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Jean-Christophe Cambadélis : "Une petite quinzaine de candidats qui s'affichent avec la formule "majorité présidentielle" qui n'est pas la position du PS."
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Jean-Christophe Cambadélis : "Notre pays est un pays de discussion, d'échange, on ne peut pas passer en force"
Jean-Christophe Cambadélis : "Notre pays est un... par franceinter -
Jean-Christophe Cambadélis : "Nous sommes, 10 jours après l'élection présidentielle, avec le début de l'inquiétude."
Jean-Christophe Cambadélis : "Nous sommes, 10... par franceinter -
Jean-Christophe Cambadélis : "C'était une élection présidentielle, là nous sommes dans 577 élections, et nous ferons plus."
Jean-Christophe Cambadélis : "C'était une... par franceinter -
Jean-Christophe Cambadélis : "On avance vers une forme politique qui est un peu dangereuse pour notre pays"
Jean-Christophe Cambadélis est l’invité de Patrick Cohen. Alors que la campagne des législatives démarre aujourd'hui, le parti socialiste s'attend à perdre plus de la moitié de ses 284 députés. Son premier secrétaire est lui-même candidat dans la 16ème circonscription de Paris.
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Slate - Le grand écart culturel d'Emmanuel Macron
Ni bourge, ni beauf? De Molière à Magic System, le nouveau président de la République incarne à la perfection la nouvelle culture des classes supérieures, marquée par une aisance à passer du registre cultivé à des références commerciales et anglo-saxonnes.
Ancien assistant du philosophe Paul Ricœur, j'ai étudié le piano au conservatoire d'Amiens, je suis fan des Tontons Flingueurs et je cite Georges Bernanos sur TF1, je parle l'anglais de start-up couramment et je peux donner mon avis sur les suites pour violoncelle de Bach. Je suis, je suis... Je suis bien sûr Emmanuel Macron, huitième président de la République française.
Comment définir l’univers culturel du macronisme sans sombrer dans les caricatures faciles?
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Libé - Société civile, modernité ou poudre de perlimpinpin ?
Axe fort de la politique macronienne, la promotion de responsables qui ne sont pas issus du sérail politique permet d’afficher un renouvellement des têtes et des pratiques. Mais si le principe est louable, les personnalités qui l’incarnent dessinent une élite très proche des professionnels de la politique.
«Issu de la société civile» : l’expression est à la mode, à tel point qu’elle est presque devenue un label. Le président de la République, Emmanuel Macron, en a d’ailleurs fait un argument central de sa campagne victorieuse : avec lui, la «société civile», autrement dit les non-professionnels de la politique, entrerait au gouvernement et serait massivement représentée dans les candidats de La République en marche (LREM) aux élections législatives.
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Le Monde - Le FMI enjoint à Berlin de dépenser plus d’argent
L’institution juge les excédents allemands trop élevés. Pour y remédier, elle demande au pays de baisser les impôts et d’accélérer ses investissements.
Abaisser les impôts et dynamiser les investissements. C’est ce qu’a expressément demandé le Fonds monétaire international (FMI) à Berlin, lundi 15 mai, s’en prenant de nouveau aux excédents allemands, jugés trop élevés.
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L'actualité des socialistes du 12 au 18 mai (revue de presse hebdomadaire)
A LA UNE
La question de l'avenir du Parti socialiste s'est en réalité posée dès le soir du premier tour de la présidentielle.
Le premier tour de la campagne présidentielle a donné le coup d'envoi d'une recomposition politique souhaitée par le Président de la République Emmanuel Macron, d'une ampleur sans doute inédite dans l'histoire politique récente. Pour la première fois, les candidats des deux partis de gouvernement totalisent moins de 30% des voix au premier tour (pour mémoire, Lionel Jospin et Jacques Chirac avaient fait 36,06% à eux deux en 2002). Derrière les polémiques qui agitent les députés des deux "ex-partis de gouvernement" depuis le soir du second tour sur la ligne à suivre, c'est la question de l'espace politique que le PS et LR sauront conserver ou non, et donc de leur utilité politique et de leur avenir, qui est désormais posée. A ce titre, les élections législatives de juin vont revêtir une importance cruciale.
Slate, Gaël Brustier - Emmanuel Macron et Edouard Philippe construisent l’opposition de gauche
Emmanuel Macron élu et son Premier ministre Edouard Philippe nommé, le système partisan de la Ve République apparaît en voie d’effondrement, nous assistons à une mutation plus ou moins rapide des différentes familles politiques. La gauche ne fait pas exception.
