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Vidéo - Page 82

  • Quelle stratégie de la gauche pour faire reculer l’extrême droite ? Avec Ruffin, Nottin et Tondelier

    Débat à la fête de l'Humanité 2022, avec : Violaine Girard, sociologue à l'Université de Rouen Normandie, chercheure associée à l'Institut national d'études démographiques ; Pierre Wadlow, doctorant en science politique à l’université de Lille ; Marine Tondelier, élue EELV à Hénin-Beaumont (62) ; François Ruffin, député Nupes/FI et journaliste ; Bruno Nottin, responsable du PCF, Louise Gaxie, de la fondation Gabriel Peri.

  • Utopie | Streetphilosophy | ARTE

    Le magazine qui allie questionnement philosophique et déambulations berlinoises. Dans ce numéro : peut-on rêver à de nouvelles utopies ? Pour les mettre en œuvre, faut-il penser à petite échelle ou en grand ?

  • La géoingénierie va-t-elle sauver le climat ? | 42, la réponse à presque tout | ARTE

    Pour agir face au dérèglement climatique, certains étudient la possibilité de refroidir la Terre ou de récupérer notre CO2. Cela s’appelle la géoingénierie, une discipline qui englobe des interventions plus ou moins farfelues. "42 - La réponse à presque tout" est la nouvelle série documentaire scientifique d'ARTE. Clin d’œil au Guide du voyageur galactique de Douglas Adams dans lequel le nombre 42 apporte la réponse ultime, elle décortique des questions existentielles, et a réponse à tout... ou presque.

  • Valérie Masson-Delmotte : "En France, on est à 1,7°C de plus, c'est plus que la moyenne planétaire"

    Valérie Masson-Delmotte, climatologue qui a formé les ministre aux enjeux climatiques pendant quelques heures, revient sur l'intérêt de former politiques et citoyens, mais aussi sur les risques du réchauffements de la planète, déjà constatés cet été.

  • La victoire rêvée de la NUPES ? - 28 Minutes - ARTE

    La Nupes est-elle passée tout près de la victoire aux dernières législatives? Aux universités d’été de la France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon l'a affirmé, chiffres à l'appui : “Je dis aux jeunes, et surtout ceux de la première fraction d’âge, c’est-à-dire ceux qui vont jusqu’à 26 ans : si 2 % d’entre vous de plus, puisque vous votez à 50 % pour la Nupes, si deux points de plus avaient voté, nous aurions gagné». Renseignement pris auprès de LFI, Jean-Luc Mélenchon se base sur le «nombre de voix qui nous manquaient lors du second tour dans les circonscriptions où on a perdu de 10, 20, 30 voix ».

    Selon un calcul du Monde, il manquait dans ces circonscriptions, « 51 507 voix à la Nupes pour obtenir la majorité relative». En 2022, 5,2 millions de 18-24 ans étaient inscrits sur les listes électorales selon l’Insee. Si on prend 2% de ces jeunes, soit environ 103 000, et qu'on part du principe, comme le fait Jean-Luc Mélenchon, que la moitié aurait voté Nupes, on arrive à environ 51 500 voix. De quoi l'emporter, donc. Un raisonnement tout à fait théorique qui souffre de nombreux biais. Jean-Luc Mélenchon oublie notamment de préciser qu’il aurait fallu que ces presque 52 000 voix supplémentaires soient réparties uniquement dans ces circonscriptions où quelques voix manquaient à la Nupes.

    Évidemment, un parti «ne peut savoir qu’après les résultats dans quelles circonscriptions il aurait dû mettre le paquet pour l’emporter» relève Mathieu Gallard, directeur de recherche à l'institut Ipsos. Sans compter qu'il aurait aussi fallu que les jeunes qui ne votent pas Nupes, ne votent pas dans les circonscriptions en question. Bref, cela fait beaucoup de si.

  • Clément Viktorovitch : Faut-il taxer les super-profits ?

    Dans "Entre les lignes", tous les dimanches matins sur franceinfo, Clément Viktorovitch décrypte les discours, analyse les paroles des politiques qui font l'actualité.

  • Questions politiques, Olivier Faure « Oui, je veux aller au bout de la démarche d'un référendum d'initiative partagée »

    Dimanche 4 septembre, Olivier Faure était l'invité de « Questions politiques » sur Franceinfo et France Inter. Retrouvez son interview en intégralité !

