ex-ministre de la justice Christiane Taubira, ainsi que des intellectuels et des artistes, parmi lesquels Yann Arthus-Bertrand ou Jacques Higelin, cosignent une tribune publiée dans Le Monde, mercredi 10 mai. Ils y annoncent le lancement d'un mouvement politique baptisé Dès demain.

    HAMON

    Libé - Futur désirable : Pourquoi Benoît Hamon veut-il lancer un «nouveau mouvement» ?
     
    L'ex-candidat socialiste à la présidentielle a annoncé ce mercredi matin qu'il souhaitait «reconstruire une gauche inventive» avec la création d'une nouvelle formation le 1er juillet, soit après les législatives. Un pas de côté avec le PS donc, mais en prenant son temps.
     
    Le Lab - Législatives : Hamon regrette que des dirigeants PS qui n’ont "sans doute pas voté" pour lui enterrent son programme
     
    C’est un autre coup dur à encaisser pour Benoît Hamon, après sa déculottée (6,2%) à la présidentielle : le PS a enterré plusieurs propositions phares de son programme en vue des législatives. Exit donc le revenu universel, la taxation des robots, la sortie du diesel et du nucléaire. "Et le 49.3 citoyen", ajoute le député des Yvelines à l’énumération de ces abandons, mercredi 10 mai sur France Inter. Amer mais lucide, le cinquième homme de cette présidentielle n’est pas si surpris que ça de l’attitude des dirigeants de son parti qui, pour certains d’entre eux, "n’ont ni fait [sa] campagne, ni sans doute voté pour [lui]".
     
    VALLS
     
    Libé - Récap' vidéo : La semaine où... Manuel Valls a coupé les ponts avec le Parti socialiste
     
    En affirmant vouloir rejoindre La République en marche pour les prochaines législatives, l'ancien Premier ministre s'est définitivement mis à dos le PS. Sans pour autant parvenir à se faire adouber par le mouvement d'Emmanuel Macron.
  • Paul Alliès, Mediapart - Macron et la question démocratique: surprises?

    Emmanuel Macron a consacré une bonne part de ses ultimes propos sur Mediapart vendredi soir, à la question démocratique. Cela vaut qu’on y revienne tant il était resté quasi muet sur le sujet durant sa campagne.

     Face à l’insistance et à la précision des questions, le nouveau président de la République a déroulé une série de propositions qui ne manquent pas d’intérêt: garantir la moralité des candidats aux législatives (exigence d’un casier judiciaire vierge); instaurer « avant la fin de l’année » la proportionnelle pour l’Assemblée Nationale (en tout ou partie ?); réduire le nombre de parlementaires pour qu’ils exercent un mandat unique (et contrôlent mieux le gouvernement); « muscler » les commissions permanentes pour améliorer le travail législatif; transformer le Conseil Economique, Social et Environnemental en chambre de représentation de la vie associative et civile. Cette ouverture parlementaire des institutions de la V° République trouverait son débouché dans une réforme des institutions européennes qui devrait commencer par la parlementarisation de la zone Euro.
     
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  • Télérama - Présidentielle 2017 : quelles conséquences politiques aura l'élection d'Emmanuel Macron ?

    Deux jours après l'élection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République française, qui a remporté le scrutin face à Marine Le Pen avec 66,10% des voix, quels enseignements peut-on en tirer ? Quelles conséquences sur les partis politiques ? A quoi peut-on s'attendre aux législatives ? Florence Haegel, professeure à Sciences Po, était dans le studio vidéo de “Télérama” pour répondre à vos questions et aux nôtres.

  • Télérama - Et c'est ainsi qu'Emmanuel Macron est grand

    Gérard Philippe ou Bonaparte ? Kennedy ou Jeanne d’Arc ? Sur toutes les chaînes, on rivalise d’imagination pour trouver à Emmanuel Macron de glorieux ancêtres.

  • L'actualite des socialistes du 5 au 11 mai (revue de presse hebdomadaire)

    A LA UNE

    Paul Alliès - Macron et la question démocratique: surprises?