Léon Trotski disait que «la révolution avance sous les coups de fouet de la contre-révolution». Emmanuel Macron, élu président de la République après avoir été ministre de François Hollande, a nommé Edouard Philippe, proche d’Alain Juppé, membre de l’UMP et de LR, successeur du très chiraquien Antoine Rufenacht à la mairie du Havre. Chacun incarne, à sa manière, les élites du pouvoir de la Ve République, issues de sa technostructure et partageant les grandes orientations du régime. En première ligne dans son sauvetage, ils sont aussi ceux qui, sous les coups de fouet de la politique qu’ils entendent mener, peuvent sauver la gauche de la déroute et faire avancer la gauche d’après. Insoumis, écologistes, communistes et socialistes, tous peuvent profiter du front ouvert par Emmanuel Macron à droite de l’échiquier politique.
GOUVERNEMENT
Vingt-deux personnes, dont 11 hommes et 11 femmes : le premier ministre, Edouard Philippe, a fait connaître, mercredi, son équipe gouvernementale.
Le président et son premier ministre, Edouard Philippe (Les Républicains), ont dévoilé, mercredi 17 mai, la composition de la première équipe gouvernementale du quinquennat. Lorsqu’il était candidat, Emmanuel Macron avait promis un gouvernement paritaire et ouvert sur la société civile. Pari en partie tenuLe seul mot qui importe dans l’intitulé du ministère de Nicolas Hulot, c’est «solidaire», et ce fut sans doute une condition, sémantique pour commencer, de son risque. Ministre de la Transition écologique et solidaire: pas seulement l’action écologique, donc, mais l’idée qu’elle ne saurait être déconnectée d’une transformation sociale, sous peine d’être rejetée et inapplicable. C’est le seul sujet de Hulot, et sa seule inadéquation possible, dans une équipe droitière et libérale: non pas l’inadaptation à un univers politique qui ne serait pas le sien –considérations du vieux monde– mais une affaire de conviction: Hulot est le ministre le plus à gauche du gouvernement, sans doute son seul ministre de gauche, au sens le plus simple du terme; pensant que la crise environnementale ne se sépare pas de la crise du libéralisme, et que c’est la logique de l’accumulation capitaliste qui doit être dynamitée, si l’on veut donner à l’humanité une chance de survie; considérant que l’urgence première, en France, est celle de l’égalité, sans laquelle rien ne tiendrait.Nommée secrétaire d'Etat à l'égalité femmes-hommes jeudi, Marlène Schiappa s’en prenait en 2014 à la loi interdisant les signes religieux ostensibles à l’école. Emmanuel Macron estime pourtant dans son programme que cette interdiction "fait l’objet d’un large consensus" et "doit donc être maintenue".MACRONCrédité de 45 % de confiance auprès des Français selon le baromètre Elabe pour « Les Echos » et Radio Classique, Emmanuel Macron prend ses fonctions à l’Elysée, avec une cote inférieure à tous ses prédécesseurs. Même chose pour son Premier ministre.Pour le politologue Jérôme Sainte-Marie, Emmanuel Macron rassemble libéralisme économique et libéralisme culturel, satisfaisant un bloc élitaire qui se sent menacé. Entretien.
Vous affirmiez quelques jours avant le second tour que la bourgeoisie avait trouvé son candidat en Emmanuel Macron. Dans le même temps, celui-ci a été considéré comme le rempart de la République face à l’extrême droite. Qui a gagné dimanche dernier ? La bourgeoisie ou la République ?
Jérôme Sainte-Marie C’est en effet ce que j’ai dit même si je suis un peu sorti de mon rôle ! (Rires.) Commençons par le contenu idéologique de l’offre d’Emmanuel Macron, qui est très clair : il s’agit de la réunification de tous les libéralismes, le libéralisme économique et le libéralisme culturel.
Loin d’être un amas d’idées de droite et de gauche, le programme de Macron relève d’un courant d
e pensée cohérent connu sous le nom de « libéralisme égalitaire ».
On oublie souvent qu’Emmanuel Macron a été philosophe avant d’être fonctionnaire d’État, banquier et ministre. Son travail d’édition philosophique lui a valu, il y a 17 ans, les remerciements de Paul Ricœur dans la préface de La mémoire, l’histoire et l’oubli, un livre particulièrement dense.
