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actualité - Page 296

  • France Inter : Présidentielle 2017 - Arnaud Montebourg : aujourd'hui "il n'y a aucun candidat de gauche en mesure de l'emporter"

    L'ancien ministre et candidat à la primaire de la gauche Arnaud Montebourg est l'invité de Nicolas Demorand ce dimanche, en partenariat avec Le Monde et franceinfo

    Ecouter l'émission ici
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  • J-C Cambadélis : "les proches de François Hollande sont dans une situation de traumatisme mais je leur dit, rassemblez-vous"

  • La convention de la Belle Alliance - Evénement (03/12/2016)


    Discours de Jean-Christophe Cambadélis et de... par publicsenat

  • Présidentielle : comment François Hollande s’est pris à son propre piège

    Le président de la République renonce à briguer un second mandat. Les vraies raisons d’un fiasco inédit.
     
    Le jongleur a perdu la main. Le contorsionniste a l'échine raide. Le funambule a fait un pas de côté. D'une voix étranglée, François Hollande a renoncé à briguer sa propre succession à l'Elysée. Le petit monde du cirque médiatique n'en croit pas ses yeux.
     
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  • Pascal Cherki (député PS) sur François Hollande: « Je ne veux pas qu’on s’acharne sur l’homme »


    Pascal Cherki (député PS) sur François Hollande... par rfi

  • L'Obs - "Tu ne peux pas gagner" : la semaine cruciale où Hollande a décidé de renoncer

    François Hollande a finalement jeté l’éponge, comme le lui conseillaient ses plus proches, ceux qui lui veulent du bien. Le coup de pression de Valls a fait le reste. Récit des derniers jours.

    Il avait des hauts et des bas, des périodes où il se disait "c’est jouable" et d’autres où il confiait à des rares proches "je vais renoncer". François Hollande flanchait et puis, il se remettait à y croire. Il y a quelques jours à peine, le président demandait encore : "Tu as des idées pour la suite ?" ou "Tu penses que je dois dire quoi pour me présenter ?". Et il écoutait, celles et ceux qui lui conseillaient de "regretter la déchéance de la nationalité", de reconnaître "des erreurs", voire "des échecs".

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  • Marianne - Le jour où Hollande a dit à Valls qu'il ne serait pas candidat

    Décidé à démissionner de Matignon pour se lancer dans la course à l'Elysée, Manuel Valls n'en a rien fait. Lundi 28 novembre, le président lui a en effet laissé entendre que lui-même ne serait peut-être pas candidat... ce qu'il a confirmé trois jours plus tard, lors d'une allocution solennelle. Un récit à retrouver dans "Marianne", en kiosques cette semaine, dont voici quelques extraits.

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  • L'actualité des socialistes du 25 novembre au 1er décembre

    A LA UNE : PRIMAIRE

    Le Monde, Les décodeurs - Les sujets qui divisent les candidats de la primaire à gauche

    Economie, environnement, Europe… Tour d’horizon des fractures au sein de la famille socialiste et chez leurs alliés.

    Après un automne placé largement sous le signe des débats à droite, la primaire de la gauche va fortement peser sur le climat politique au cœur de l’hiver. La première étape s’est ouverte jeudi 1er décembre avec l’ouverture de la période de dépôt des candidatures ; celle-ci se terminera le 15 décembre.

    Le Monde - Manuel Valls candidat préféré de la gauche pour la présidentielle

    Le premier ministre devance Arnaud Montebourg et Benoît Hamon, dans ce sondage IFOP pour « Le Journal du dimanche ».

    Près de la moitié des sympathisants de gauche (45 %) interrogés après le renoncement de François Hollande à un second mandat disent souhaiter que Manuel Valls soit le candidat de la Belle Alliance populaire à l’élection présidentielle de 2017, selon un sondage IFOP pour le Journal du dimanche du 4 décembre. Ils n’étaient que 38 % à le désigner parmi une liste de prétendants avant l’annonce du président de la République jeudi
     

    En annonçant qu’il ne briguerait pas un second mandat, François Hollande laisse la gauche, à sept semaines du premier tour de la primaire, se disputer sa succession.