    Emmanuel Macron a consacré une bonne part de ses ultimes propos sur Mediapart vendredi soir, à la question démocratique. Cela vaut qu’on y revienne tant il était resté quasi muet sur le sujet durant sa campagne.
     
    Face à l’insistance et à la précision des questions, le nouveau président de la République a déroulé une série de propositions qui ne manquent pas d’intérêt: garantir la moralité des candidats aux législatives (exigence d’un casier judiciaire vierge); instaurer « avant la fin de l’année » la proportionnelle pour l’Assemblée Nationale (en tout ou partie ?); réduire le nombre de parlementaires pour qu’ils exercent un mandat unique (et contrôlent mieux le gouvernement); « muscler » les commissions permanentes pour améliorer le travail législatif; transformer le Conseil Economique, Social et Environnemental en chambre de représentation de la vie associative et civile. Cette ouverture parlementaire des institutions de la V° République trouverait son débouché dans une réforme des institutions européennes qui devrait commencer par la parlementarisation de la zone Euro.
     

    Dimanche 7 mai 2017, 20h. Le visage d’Emmanuel Macron s’affiche sur les écrans de millions de foyers français. 66,1% des électeurs viennent d’en faire le huitième président de la Cinquième République. Dénouement d’une élection aux allures de feuilleton. A 39 ans, Emmanuel Macron vient de relever un défi : devenir le plus jeune président de la République française. Celui que Laurent Fabius, nommé en 1984 Premier ministre à l’âge de 37 ans, renvoyait dans les cordes de ses ambitions affichées il y a encore quelques mois, peut désormais s’enorgueillir de ce premier fait d’arme.

    Le coup d’envoi du quinquennat 2017-2022, dont nous connaissons désormais le meneur de jeu, vient d’être donné. Reste à savoir si la feuille de match sera à la hauteur des promesses de renouvellement faites par le leader d’En Marche.

    LEGISLATIVES

    PS : La plate-forme pour les législatives

    Le Monde - Personnalités publiques, députés… Qui sont les candidats investis par La République en marche ?

    Dans la liste des 428 candidats pour les législatives figurent Gaspard Gantzer, chargé de la communication de Hollande, les députés Pompili et Castaner ou encore le mathématicien Cédric Villani.

    En présentant une liste de 428 candidats aux élections législatives de juin, jeudi 11 mai, Richard Ferrand, secrétaire général de La République en marche (LRM), a mis en avant le fait que 52 % des personnes investies étaient issues de la société civile et que 95 % d’entre elles n’étaient pas des députés sortants. Parmi elles figurent toutefois des personnalités, issues, ou non, du monde de la politique.
     
     
    L'actuel député socialiste de la 4e circonscription des Bouches-du-Rhône affrontera le 11 juin prochain Jean-Luc Mélenchon au premier tour des législatives. Interview.
     

    .... On remarquera donc qu'à gauche, parmi les membres du gouvernement, ni Stéphane Le Foll, ni Jean-Marie Le Guen, ni Marisol Touraine, ni Myriam El Khomri, ni Axelle Lemaire ne connaissent pour l'heure l'identité de leur adversaire La République en marche. 

    L'Obs - Revenu universel, nucléaire... Ces propositions de Hamon que le PS a enterrées

    Le programme du candidat socialiste a fait long feu. La plateforme en vue des législatives, adoptée ce mardi en Bureau national par le PS, abandonne ses mesures-phares et met un net coup de barre vers le macronisme.

    L'Obs - Législatives : au PS, une synthèse timide pour "sauver 50 députés"

    Enterrés par Manuel Valls mardi matin, les socialistes ont accouché dans l'après-midi d'une plateforme commune pour les législatives. Une dernière synthèse pour la route ?

    Walking dead saison 8 ? Le mardi 9 mai des socialistes en ferait un bon trailer, avec Manuel Valls en scénariste honni, prononçant dès l'aurore "la mort" du Parti à la rose, et des ténors socialistes passés en mode survie politique... Il fallait voir leur mines renfrognées défiler ce mardi après-midi à la Mutualité, cette salle parisienne où le premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis avait convié pour une réunion à huis-clos tous les candidats que Solférino présentera aux prochaines législatives.