L'Humanité - “Macron n’a fait qu’assumer ce qui était en germe au PS”
Nicolas Framont, sociologue qui s’est intéressé au parcours du candidat Macron, analyse la passation de pouvoir qui a eu lieu ce dimanche comme une continuité entre les deux hommes. Le second, toutefois, plus “décomplexé”. Entretien.
LEGISLATIVES
A trois semaines du premier tour des législatives, la dynamique se confirme en faveur du mouvement du président, dans LégiTrack, le sondage hebdomadaire OpinionWay-ORPI réalisé pour « Les Echos » et Radio classique..... Le sondage OpinionWay-ORPI réalisé pour « Les Echos » et Radio classique (voir ci-dessous) crédite la République en marche (LREM) de 27 % des intentions de vote au niveau national, contre 20 % pour la droite comme pour le FN, loin devant La France insoumise (14 %) et le PS (11 %).
Enquête réalisée en ligne du 9 au 11 mai 2017. Échantillon de 1 012 personnes, représentatif des Français âgés de 18 ans et plus comprenant un échantillon de 941 inscrits sur les listes électorales. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle et région de l’interviewé(e) et vote au 1er tour de l’élection présidentielle de 2017 pour les intentions de vote.
Lors d’une soirée de militants et d’élus PS, Jean-Jack Queryanne est venu apporter son soutien à Nathalie Perrin-Gilbert.
A un mois des élections législatives, plusieurs personnalités du PS ont souhaité apporter leur soutien à Nathalie Perrin-Gilbert, afin de garder la 2ème circonscription de Lyon à gauche. Parmi elles, Jean-Jack Queyranne, ancien ministre et président de la région Rhône-Alpes, a salué « son tempérament, son courage, ses convictions de gauche. À l’assemblée nationale, elle fera entendre une parole forte et libre. » Il annonce son élection comme « un gage de pluralisme citoyen dont notre ville a bien besoin. »
BFMTV - Législatives: entre recyclés et recalés, quelle part du PS chez En Marche?
Si plusieurs membres du Parti Socialiste ont émis le souhait de rejoindre les rangs d'Emmanuel Macron, peu ont finalement franchi le pas. Selon des sources à En Marche et au PS, entre 70 et 100 députés PS sortants ont sollicité l'étiquette du parti d'Emmanuel Macron, mais seule une pincée à été acceptée.
En Marche, usine à "recycler" du PS comme l'en accusent ses adversaires? Le parti d'Emmanuel Macron a certes investi plus d'une vingtaine de députés sortants de gauche, mais il fait valoir que beaucoup de postulants socialistes ont été recalés.
Lors de la convention législative de son mouvement, le chef de file de la France insoumise s'est posé en adversaire numéro un du président.
"Méluche" repart à l'attaque. Ayant laissé passer le temps du deuil d'une victoire présidentielle qu'il croyait à portée de main, Jean-Luc Mélenchon a livré un brûlant discours de remobilisation ce samedi 13 mai devant ses candidats aux législatives réunis en convention à Villejuif, en région parisienne. Défendant le "gouvernement des braves gens" qu'il espère imposer au "président Macron" s'il parvient à remporter les prochaines élections, le chef de file de la France insoumise a tiré à boulets rouges contre les couacs des investitures En Marche! et le double-jeu de certains socialistes tentés par un ralliement à la majorité présidentielle.
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L'ouragan Macron - Le billet de François Morel
L'ouragan Macron - Le billet de François Morel par franceinter -
Libé - 526 candidats LREM, un miroir déformant de la France
Si le renouvellement promis par Macron permet l’émergence de nouveaux visages, les profils des candidats ne reflètent pas la réalité de la population française.
Si les quatorze premiers noms de candidats LREM aux élections législatives ont été dévoilés face aux caméras de France 2 il y a plus d’un mois, la liste complète n’a visiblement pas été facile à boucler. Les six derniers sélectionnés sont tombés vendredi sur le fil : trois hommes, tous des élus, dont l’un affrontera le numéro 2 du FN, Florian Philippot, en Moselle ; et trois femmes, issues de la société civile. Au total, ce ne sont pas 577 mais seulement 526 candidats qui seront alignés pour défendre le programme d’Emmanuel Macron et, peut-être, lui offrir la majorité nécessaire pour voter ses réformes sur les bancs de l’Assemblée nationale.
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