    A peine dissipé l’effet du choc Hollande, la politique ne va pas tarder à reprendre ses droits à gauche. La décision du chef de l’Etat de ne pas se représenter ouvre une brèche – un gouffre ? – pour toutes les ambitions présidentielles au Parti socialiste. Et elles sont nombreuses. A commencer par Manuel Valls, qui apparaît comme le successeur légitime en tant que chef de la majorité. François Hollande ne l’avait-il pas lui-même adoubé dans le livre Un président ne devrait pas dire ça…, des journalistes du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme ?
     
     
    Les uns sont candidats à la primaire de la gauche, en orbite autour du PS. Les autres suivent leur trajectoire propre. Comment s'y retrouver dans cette nébuleuse ?
     
    VALLS
     

    Le Premier ministre se déclarera candidat puis quittera Matignon d’ici à mardi. Mais d’ores et déjà sa capacité à rassembler les socialistes est mise en cause.

    La déclaration de candidature de Manuel Valls à la primaire de la gauche devrait intervenir ce lundi, au plus tard mardi matin, et l'officialisation de sa démission dans la foulée. Il ne siégera donc vraisemblablement pas sur le banc des ministres mardi à 15h pour la séance des questions au gouvernement à l’Assemblée nationale. "Ça va se faire vite", assure l’un de ses lieutenants. "Il n’y aucune raison de temporiser : une campagne, ça se fait ou ça ne se fait pas", ajoute un autre

     
     
    Ce jeudi 1 décembre à 19 heures, lorsque l'annonce d'une allocution présidentielle tombe, c'est la panique à Matignon. Et pour cause, Manuel Valls a tout fait pour que rien ne filtre des discussions qu'il a eues, lundi, avec le chef de l'Etat. A 20h10, une fois actée l'annonce de la non-candidature de François Hollande, la machine Valls est lancée. Récit.
     

    François Hollande ne sera pas candidat en 2017. La voie est libre pour le Premier ministre, Manuel Valls, qui pourrait annoncer sa candidature dès samedi à la grande convention nationale de la Belle alliance populaire. La primaire socialiste se tient fin janvier.

     
    Alors que cela faisait plusieurs semaines que Manuel Valls menait une campagne médiatique, et militait en coulisses, pour convaincre François Hollande de ne pas se représenter, le Premier ministre a désormais la lourde tâche de rassembler son camp, et de défendre le bilan du quinquennat, qui est également le sien. Et pour l'ambitieux, rien n'est gagné. Première étape : remporter la primaire face aux autres candidats de gauche...
     
    HOLLANDE

    Le Monde - Désormais orphelins, les hollandais s’interrogent

    La décision du chef de l’Etat de renoncer à se représenter a eu l’effet d’une douche froide sur ses partisans. Doivent-ils soutenir Valls, Macron ou un autre candidat ?

    Tout un symbole. Ami proche de François Hollande, parrain de deux de ses quatre enfants, Jean-Pierre Mignard a été le premier à basculer. La décision du président de la République de ne pas briguer un second mandat à peine digérée, l’avocat a annoncé, vendredi 2 décembre, son soutien à Emmanuel Macron.

    Le Monde - Ces séquences-clés du quinquennat qui ont empêché François Hollande de se représenter

    Inversion de la courbe du chômage, déchéance de nationalité, loi travail… En quatre ans, la cote de popularité du chef de l’Etat n’a cessé de s’étioler.

    Une allocution d’une dizaine de minutes, puis une petite phrase pour lever les ambiguïtés. Peu après 20 heures, jeudi 1er décembre, depuis l’Elysée, François Hollande a annoncé sa décision de ne pas se représenter à l’issue de son premier mandat et laissera donc à d’autres la course à la présidentielle de 2017. Retour sur quelques-unes des promesses, projets ou séquences-clés du quinquennat qui ont fragilisé le chef de l’Etat, tout à la fois dans son rapport aux Français et dans ses relations avec son propre camp politique, contribuant à son empêchement
     

    Le président de la République a annoncé jeudi soir qu'il renonçait à se porter candidat sa réélection, tout en défendant son bilan. On a trouvé des failles.

    Soixante : c'est le nombre d'engagements destinées à "redresser" et "rassembler la France", qui figuraient dans le programme du candidat Hollande lors de la campagne présidentielle 2012. Alors que le chef de l'Etat a annoncé, jeudi 1er décembre, qu'il ne se portera pas candidat à un second mandat, retour sur cinq promesses qui n'ont pas été tenues au cours de ce quinquennat

    Libé - Récit : François Hollande, six jours pour déclarer forfait

    Réunions parallèles, interviews choc, phrases assassines, déluge de SMS et mystère persistant : la dernière semaine avant l’allocution du Président aura été marquée par un épais brouillard.

