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Réflexions - Page 81

  • Le Monde - Appel à dissoudre le Parti dit « socialiste » Par Robert Guediguian (Cinéaste)

    Après avoir regardé toutes les chaînes de télévision le 25 mai de 19 heures à 21 heures, j’ai noté :

    Quel étrange spectacle que de voir tous ces gens propres sur eux, bien maquillés, généreux et si ouverts à toutes les transformations du monde, à toute la « modernité », à toutes les réformes dites sociétales… De voir tous ces gens aisés et si à l’aise pour clamer leur tristesse, leur amertume au lendemain de ces élections… Pour clamer leur déception.

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  • Non Fiction - Soft power, hard power et smart power : le pouvoir selon Joseph Nye

    Résumé : Avec ce nouvel ouvrage, l'internationaliste américain poursuit sa réflexion sur la notion du pouvoir étatique au XXIe siècle. Après avoir défini le soft et le smart power , comment Joseph Nye voit-il le futur du pouvoir ?

    En Relations Internationales, rien n'exprime mieux le succès d'une théorie que sa reprise par la sphère politique. Au XXIe siècle, seuls deux exemples ont atteint cet état : le choc des civilisations de Samuel Huntington et le soft power de Joseph Nye. Deux théories américaines, reprises par des administrations américaines. Deux théories qui, de même, ont d'abord été commentées dans les cercles internationalistes, avant de s'ouvrir aux sphères politiques et médiatiques.

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  • Le Monde - Julette Rennes, un futur alternatif

    En 2014, les inégalités entre les femmes et les hommes perdurent. Sociologue, Juliette Rennes a consacré une bonne part de sa carrière à décrypter, à analyser, à essayer de comprendre le discours soutenant ces thèses


    Julette Rennes, un futur alternatif par lemondefr

  • Conférence sur l'économie circulaire - Marylise Lebranchu


    Conférence sur l'économie circulaire - Marylise... par mlebranchu

  • La raison du commun : pour une politique de l'inappropriable

    Résumé : Un livre qui constitue une réflexion prenant pour objet la « raison du commun » et cherchant, en référence aux mouvements politiques qui entendent lutter depuis une vingtaine d'années contre la rationalité néo-libérale, à poser les bases d'une politique de l'émancipation qui   institue le commun, non en tant que propriété collective, mais en tant qu'inappropriable.

    Le nouveau livre de Christian Laval et Pierre Dardot Commun. Essai sur la révolution au XXIème siècle paru il y a peu aux éditions La Découverte constitue une réflexion prenant pour objet la « raison du commun » et cherchant, en référence aux mouvements politiques qui entendent lutter depuis une vingtaine d'années contre la rationalité néo-libérale , à jeter les prémisses d'une politique de l'émancipation dont l'objectif est de créer des institutions authentiquement démocratiques permettant le déploiement d'un agir commun . L'une des grandes forces de Commun est précisément de réfuter le partage binaire entre l'ordre de la théorie et celui de la pratique, en refusant toute approche qui partirait d'une définition abstraite du commun et tenterait d'en déduire artificiellement une politique, mais de prendre pour point de départ l'expérience politique du commun telle qu'elle a pu se vivre au travers des différentes formes d'action et de discours qui ont au cours des deux dernières décennies contesté la logique d'extension du mode d'appropriation privée à toutes les sphères du social, individu inclus .

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  • Non Fiction : Vacarme fait retentir sa définition du fascisme

    À l’heure où l’on fait le constat amer de la vague populiste, nonfiction.fr vous propose de lire un texte collectif   paru dans le numéro 65 de la revue Vacarme à l’automne dernier intitulé « une vie non-fasciste nouvelle introduction ». Echos contemporain à la préface de Foucault dans l’Anti-Œdipe de Deleuze et Guattari, cet article propose de combattre la source de la « pensée fasciste » : celle qui prend ses germes d’abord individuellement en chacun de nous, et semble éclore aujourd’hui dans toute l’Europe.

    « Nous tenons encore à employer le mot « fascisme ». On ne peut pas renoncer à employer un tel terme au nom de sa confusion avec d’autres formes peu sympathiques de politique (populisme, racisme ordinaire, autoritarisme classique…), puisque le propre du fascisme est justement de tout confondre, de tout mélanger, de tout ensorceler.

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  • Philippe Torreton : "L'intermittence est une mission d'État" par France Inter


    Philippe Torreton : "L'intermittence est une... par franceinter

  • OFCE - Pourquoi lire Piketty ? par Jean-Luc Gaffard

    3 juin 2014

    L’ouvrage de Thomas Piketty, « Le Capital au XXIe siècle », a reçu un extraordinaire accueil à la mesure du travail empirique effectué, mais aussi du problème politique abordé, celui de l’accroissement spectaculaire des inégalités aux Etats-Unis. Paul Krugman et Joseph Stiglitz notamment, tous deux inquiets des tendances observées dans la société américaine, et pour qui elles sont une menace pour la démocratie, voient dans les travaux de Piketty la confirmation de leurs craintes.

    Fort de l’impressionnante masse des données accumulées et d’une solide connaissance historique que renforce la lecture de grands romans de la littérature française et anglaise, Piketty prédit l’avènement d’une seconde Belle Epoque, en fait le retour à un capitalisme patrimonial basé sur l’héritage, quand revenu et capital se concentrent entre les mains du centile supérieur de la population, quand le ratio du capital au revenu augmente significativement. Plus fondamentalement, il entend souligner l’existence d’une tendance séculaire à la stagnation et au creusement des inégalités, inscrite dans l’observation d’un taux de rendement du capital durablement supérieur au taux de croissance de l’économie, un peu à la façon dont Marx insistait sur l’existence d’une baisse tendancielle du taux de profit. Le XXe siècle, et plus particulièrement la période qui suit la Deuxième Guerre mondiale, caractérisée par une forte croissance associée à la réduction des inégalités et un poids moindre du capital par rapport au revenu, n’auraient alors été qu’une parenthèse maintenant refermée. La thèse défendue est que la société capitaliste aurait renoué avec une croissance faible et des inégalités croissantes nourries par la transmission des patrimoines plus que par la rémunération des talents individuels

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    et la note complète de Jean-Luc Gaffard
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  • La situation en République centrafricaine par Fondation Jean-Jaurès


    La situation en République centrafricaine par fondationjeanjaures