  • Gorbatchev : en aparté | ARTE

    Mikhaïl Gorbatchev, le dernier dirigeant de l'URSS, est décédé le 30 août dernier à l'âge de 91 ans. Adulé à l'Ouest mais fortement décrié dans son pays, l'artisan de la perestroïka et de la glasnost se laisse filmer dans son intimité par le réalisateur Vitaly Manski qui livre ici le testament existentiel et politique d'un nonagénaire combatif malgré la maladie et la solitude.

    Comme son visage devenu lunaire, son corps épuisé, gonflé par le diabète, est méconnaissable, mais sur le crâne lisse, la fameuse tache de naissance de celui que le monde, de sa prise du pouvoir, en 1985, à sa démission après la chute de l'URSS, en 1991, a célébré comme un libérateur, reste bien visible. Fin 2020, à l'approche de ses 90 ans, l'ultime dirigeant de l'empire, qui "a lutté jusqu'au bout", mais en vain, pour sauver sa "patrie soviétique" en la démocratisant, vit retiré à proximité de Moscou, dans une vaste et belle villa prêtée par l’État russe. Entouré d'un petit cercle de proches et d'employés, chez lui ou à la fondation qui porte son nom, et des portraits omniprésents de son épouse Raïssa, morte d'un cancer en 1999, il a laissé le réalisateur Vitaly Mansky (Poutine, l'irrésistible ascension) qu'il connaît bien et tutoie, le filmer dans son quotidien diminué, et le questionner sur son bilan historique et politique. Comment explique-t-il le ressentiment à son égard de la majorité de ses compatriotes, qui le considèrent comme le fossoyeur de l'empire ? Reconnaît-il aujourd'hui que son entreprise était vouée à l'échec ?

    "Le dernier socialiste"

    Sur ces deux questions centrales, le dialogue contradictoire, mais affectueux, entre les deux hommes, s'avère forcément instructif, davantage par les anecdotes et commentaires savoureux distillés au passage par "Mikhaïl Sergueïevitch" que par une profession de foi dont il n'a jamais dévié, y compris deux années plus tôt, face à la caméra de Werner Herzog. Mais cette immersion dans l'intimité d'un vieil homme vaut moins pour ce testament politique parcellaire que pour le pouvoir de séduction paradoxal qu'elle révèle peu à peu. Qu'il évoque son amour pour Raïssa ou pour un grand-père passé par les geôles staliniennes, qu'il moque la "méthode Eltsine" et ses "demi-seaux de vodka", ou encore (magie du cinéma direct, qui saisit au vol cette facétie de l'histoire) qu’il perde opportunément son sonotone alors que Vladimir Poutine délivre ses vœux de Nouvel An à la télévision, Mikhaïl Gorbatchev garde la simplicité directe, l'humour et l'humanité qui le rendirent si populaire. Celui qui se définit comme "le dernier socialiste" parmi les dirigeants russes reste aussi un homo sovieticus façonné par un appareil et une doctrine qu'il se refuse à renier. Mais il apparaît d'abord comme un homme debout face à sa mort prochaine, assumant sa responsabilité passée comme sa faiblesse présente. Un fascinant portrait, diffusé trente ans presque jour pour jour après le bref putsch qui, le 19 août 1991, constitua le premier acte de sa défaite. Documentaire de Vitaly Mansky (2020, 1h40mn) disponible jusqu'au 28/02/2023

  • Mort de Gorbatchev : quand la télévision française découvrait celui qui allait faire chuter l'URSS

    Mikhaïl Gorbatchev, le dernier dirigeant de l'URSS est mort, mardi 30 août, à l'âge de 91 ans. Arrivé au Kremlin en 1985, il est celui qui a lancé la perestroïka, une politique d'ouverture et de libéralisation de l'espace soviétique. Six ans plus tard, l'URSS implose et il présente sa démission. Retour en images sur ces deux dates historiques.

    Après la mort de l’unique et dernier président de l’URSS, les dirigeants occidentaux saluent un « homme de paix », tandis que le Kremlin se contente d’un télégramme lapidaire dans lequel il souligne qu’il « a cherché à proposer ses propres solutions aux problèmes urgents ».

  • À l’université d’été du PS à Blois, ces nouveaux adhérents motivés par la NUPES

    Ils en ont souvent conscience : leur adhésion ne tombe pas sous le sens. À Blois, de jeunes sympathisants de gauche ont décidé de prendre leur première carte d’adhérent au parti socialiste. « Beaucoup diraient que c’est un choix bizarre. Après le score du PS à la présidentielle, ça peut être surprenant », concède Pierre, 22 ans, nouvelle recrue du parti depuis quelques semaines seulement.