    Le jour d’après. Au lendemain du renoncement historique de François Hollande, en direct à la télévision devant près de 15 millions de Français, la gauche est sonnée. «Même ceux qui n’avaient pas l’intention de voter pour lui se retrouvent orphelins», confie un député PS. Retour sur une semaine qui a tout changé

     
    Désigné comme l'adversaire « sans visage » à combattre, le monde de la finance n'aura finalement pas été inquiété outre mesure durant le mandat de François Hollande, qui ne se représentera donc pas une seconde fois à l'élection présidentielle. Il est bien loin ce soir de janvier 2012, à l'aéroport du Bourget, lors duquel le candidat Hollande a réussi à créer un élan d'enthousiasme à gauche pour la présidentielle qui se profilait.
     

    François Hollande a finalement jeté l’éponge, comme le lui conseillaient ses plus proches, ceux qui lui veulent du bien. Le coup de pression de Valls a fait le reste. Récit des derniers jours.

    Il avait des hauts et des bas, des périodes où il se disait "c’est jouable" et d’autres où il confiait à des rares proches "je vais renoncer". François Hollande flanchait et puis, il se remettait à y croire. Il y a quelques jours à peine, le président demandait encore : "Tu as des idées pour la suite ?" ou "Tu penses que je dois dire quoi pour me présenter ?". Et il écoutait, celles et ceux qui lui conseillaient de "regretter la déchéance de la nationalité", de reconnaître "des erreurs", voire "des échecs".

    Les Echos - François Hollande a-t-il sauvé les finances publiques françaises ?
     
    Dix minutes pour défendre son bilan. A défaut de lancer une nouvelle candidature, l'allocution de renoncement de François Hollande jeudi soir a permis à ce dernier de faire un long plaidoyer pour la politique menée durant son quinquennat. Assez étrangement, le deuxième président de gauche de la Ve République n'a pas attaqué sur ses mesures sociales, mais sur son bilan en matière de finances publiques : « Aujourd'hui, au moment où je m'exprime, les comptes publics sont assainis, la Sécurité sociale est à l'équilibre et la dette du pays a été préservée », a-t-il expliqué.
     
     
    En renonçant à se représenter, le chef de l’Etat libère potentiellement l’espace en faveur d’une figure plus à même de qualifier la gauche au second tour.
     
    Une première dans l’histoire de la Ve République. En annonçant jeudi soir depuis l’Elysée qu’il ne tentera pas de briguer un second mandat, François Hollande a pris de court jusqu’à ses plus proches. Et mis fin à une période d’incertitude dans laquelle on a frôlé la crise de régime au sommet de l’Etat - Manuel Valls ayant manifesté son impatience et s’étant livré ces dernières semaines à une stratégie d’empêchement qui a braqué, à raison, nombre de hollandais. Les vallsistes ont évoqué une «dissuasion nucléaire», elle aura contribué à gréver, depuis Matignon, la capacité même du président sortant à se représenter.
     
     
    Le président de la République renonce à briguer un second mandat. Les vraies raisons d’un fiasco inédit.
     
    Le jongleur a perdu la main. Le contorsionniste a l'échine raide. Le funambule a fait un pas de côté. D'une voix étranglée, François Hollande a renoncé à briguer sa propre succession à l'Elysée. Le petit monde du cirque médiatique n'en croit pas ses yeux.
     
    LA COMMUNE

    Le Monde - L’Assemblée réhabilite les communards victimes de la répression

    Durant cette insurrection populaire, en 1871, entre 10 000 et 20 000 personnes ont été exécutées par les forces loyales au gouvernement d’Adolphe Thiers.

    A l’initiative des socialistes et au grand dam de la droite, l’Assemblée nationale a voté dans la soirée du mardi 29 novembre soir un texte proclamant la réhabilitation de toutes les victimes de la répression de la Commune de Paris.
     
    REVENU UNIVERSEL
     
     
    Alors que la France dispose de nombreux mécanismes de transferts sociaux, un revenu universel permettrait-il de lutter plus efficacement contre la pauvreté ? Il faudrait pour cela qu’il soit d’un niveau élevé et qu’il s’ajoute aux dispositifs actuels de protection sociale. Cela pose pour Clément Cadoret la question de sa faisabilité financière et politique.
     