    Kantar - Les Français et les élections législatives 2017

    Alors qu’Emmanuel Macron vient d’être élu à la Présidence de la République, la question de la majorité parlementaire dont il pourrait disposer à l’issue des élections législatives de juin se pose avec acuité.

    Notre enquête Kantar Sofres-onepoint réalisée les 4 et 5 mai 2017 – soit avant le 2ndtour de la présidentielle – montre que, pour les Français, ces élections législatives ne donneront pas nécessairement à Emmanuel Macron une majorité claire pour gouverner. Dans le contexte d’entre-deux-tours et sans que soit connu le nom du Premier ministre, ni l’ampleur de la victoire d’Emmanuel Macron, une partie conséquente de l’électorat semble en effet tenté de faire de ces élection législatives les 3e et 4e tours de l’élection présidentielle et ainsi d’infléchir la politique conduite par le nouveau Président.

     
    Le prétendant à l'Elysée est revenu ce vendredi sur ce qui était jusque-là une exigence, notamment pour les candidats socialistes.

    Emmanuel Macron fait marche arrière. S'il accède à l'Elysée, les candidats investis sous l'étiquette "majorité présidentielle" n'auront pas forcément à quitter leur parti d'origine. Le candidat d'En Marche! revient ainsi sur ce qui était jusque-là une exigence, notamment pour les socialistes.

    HAMON

    Libé - Futur désirable : Pourquoi Benoît Hamon veut-il lancer un «nouveau mouvement» ?
     
    L'ex-candidat socialiste à la présidentielle a annoncé ce mercredi matin qu'il souhaitait «reconstruire une gauche inventive» avec la création d'une nouvelle formation le 1er juillet, soit après les législatives. Un pas de côté avec le PS donc, mais en prenant son temps.
     
    Le Lab - Législatives : Hamon regrette que des dirigeants PS qui n’ont "sans doute pas voté" pour lui enterrent son programme
     
    C’est un autre coup dur à encaisser pour Benoît Hamon, après sa déculottée (6,2%) à la présidentielle : le PS a enterré plusieurs propositions phares de son programme en vue des législatives. Exit donc le revenu universel, la taxation des robots, la sortie du diesel et du nucléaire. "Et le 49.3 citoyen", ajoute le député des Yvelines à l’énumération de ces abandons, mercredi 10 mai sur France Inter. Amer mais lucide, le cinquième homme de cette présidentielle n’est pas si surpris que ça de l’attitude des dirigeants de son parti qui, pour certains d’entre eux, "n’ont ni fait [sa] campagne, ni sans doute voté pour [lui]".
     
    EN MARCHE
     
    Libé - Financement : Comment En marche a résolu sa question de fonds
     
    Lancée ex nihilo en avril 2016, la structure qui a porté au pouvoir le nouveau président s’est financée grâce aux dons des réseaux bancaires ou des patrons de start-up. Coulisses secrètes d’une collecte express et incroyablement efficace, aux racines de la blitzkrieg électorale macronienne.
     
    LYON
     
    Lyon Capitale - Jean-Paul Bret : “Collomb, c’est Don Corleone”
     
    Au lendemain de l’investiture de Bruno Bonnell par En Marche à Villeurbanne, Jean-Paul Bret, le maire de la ville, qui soutient Najat Vallaud-Belkacem (PS), ne décolère pas. Il s’en prend aux méthodes de Gérard Collomb. Entretien.
     
    VALLS
     
    Libé - Récap' vidéo : La semaine où... Manuel Valls a coupé les ponts avec le Parti socialiste
     
    En affirmant vouloir rejoindre La République en marche pour les prochaines législatives, l'ancien Premier ministre s'est définitivement mis à dos le PS. Sans pour autant parvenir à se faire adouber par le mouvement d'Emmanuel Macron.