Les bourses résistent étonnamment bien à l'épreuve de la crise énergétique, au cocktail a priori détonnant qui combine résurgence de l'inflation et remontée des taux d'intérêt. En Europe, à l'épicentre de la crise, les valeurs ont renoué avec leurs records passés. Aux États-Unis, le S&P500 a encaissé le dévissage des valeurs technologiques sans que cela entraîne une défaillance en cascade de l'ensemble du marché comme au début des années 2000. Cela signifie-t-il que le risque de krach, évité à ce jour, soit derrière nous ? [...]