    L’allocation, d’un montant de 750 euros, remplacerait tous les minima sociaux.

    Il s’agit peut-être d’une des idées de réforme sur laquelle la gauche et la droite s’affronteront durant la campagne présidentielle. Défendue par la fondation Terra Nova dans un rapport rendu public mercredi 30 novembre, elle consiste à fusionner les minima sociaux en une seule prestation. Le but d’un tel dispositif est de « permettre aux personnes de vivre décemment » lorsqu’elles traversent des « difficultés ». Une proposition, synonyme de chambardement dans les politiques de solidarité, dont s’est emparé le PS, puisqu’elle figure dans ses « cahiers de la présidentielle », dévoilés mardi.
     
    ETAT SOCIAL
     

    29 novembre 2016 - Protection sociale, aide à la consommation des ménages, offre de services publics de qualité pour tous : l’État social a encore de beaux jours devant lui. Par Christophe Ramaux, économiste, maître de conférences à l’université Paris I. Extrait de l’ouvrage « Que faire contre les inégalités ? ».

    2017

    Le Monde - Le PS ébauche un programme pour 2017

    Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste, devait présenter mardi le septième et dernier des « cahiers de la présidentielle », une plate-forme de propositions édictée par la majorité du PS.

    A défaut d’avoir un candidat, le Parti socialiste tente d’avoir un début de programme pour l’élection présidentielle. Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire de la rue de Solférino, devait présenter, mardi 29 novembre, le septième et dernier des « cahiers de la présidentielle », publiés par le PS depuis septembre.
     
     
    Dans le brouillard entourant une majorité dans l’attente de savoir si Hollande repart, le patron du PS a présenté mardi la somme des «cahiers de la présidentielle» de son parti. «Vingt défis» censés engager le candidat qui sortira de la primaire à gauche.
     
    PRIMAIRE
     
     
    La primaire organisée par le PS aura bien lieu: le premier secrétaire du parti Jean-Christophe Cambadélis a voulu couper court aux spéculations, au moment où des proches de François Hollande mettent en doute l’intérêt du chef de l’Etat d’y participer.
     

    Arnaud Montebourg et Jean-Christophe Cambadélis espèrent qu’une forte participation à la primaire incitera les candidats isolés à soutenir le gagnant, pour éviter la débâcle au premier tour.

    Six candidats à la primaire ; six autres « autonomes » : la gauche part plus divisée que jamais dans la course à la présidentielle. Alors que la droite affiche une posture de rassemblement après une primaire réussie, qui a désigné François Fillon, certaines voix s’élèvent dans le camp opposé pour promouvoir le scrutin organisé par la Belle Alliance populaire (PS et écologistes). Et éviter une élimination dès le premier tour de l’élection présidentielle.
     
     
    Ce mardi, le Premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a mis un terme au psychodrame Hollande-Valls autour de la Primaire du PS. Il y aura Primaire. Et Hollande et Valls ne seront pas candidats l'un contre l'autre. Désormais, c'est le PS qui joue sa survie, contre Hollande et Valls.
     

    Une primaire ouverte à la gauche de gouvernement sera organisée en janvier par le PS et quelques micropartis alliés. Six candidats sont déjà déclarés

    CHRISTIAN PAUL

    Le Figaro - Primaire à gauche : Christian Paul rallie Arnaud Montebourg

    Le chef de file des frondeurs, qui espère rassembler l'ensemble de l'aile gauche derrière son champion, va désormais travailler à lutter contre la «multiplication des candidatures» qui «affaiblissent» selon lui sa démarche.

    LCI - Présidentielle 2017 : pour le député frondeur Christian Paul, François Hollande "ne rassemble plus"

    En annonçant sa possible candidature à la primaire de la gauche face à François Hollande, Manuel Valls a semé la pagaille au sein du gouvernement, et accentué la pression sur François Hollande. Alors qu'il doit annoncer s'il se présentera à l'élection dans les prochains jours, le président fait désormais l'objet de nombreux doutes dans son camp comme à droite. Pour Christian Paul, député frondeur de la Nièvre invité d'Yves Calvi, il n'est plus l'homme de la situation.

    MONTEBOURG

    L'Obs - Coucou, revoilà Montebourg !

    Et Montebourg sortit enfin de son silence. Depuis plusieurs semaines, on ne l’entendait plus. Lui qui avait pourtant lancé sa campagne tambour battant. Dès avant l'été, lors de sa traditionnelle ascension du mont Beuvray, il déclamait sa vision des choses. François Hollande ?

    "Je vois un système politique discrédité, incapable de prendre les décisions courageuses qui rehaussent, relancent et redressent la France."

    AUBRY

    Libé - A Bondy, un «carrefour des gauches» en quête de direction

    Martine Aubry et ses soutiens ont réuni autour d’eux ce samedi en Seine-Saint-Denis une gauche plurielle avec Anne Hidalgo et Christiane Taubira en têtes d’affiche. Contre les «gauches irréconciliables» de Valls mais en épargnant Hollande.

    HAMON

    Atlantico, le 20 novembre - Benoît Hamon : "Emmanuel Macron sait pertinemment qu'il défend à peu de choses près la même vision que François Hollande ou Manuel Valls"

    Quinquennat de François Hollande, candidature d'Emmanuel Macron, concurrence d'Arnaud Montebourg, etc. Candidat à la primaire de la gauche pour la présidentielle de 2017, Benoît Hamon revient pour Atlantico sur l'actualité politique de la gauche... mais aussi de la droit

    LIENEMANN

    Europe 1 - Lienemann (PS) : "Hollande nous entraîne dans une chienlit alarmante"

    Marie-Noëlle Lienemann ne veut pas d’une candidature de François Hollande à sa propre succession en 2017. "Il ne doit pas se représenter, il va dans une impasse. Plus il attend, plus il essaye de contourner l’obstacle et plus il abîme son image. Mais en plus, il nous entraîne tous dans une confusion, dans une chienlit qui est alarmante", a déclaré la sénatrice socialiste, candidate à la primaire de la gauche, interrogée mercredi soir au Club de la presse d’Europe 1.

    LE FOLL

    Les Echos - Stéphane Le Foll : «La primaire à gauche ne sert à rien si c’est pour refaire l’histoire du quinquennat»

    Le porte-parole du gouvernement, très proche de François Hollande, réagit pour « Les Echos » aux divisions à gauche. « On a atteint la limite de ce qui peut être supportable. Il faut retrouver un peu d’apaisement », lance-t-il.

    SONDAGES

    Le Point - Primaire de la gauche : Valls et Montebourg préférés à Hollande

    Deux tiers des sondés préféreraient voir désigné Arnaud Montebourg (66 %) plutôt que François Hollande (24 %) pour représenter la gauche.

    CHOMAGE

    Altereco - Le chômage baisse, la qualité de l’emploi aussi

    Baissera ? Baissera pas ? Tous les mois, les projecteurs sont braqués sur la courbe du chômage. Et c’est le nombre de chômeurs inscrits à Pôle emploi en catégorie A qui retient toute l’attention, c’est-à-dire ceux qui n’ont pas du tout travaillé dans le mois précédent. Et ça fait deux mois coup sur coup que la ministre du Travail Myriam El Khomri a le sourire : le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A a diminué de 27 800 entre août et octobre (– 2,8 % sur un an). Au total, ils n’étaient plus « que » 3 478 000 en France métropolitaine.

    CASTRO
     
     
    Le dirigeant cubain est mort ce vendredi 25 novembre à l'âge de 90 ans. Mais la Révolution cubaine, dont Fidel Castro s’était proclamé "Lider Massimo", était morte avant lui
     
    Libé - Je me souviens : INFIDEL, par Romain Goupil
     
    .... En France, nous avons longtemps considéré Castro comme un «bon dictateur». J’ai été con de l’avoir soutenu à l’époque, mais ceux qui le pleurent aujourd’hui sont encore mille fois plus cons.
     
    Télérama - Qui était Fidel Castro ? Il faut relire ce qu'en disaient Sartre, Aron et Debray
     
    Les trois intellectuels français ont chacun fait le voyage à Cuba dans les années 60. Entre fascination (Sartre), distanciation (Aron) et immersion auprès du Che (Debray), leurs récits disent l'ambiguité du personnage qu'était le lider maximo.

    VALLS

    Le JDD - Valls : "Je prendrai ma décision en conscience"

    Valls : "Je prendrai ma décision en conscience"INTERVIEW - Manuel Valls accentue la pression sur François Hollande dans une interview au JDD dimanche. Il n'exclut plus désormais d'être candidat contre lui à la primaire de la gauche. Extraits

    La primaire de gauche ne risque-t-elle pas de faire pâle figure après le succès de la primaire de droite?

    Pas si nous sommes capables collectivement de créer une dynamique, d'apporter du fond, une vision et de répondre à l'enjeu de l'incarnation. C'est le seul moyen de créer un engouement, de redonner de la fierté et de l'espoir. J'ai confiance en Jean-Christophe Cambadélis et le Parti socialiste pour l'organiser. Et j'appelle les millions d'électeurs de gauche à y participer.

    Libé - Manuel Valls, un Premier ministre ne devrait pas dire ça

    Dans un entretien au «Journal du Dimanche» ce 27 novembre, le chef de l'exécutif dévoile de plus en plus ses ambitions présidentielles.

    Pousser le bouchon toujours plus loin, quitte à déclencher au sommet de l’Etat une crise institutionnelle d’une nature inédite. Un président sortant se soumettant à une primaire ouverte pour briguer un second mandat, l’affaire était déjà singulière. Et voilà que son Premier ministre, mis en orbite par le président de l’Assemblée nationale, laisse prospérer l’idée qu’il pourrait lui-même concourir contre lui. Contre le président qu’il affirme à longueur de temps servir avec «loyauté» depuis Matignon…

    Le Point - Primaire de la gauche : Valls va-t-il renverser la table ?

    Le Premier ministre affirme qu'il n'exclut plus de se présenter même contre Hollande. Une déclaration d'indépendance qui laisse sourde Najat Vallaud-Belkacem.

    François Hollande doit bientôt sortir du silence sur ses intentions pour 2017. Mais son Premier ministre n'a pas l'intention de se contenter de s'incliner devant la décision présidentielle. Dans un entretien accordé au Journal du dimanche, Manuel Valls a laissé entendre qu'il n'excluait pas complètement de faire partie des candidats à la primaire de la gauche, six ans après sa défaite au précédent scrutin, où il était arrivé en cinquième position avec 5,6 % des voix.

    Le Monde - Pourtant « bien tenté », Manuel Valls ne cède pas à la tentation

    Le premier ministre, en visite vendredi à Rouen, a refusé de dire s’il serait ou non candidat à la primaire de la gauche en vue de la présidentielle.

    Un premier ministre ne devrait pas dire ça… Manuel Valls le « loyal » ne veut pas que François Hollande soit candidat à un nouveau mandat, cela fait de moins en moins de doute. Mais le chef du gouvernement, s’il s’estime mieux placé que le président de la République pour concourir en 2017, n’ose pas non plus passer pour Brutus, après avoir tant reproché à Emmanuel Macron de l’être depuis la rentrée. Alors il persiste dans son travail de sape indirect, désormais quotidien, contre le chef de l’Etat. Au risque de lasser et, à la fin, d’échouer.

  • Le Monde - Désormais orphelins, les hollandais s’interrogent

    La décision du chef de l’Etat de renoncer à se représenter a eu l’effet d’une douche froide sur ses partisans. Doivent-ils soutenir Valls, Macron ou un autre candidat ?

    Tout un symbole. Ami proche de François Hollande, parrain de deux de ses quatre enfants, Jean-Pierre Mignard a été le premier à basculer. La décision du président de la République de ne pas briguer un second mandat à peine digérée, l’avocat a annoncé, vendredi 2 décembre, son soutien à Emmanuel Macron.
     
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  • Libé - Récit : François Hollande, six jours pour déclarer forfait

    Réunions parallèles, interviews choc, phrases assassines, déluge de SMS et mystère persistant : la dernière semaine avant l’allocution du Président aura été marquée par un épais brouillard.

    Le jour d’après. Au lendemain du renoncement historique de François Hollande, en direct à la télévision devant près de 15 millions de Français, la gauche est sonnée. «Même ceux qui n’avaient pas l’intention de voter pour lui se retrouvent orphelins», confie un député PS. Retour sur une semaine qui a tout changé.

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  • Lyon Capitale - Pierre-Alain Muet (PS) : “François Hollande a fait le bon choix”

    Le député de la Croix-Rousse, qui soutient Arnaud Montebourg, salue la lucidité de François Hollande. Il regrette surtout le virage social libéral de François Hollande inspiré par Manuel Valls et Emmanuel Macron qui a, selon lui, divisé la gauche.

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